Juzo x reader: La torture c'est mieux à deux (Terminée)

Chapitre 22

Alors que Juzo venait de te dire des choses qui avait réchauffées ton coeur, sans savoir pourquoi tu baissas les yeux vers le sol avant de les relever vers lui l'air interrogée

-Dit-moi, pourquoi tu portes des chaussons sans chaussettes en plein hiver tu n'as pas froid ?

-J'aime bien, ça me plait moi d'être en chaussons et puis je ne ressens pas le froid

Tu le regardas en fronçant les sourcils ne comprenant pas les températures étaient vraiment basses et lui ne ressentait rien ? Tu commenças à te poser des questions sur lui déjà que tu trouvais ses rendez-vous nocturnes bien louche 

-Tu plaisantes ? Il fait froid comme pas possible et tu ne sens pas le froid ?

Il te regarda quelques secondes avant de continuer sa route te laissant pleine de questions 

-Et attend-moi ! 

-Avances vite il se fait tard et j'aimerai bien rentrer 

-Oui bah attend-moi

Juzo te regarda puis reprit sa route sans dire un mot 

...

Alors que Juzo était sortit comme tous les mercredis soirs tu te retrouvas seule et très honnêtement tu n'avais pas envie de dormir, c'était bizarre mais tu voulais comprendre Juzo, d'une part comprendre son passé parce que à ce niveau il était extrêmement secret il ne racontait jamais rien sur son passé. L'autre point était pourquoi il se balaidait tout le temps en pantoufle de plus il ne sentait même pas le froid ce qui était bien trop étrange

En fait tu avais l'impression qu'il ne sentait rien et tu voulais savoir pourquoi

Tu te levas en vitese du canapé où tu avais la tête à l'envers et te dirigeas vers sa chambre, évidemment il avait fermé à clé mais tu avais appris à comment ouvrir une porte sans avoir besoin d'une clé. Tu pris un épingle à cheveux et une carte peu importe laquelle et commenças à ouvrir la porte. Une fois fait tu ouvris la porte doucement puis allumas la lumière 

Quand tu entras à l'intérieur la première choen que tu fis c'était de sentir dans la pièce mais tu ne sentis rien, il n'y avait pas d'odeur, ça aussi c'était bizarre engin bref tu refermas la porte derrière toi et regardas autour de toi. Il avait une chambre vraiment basique il ne s'embêter avec une déco ou du superflu juste un lit, une table de nuit, une amroire et un bureau. On aurait dit ta chambre quand tu était à l'école de CCG, ça craint te disais-tu.

Une fois la décoration analisé tu passas aux choses sérieuses, bon c'était de la violation d'intimité mais Juzo ne disait rien même le plu insignifiant des détails il n'en faisait pas part et ça avait le don de t'énerver sérieusement, alors tu ouvris le tiroir de sa table de nuit et vit seulement des épingle, sérieux ? Te disais-tu, tu continuas ta fouille et cette fois-ci c'était on amoire que tu allais fouiller

Encore une fois tu ne vis que des vêtements qu étaient presque tous pareils d'ailleurs. Tu avais l'impresion que c'était une caméra cachée, c'était une énorme blague. Dégoutée tu te résouku à fermer le meuble mais quelque chose de brillant attira ton regard, tu le fixas quelques secondes avant e te baisser pour regarder. En fouillant un peu plus tu vis un sac très lourd, où des choses dépassaient et tu entendis des bruits de métals qui se frottaient entre eux, tu détendis le noeud et ouvris le sac

En écarquillant le yeux tu tombas sur les fesses découvrant des instruments de torture tous plus horrible le uns que les autres. Mais qu'est qu'il foutait avec ça dans sa chambre celui-là. Ton coeur se mit à battre rapidement et tu penseas au pire et si il avait l'intention de te faire du mal ? Te tuer ? Où même pire ? Nan rien n'était pire qu'un assassinat, tu pris peur instantanément et restas quelques instants sur place sans bouger. Qu'est que foutais Juzo avec ça dans sa  chambre? A quoi lui servait-il ? Pourquoi ? 

...

Le lendemain au travail tu n'avais pas adressé la parole à ton colocataire prétextant un mal de gorge et ne pouvant pas parler. Il ne chercha pas plus loin et te laissa tranquille, tant mieux te disais-tu tu avais commencé à développé un sentiment de gêne à on égard mais ausi d'angoisse, tu ne savais pas e qu'il faisait de ses mercredis et samedi soirs mais les armes meurtrières lui étaient forcément utiles. Tu n'arrivais plus à le reconnaitre 

En ce moment tu avais peur de lui, quel genre d'être humain avait ça chez soi, des insruments de torture digne du moyen-âge. Qaund tu étais à l'école du CCG tu t'étais renseigné sur les différentes méthodes de torture à travers le monde et ça t'avais particulièrement choqué. Enfin bref tu n'arrivais même plus à le voir, tu voyais déjà ses mains pleines de sang

-T/N ?

Tu sursautas légèrement et te retournas vers la voix et vis Akira

-Oui ? Un problème ? 

-Qu'est qu'il t'arrive ? T'as l'air ailleurs 

-Si si ça va

-T'es sûre ? Il s'est passé quelque chose ?

-Nan nan mais... euh j'aimerai te poser une question ? 

-Qu'est que tu sais sur Juzo, enfin tu l'as connu quand et comment il était avant ? Demandas-tu 

-Eh bah, je ne sais pas, il est arrivé bien après moi et je ne l'avais jamais vu avant 

-Et puis... ? Comment tu le trouvais

-Eh bien  je le trouvais très mignon il avait l'air tellement innocent puis un jour je l'ai vu se battre et là je j''ai réalisé qu'il ne fallait pas se fier aux apparences, ça tu l'as vu n'est-pas ? Il était vraiment incroyable il avait une force comme je ne l'avais jamais vu. 

-Et il ne t'as pas paru bizarre de temps en temps ?

-Bah de sfois en réunion il à l'air vraiment perché mais à part ça non pourquoi tu me dmandes ça il a fit quelque chose ? 

-Non ne t'inquiète pas 

Tu laissas la blonde seule au beau milieu du bureau et sortit dans le couloir, décidément tu l'aimais bien ce couloir toutjours ici quand ça va pas, tu ne voulais penser que Juzo pouvait être un meurtrier, bon il tue des goules mais là c'était différent. Il s'adonnait forcément à des soirées morbides et ça te dégoutait profondément

Tu ne voulais pas savoir ça, venant de quelqu'un que tu admirais sans trop vouloir l'admettre mais surtout venant d'une personne avec qui tu te sentais bien, protégée, sereine...

Tu avais peur de lui actuellement mais tu étais très triste, tu continuas de marcher le long du couloir dans tes pensées, en pensant à des milliers de choses, t'inventant les pires scénarios. Tu avais ende dire à Juzo pourquoi il avait ça dans sa chambre mais ça voudrait dire que tu as fouillé dans sa chambre et c'était vraiment malploi de faire ça 

Mais après tout qu'est que tu en avais à faire ce n'était qu'un sale meurtrier de toute façon, enfin tu ésperait que non. Tu allais donc lui demander et tu quitterais la maison sur-le-champs !

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Chapitre 22 !