PDV Shisui :
J'étais assis dans mon bureau. Ca faisait 1 semaine que j'avais mis Itachi sous perfusion pour calmer ses crises un minimum. Quand il a eu cette crise, il était vraiment perturbé limite terrorisé...
Forcément ça a un rapport avec ce qu'il s'est passé y'a 5 ans...
J'avais le dossier entre mes mains, je feuilletais les pages de celui-ci. Tout y étais. Je regardais les notes prises... Et je pouvais remarqué qu'il n'avait jamais, jamais prononcé un seul mot depuis son arrivé y'a deux ans.
- ... Itachi... Uchiha....
Il me donne vraiment du fil à retordre celui-là... Je suis en charge de 3 personnes atteinte de dépression et c'est le seul qui ne me dit rien. Je sais que j'ai voulu faire le froid et distant mais... Je voulais juste le faire réagir...
J'ai vraiment aucunes idées de comment lui faire cracher le morceau...
- Monsieur. Ses parents sont arrivés.
- Fais les entrer maintenant. C'est important.
Shizune sort de la pièce et fit entrer les deux individus. Il y avait une jeune femme très jolie, les cheveux bleuté. Ses yeux fins reflétaient un mal-être profond.
A coté d'elle y était un homme brun l'allure plus strict. Il laissait paraitre aucunes émotions. Comme mort de l'intérieur.
J'avais devant moi deux parents, détruit, anéantis, brisé. Mais je sais que je peux les aider.
- Bonjour, dis-je avec un sourire chaleureux pour les mettre à l'aise, asseyez vous.
Le brun me salua d'une poignet de main ainsi que sa femme.
- Bonjour, me répondit l'homme, vous vouliez nous voir ?
- En effet, le rendez-vous peut vous paraitre un peu brutal... Mais je me présente : je suis le nouveau médecin traitant d'Itachi, Shisui pour vous servir. Comme vous le savez, votre fils est atteint d'une dépression profonde... Hum... Suite aux évènements qu'il s'est passé il y a 5 ans.
Je vis la femme baisser les yeux d'une tristesse que seul une mère peut comprendre. Bien sur, le père ne transgressait aucunes émotions. Il fallait que j'y aille avec de fines aiguilles.
Je continue donc dans ma lancé en essayant de transmettre une positivité :
- J'ai donc fait la connaissance d'Itachi il y a une semaine de cela. C'est un garçon très...
Je ne savais pas comment décrire Itachi sachant qu'il n'as pas prononcé un seul mot et que je n'ai jamais eu d'interaction concrète avec lui.
- Hum... Il est très discret... Et très atteint...
- Pourtant, tout ceci est de sa faute.
- Vous ne pouvez pas mettre tout cela sur le dos de votre fils. Je vais vous expliquer
J'inspire un bon coup. C'est toujours assez difficile la communication avec les parents d'un des patients. Mais je sais y faire.
- Itachi est très sensible et il a besoin de votre soutient monsieur.
La jeune femme du nom de Mikoto haussa alors le ton :
- Itachi est en hôpital psychiatrique exactement pour que vous l'aidiez. Nous avons fait notre possible.
D'accord... Je commence à cerner.
- Mais vous savez madame, il ne peut pas avancer sans vous. Il a besoin de vous. Comprenez-vous ses mots ? De vous. De personne d'autre. Vous êtes les derniers. Vous êtes ses parents, un lien indescriptible vous unis.
- Non. Je ne veux plus entendre parler de cela, fit-elle énervé. J'ai réussi à tourner la page sur toute cette époque, l'ancien médecin à accepté d'ignorer nos relations qu'on entretenait avec notre fils. Et c'est pas vous, qui allait détruire la psychologie que nous avons réussi à créer. Maintenant, au r-
- Restez ici madame et laissez moi finir.
- NON. JE NE VEUX PLUS ENTENDRE CA !
- Mikoto calme toi, fit son mari, écoutons ce que le docteur a à nous dire.
Je voyais dans les yeux de ces deux parents que c'était difficile. C'est compréhensible...
- Ecoutez... Itachi ne parle plus depuis 2 ans maintenant. Il est sans cesse alité, faisant des crises pratiquement tout les jours. Il est en deuil. Et ca fais 5 ans qu'il l'est. Il n'arrive pas à sortir ne serait-ce de la première étape du deuil. Vous vous rendez compte ? C'est de la que vient sa dépression... Vous ne faites que rajouter une source d-
- Vous êtes censé être la pour l'aider.
- Mais nous ne sommes QUE médecin. Vous êtes ses parents. On ne fait pas de la magie mais de la psychologie. Je vais vous dire le fond de ma pensée...
La jeune femme se leva prenant la main de son conjoint.
- On y va, Affirma-t-elle d'un air assurée.
- NE FUIYEZ PAS.
Les deux parents s'arrêtèrent et me regardèrent d'un air surpris. Je leurs fais face avec un air si sérieux et sur de moi. Fallait bien, si je voulais me faire respecté.
- Je vais vous laissez partir mais laissez moi conclure avec ceci : Votre fils ne passera jamais l'année si vous, en tant que parents, ne faites pas le premier pas. Si vous tenez à le perdre, continuez ainsi. Sur ce, je vous souhaite une bonne journée.
Mikoto laissa ses yeux s'envahir de larmes avant de partir en courant très vite rattrapé par son mari. Fugaku Uchiha.
Cet individu me parait très froid et pourtant il a essayé d'entendre mes propos. Je me rassois sur mon bureau, parce que oui je m'étais mis debout pour marquer ma conclusion de ce rendez-vous, et commence à analyser les dossiers, enfin bref, faire mon travail.
- Voulez-vous un café Sire Shisui ?
Je sursaute en sentant deux mains sur mes épaules. Je lève les yeux pour y voir un gars au cheveux blanc de grand père :
- Tu sais que tu es dans un hôpital psy' et qu'entrer par effraction est strictement puni par la lois ?
- roh, que de formalités. Je te rapporte des sucreries !
- Ah- Tu est tout pardonné !
Il se mit à rire en posant la boite de dango sur la table. Un de mes pêchers mignon. Il s'assoit sur le bord de mon bureau en allumant une cigarette.
- Asuma déteint trop sur toi.
- Tu trouves ?
- Pas qu'un peu...
Je continu à faire mon travail quand une idée me traversa l'idée. Je suis un génie ! J'm'applaudis... Enfin après j'ai dis que j'avais une idée pas qu'elle était bonne...
- Kakashi tu es au chômage ?
- Euh... Non je suis prof-
- PARFAIT. Tient, va a cette adresse et....
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𝕮𝖔𝖒𝖕𝖑è𝖙𝖊𝖒𝖊𝖓𝖙 𝕱𝖔𝖚
FanficTout commence dans un hôpital... Tous se fini au bord d'une falaise. {Happy End} Attention : présence de scène explicite, que ce soit sexuels ou violence physique. Présence de sang et de décès. Je vous ait prévenu. Bonne lecture ! L'histoire n'est...