Mariée A Mon Violeur.

chapitre 68:Le secret d'Isabelle.

Je travaille encore tard ce soir sur mon "grand projet"comme j'aime l'appeler depuis que Bryan à donner ce surnom là.
Bryan et moi sa fait trois jours que nous filons le parfait amour,tous vas comme sur des roulettes. C'est tellement étonnant que j'ai peur qu'un jour tous se brise. Malgré sa il ya déjà une ombre au tableau. Il ne m'a pas encore dit je t'aime,certes il me la déjà dit dans le passé,ma donner une seconde chance, mais j'ai besoin qu'il me le redise. Je veux qu'il m'aime au tant que moi je l'aime. Et avant que je n'oublie Je ne lui est pas encore dit pour ma grossesse. Je sais je joue avec le feu je risque de me brûler. Cette fois ci je lui cache la vérité uniquement pour ne pas qu'il se sente obligé de m'aimer parceque je porte son enfant. C'est égoïste,je sais ! Je suis pas parfaite ! Quand même un peu plus ce que la normale.
"Mon grand projet ",je veux ouvrir une entreprise en Afrique du Sud. Cette fois ci je ne compte pas collaborer avec quelqu'un comme je le fait au Ghana,je veux percer seule. L'afrique du Sud est un pays qui à beaucoup de potentiel,si ma marque de vêtements à du succès. Je serai connue dans toute l'afrique. Et par la suite pourquoi pas mondialement ?
Je range mes affaires,sa suffit pour aujourd'hui. Ya un tas de paperasses de calculs à faire pour un tel projet,de l'argent à y mettre Dieu merci l'argent de Richard,du fleurissement de mon entreprise m'aide beaucoup. Je n'ai pas à mettre la main sur l'argent de Bryan encore moins sur le compte d'épargne des enfants. J'en est ouvert aussi un pour Alison et l'enfant à naître.
J'éteins la lumière de mon bureau,sort le ferme à clé. Tous le monde est déjà parti je suis la dernière c'est sûr.
J'ai envie d'uriner alors je me dirige vers les toilettes. J'entends des pleurs, c'est sûrement parce que je suis fatiguée. Les pleurs persiste,j'ouvre la porte des toilettes.
Là je reste sens voir,jamais de ma vie j'ai vue au tant de blessures de marques sur le corps de quelqu'un. Elle est en slip et soutient,de milliers de cotons du méchécum jonche le sol elle s'en applique en pleurant. Alors c'est sa son foulard,ces vêtements longs même en plein chaleur c'était pour cacher tous sa. Quel genre de personne peut frapper une femme ?
Elle me voir dans le miroir remet rapidement ces vêtements honteuse,je la laisse faire j'ai pas envie qu'elle se sente accablée surtout pas brusqué.
-Sa ne se reproduira plus,j'ai mise tes toilettes en pagaille,t'inquiète je vais arranger tous sa.
Elle se baisse je la retient lui enlève le coton des mains.
-Je mettrai moi-même de l'ordre je te rejoins dans ton bureau.

Elle ne parle toujours pas mal à l'aise elle laisse ces yeux baissés sur son café.
Tandis que moi j'ai encore l'image de son corps tuméfié en mémoire. J'ai honte j'aurais due voir qu'elle allait mal y'avais tellement de signe. Pourtant je n'est rien vue,je lui est même dit qu'elle avait une belle écharpe. C'est sa la nature humaine nous voyons juste ce que nous voulons voir,tant que sa ne nous touches pas nous ne cherchons pas à voir plus loin.
-Qui ta faire sa?
Elle lève les yeux sur moi appeuré. J'arrive pas à croire l'Isabelle pleine de vies que je connaissais à disparu.
-C'est pas important.
-C'est ton mari ?
Demande je du tic au tac,elle hoche la tête. Je suis dévastée pas une colère. Le salaud ! Un homme qui bas sa propre femme mérite la mort. Je me lève,j'ai pas eu le courage de porter plainte contre Ryan après son viol j'ai eu peur de l'avis des gens. Pas cette fois ci il est hors de questions qu'un monstre sens tire encore j'ai trop fermé la bouche il est temps que je parle.
-On vas aller porter plainte toutes les deux ! Il ira en prison pour maltraitance de femmes.
-Non.
-Comment sa non?(Lui demande je surprise.)Il ta faire du mal regarde un peu ton corps regarde comment tu es devenue.(elle se met à pleurer. ) excuse-moi je voulais pas être dur.
-Non(dit elle en levant ces mains m'intiment le silence. )tu crois que je n'y est pas pensée? Après les milliers de coups qu'il m'inflige sens aucune raison valable chaque jour que Dieu fait. Tu crois que j'y pense pas quand mes blessures,mon corps me font souffrir de matir?Tu crois que j'y pense pas quand je me voie défigurée dans le miroir ? Tu penses que quand je le voie se coucher dans le même lit que moi le soir je ne pleure pas,je n'ai pas peur qu'il me frappe dans mon sommeil ? J'ai des nuits blanches. Et quand il m'oblige à avoir des rapports sexuels avec lui malgré sa répugnante odeur d'alcool qui lui colle à la peau,tous le dégoût que je ressens pour lui. À ton avis j'ai pas envie qu'il croupisse en prison ? Ni même m'échapper de cette enfer?
Elle à parler avec tant de colère,de tristesse,de douleur,que mon coeur en est transpercé,j'ai la chaire de poules. L'enfer qu'elle vit au quotidien jamais je ne pourrai supporter juste le quart. Elle est victime de violences et viols conjugales. Avec son corps,son témoignage,même en étant pas spécialiste je sais qu'elle peut gagner un procès.
-Je ne vie pas ta situation Isabelle.
-Sa c'est clair.
-Avec tous cet enfer pourquoi ce monstre n'est pas encore derrière les barreaux?
Elle me regarde comme ci ma question la surprenait .
-Mes enfants.
Ces enfants,c'est à cause d'eux qu'elle ne porte pas plainte. Elle en à trois, deux filles et un garçon.
-Je veux pas qu'ils grandissent sens leur père.
-Isabelle,tes enfants méritent le meilleur,vivre avec un père violent qui frappe sept jours sur sept sa femme. Ce n'est pas le bonne exemple,ils mérites tellement mieux.
Qu'est-ce que tu veux apprendre à ton garçon qu'il faut cogner une femme?
Elle se lève.
-C'est pas ce que je veux ! Mais c'est mon mari. Quel homme voudra de moi? J'ai pas envie de mourir veille fille.
Alors c'est sa la peur de mourir seul.