Domination

CHAPITRE 2

Jungkook : père quand est-ce qu'on arrive ça fait 1h qu'on roulent !

Père : patience on y est presque!.

*Arrivée à destination*

Jungkook : c'est pas trop tôt j'ai mal aux fesses.

Père : arrête tes bêtises et tiens toi bien suis moi.

Je marchais juste derrière mon père et je vis au loin un superbe manoir.

Jungkook : wouah c'est quoi cet endroit c'est gigantesque !!!

Père : c'est la maison de ton beau père, ils nous attendent à l'intérieur dépèchons nous !

Arrivée à l'entrée du manoir une femme nous attendaient elle était vraiment splendide, elle s'inclina pour nous salué et nous fis signe de la suivre. Quand à moi j'étais toujours émerveillé par les lieux ne parlons même pas de la déco qui était à couper le souffle.

???: Bien messieurs veuillez prendre place le patron arrive dans quelques minutes.

Jungkook : attendez vous travaillez ici ?

???: Oui pourquoi ?

Jungkook : j'ai cru que vous étiez la femme du patron !

???: hein ? Bien sûr que non je ne suis que la gouvernante de ce manoir (dit-elle un peu gênée) veuillez m'excuser. Elle partie comme une flèche.

Jungkook : mais qu'est ce que j'ai dit?

Père : je t'ai pourtant dit d'arrêter tes bêtises tu viens de faire fuir cette pauvre fille j'espère que tu ne seras pas comme ça avec ta fiancée!?

Jungkook : pardon j'ai pas fait exprès.

*La porte qui s'ouvre*

???: monsieur Jong comment allez vous c'est un plaisir de vous revoir!?. Je vois que votre fils est la, il a autant de charme et de charisme que vous!.

Père : si seulement il pouvait mieux contrôler ces mots il serait encore plus parfait mais bon. Alors monsieur Park et votre fille ?

Park : ah oui j'oubliais

*Il se mit à l'appeler*

Jimin, jimin

???: Oui père!

Park: descend on a des invités !

???: D'accord j'arrive

Park: les jeunes de nos jours toujours scotchés à leurs téléphones portables c'est vraiment pénible.

Père : ah je croyais que mon idiot de fils était le seul ça tombe bien du coup vous vous entendrez à merveille.

Je pouvais sentir le sarcasme dans sa voix mais je ne répondrai pas à sa provocation.