Hybride.

CHAPTER 1 : « Guérison expresse »

-Aragon, attrape ! Criais-je au dragon qui était en face de moi.

Il se mit en position d’attaque – tête baissé, pattes en avant- et je lui envoyé la balle de toutes mes forces. Le problème c’est que, j’ai une force surdéveloppée et je ne sais pas très bien la contrôler par moment. Je le vis courir après le bal de baseball sur je lui avais balancé et je le perdus de vue. Je sais, un  dragon de 1tone et de plus de 50mêtres n’est pas « perdable » mais bon. Heureusement que ma maison se trouve au beau milieu des bois.

Après quelque minute, il ne réapparus pas. Il n’est jamais partis plus de 2-3 minutes.

-Aragon ?!Criais-je, légèrement paniqué.

Habituellement, quand je cris sont prénoms, il me répond avec son cris, mais là, je n’entendis rien. Okay, je vais crier alors !

Nous avons chacun un cri quand l’autres est en danger.

Alors je cris. Très fort.

Pas de réponse. Mais Aragon, t’es ou putain ?!

Pris de panique, je courus dans la direction ou il était parti.

Apres 5 minutes de recherche, je le trouvai là, dos à moi. Je ne sais pas qu’est qu’il y a en face de lui mais je pris pour que ce ne soit pas un être humain !

-Aragon ? Lui dis-je, doucement.

Il poussa un cri à peine audible. Je m’approchai et passa ma main sur le bout de son aile droit, pour lui montrer que je suis près de lui.  Je m’avançai pour voir la chose qui attiré son attention. J’eu un choc. C’était un garçon d’à peine 19 ans.

-Aragon, qu’as-tu fais? Lui demandais-je, calament. 

Je sais très bien que ce n’est pas lui mais, on ne sait jamais. Pour seul et unique réponse, il baissa la tête et fit un léger bruit. Ce geste veut dire que, non, ce n’est pas lui. Je lui ai appris à me parler avec ses gestes.

 Je m’accroupies devant le jeune garçon et essaya, tant bien que mal, de le réveiller. 

-Hey… Le secouais-je légèrement.

Il ne me répond pas. C’est seulement en voulant le porter pour l’emmener chez moi, que je vis qu’il avait une grande entaille sur le bas du ventre. Là, je panique vraiment !

« Je ne veux pas qu’il meurt dans mes bras. Je ne veux pas qu’il meurt dans mes bras. Je ne veux pas qu’il meurt dans mes bras. »

Je me suis répété cette phrase tout le long du chemin jusque ma demeure.  

Une fois arrivé à celle-ci, j’entre et le dépose dans le canapé. Je cour à la salle de bain pour y chercher une trousse de secours. Je reviens quelque seconde plus tard avec le nécessaire pour le soigner, ou du moins, essayer. 

Je m’approche de lui et le regarde attentivement. Il a des cheveux brun bouclé, de long et fine jambes, de grandes mains, une fine et magnifique bouche.

-Je ne pense pas que tu puisses m’entendre mais ce n’est pas grave. Je vais essayer de te soigner. Alors, si je te fais mal tu n’as cas grogner ou me pincer. Lui dis-je doucement.

J’eu l’impression, pendant une seconde, qu’il m’avait adressé un hochement de tête pour me montrer qu’il avait compris.

Je commençai par relever son t-shirt. Quand je vis sa blessure, j’u un choc. L’entaille était vraiment très profonde !

-Je vais tenter quelque chose… Si tu à mal, tu cris. C’est compris ?!

Avant que mes parents ne périssent dans un accident de voiture, mon père m’avait fait une confession. Il m’avait confié que je pouvais ramener quelqu’un à la vie ou la guérir, à l’aide de mes pouvoirs. Il m’avait aussi expliqué comment faire !

Je plaçai ma main sur la blessure du jeune homme et ferma les yeux. Je me concentrai du mieux que je pouvais et fis bouger lentement mes mains de droite à gauche. Je les rouvris quelque seconde plus tard et vis, à ma plus grande surpris, que ça avait marché. La blessure avait disparus ! Je plaquai deux de mes doigts sur son coup et je sentis son pou. Il est vivant.