Le jour J, je sonnai à sa porte après un instant d’hésitation et elle m'ouvrit quelques secondes plus-tard en souriant, peu surprise de me voir. Je l'observai pendant quelques secondes. Elle avait les cheveux lâchés qui lui tombaient jusqu'au milieu du dos comme une cascade vive. Son torse était recouvert d’un sweat noir beaucoup trop grand pour elle mais qui la rendait irrésistible à mes yeux. Elle portait également un survêtement gris clair qui mettait ses formes avantageuses en valeur, mais surtout, elle était pieds nus. Je restais bloqué sur ses pieds dévêtus, puis elle dû me relever le menton du bout des doigts et me dit d’un ton amusé :
- Aller rentre, reste pas dehors.
J’entrais alors qu’elle s’écartait pour me laisser la place, et détaillais ce qui se trouvait autour de moi : une décoration moderne qui rendait la place lumineuse voir éblouissante et on ne peut plus grande. Je la suivit dans sa chambre à l'étage, fixant ses petis pieds s’agiter quand elle les montait à chaque marche. La concentration pour ce devoir semblait aux premiers abords être assez difficile.
- Désolée pour le bordel mais j'ai pas eu le temps de finir de ranger.
- Ça ne me dérange pas, répondis-je simplement en lui souriant.
Elle me sourit à son tour et me dit d’un air déjà lasse du travail :
- Bon, on commence ?
Au début, on travaillait avec concentration - autant que ce fut possible pour moi -, mais on a eu vite fini, beaucoup plus tôt que prévus. On s'est alors mis à discuter de tout et de rien, et la voir rire était un véritable plaisir. Au bout d’un moment cependant, elle se releva en me disant qu’elle revenait dans cinq minutes, le temps de passer un appel, puis elle sortit de la chambre en me laissant seul dans ce décor féminin.
J'étais seul. Vraiment seul dans une chambre de fille, et pas n’importe laquelle. Et là, j'eus une idée - peut-être mauvaise il est vrai - : fouiller sa chambre à la recherche de choses intéressantes ; mais je ne trouvais rien jusqu'à ce que j'ouvre l'armoire où elle rangeait ses chaussures et chaussettes. Je me dit aussitôt intérieurement “Bingo !”.
Une forte odeur se dégageait du meuble, mais je ne savais pas par où commencer. Mon regard se dirigea vers un soulier, et je pris une converse qui devait être blanche à la base. On pouvait voir l'empreinte de son pied sur la semelle intérieure, alors ne pouvant résister, je mis mon nez à l’intérieur et reniflais à plein poumons en fermant les yeux de bonheur : l'odeur était sublime et irrésistible. Puis je fis de même avec ses Stan Smith, ses Super Star, ses Puma, ses Air Max - celles qui étaient toutes blanches -, ses chaussures de sports, ses talons, ses escarpins et enfin ses bottes et bottines. J'étais en train d'humer l'odeur d'une desdites bottine quand j'entendis la porte s'ouvrir, et mon corps entier s’immobiliser. En cet instant, j'étais pétrifié à l'idée de ce qui allait se passer.SUITE ?
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Soumis à une amie [TERMINÉE]
De TodoHISTOIRE POUR ADULTE, merci de ne pas signaler. En cette dernière année de lycée, Héloise, une jeune fille en classe de terminale, trouve un garçon qui s'avère avoir un caractère assez soumis et un fantasme sur les pieds. Celle-ci va donc profiter d...