( Max sur la photo)
Plus le trajet avançait plus je prenais peur.
De temps en temps les conducteurs nous amenait à boire et à manger.
Max semblait de marbre à ce voyage. En même temps vu le gabarit de Max, la survie n'aurait pas à l'inquiéter. Moi, en tant qu'homme de bureaux... J'avoue que je ne sais pas! Hahaha!
...
Je vais mourir putain !
Pourquoi moi? Pourquoi j'ai été enlevé ?!
Serais-ce à cause de cet article? Non?! Comment m'auraient-ils trouver? Je ne signe que de mes initales.
Le camion s'arrête enfin. Un homme nous hurle que nous séjournerons trois jours dans un établissement spécial pour bien dormir, bien manger, puis nous serons libérer en pleine nature.
On nous forçait à descendre. La lumière du... Hangar... m'éblouissais énormément.
Des hommes avec des cagoules et des vêtements noirs nous encadraient jusqu'à un couloir. On dû se mettre par deux. Je me mis à côté de Max. On nous remis alors une vieille petite clé en fer rouillée à 3 dents, avec un vieux numéro " 125 " écrit au marqueur.
On nous remis draps et oreillers.
Nous gagnons la chambre 125.
Aucun de nous deux ne parlait.
On installa nos lits.
La pièce était petite. Il y avait un lino gris clair propre, des murs blancs, une fenêtre.
À côté de la fenêtre il y avait une armoire beige et un bureau Ikea gris. (j'avais le même dans mon appart' de Manhattan.)
Il y avaient un lit de chaque côté de la fenêtre. Le mien était à droite.
Dans l'armoire on découvrit deux sacs à dos de voyage, très grands.
D'un coup on frappait a la porte et quelqu'un glissa deux lettres à nos noms.
Je la lue.
"Bienvenue cher Mathieu Liddelton. Vous avez eu la chance d'être sélectionné pour nos Survival Games.
Selon quel critère? Votre langue bien pendue vous aura conduit à un danger certain.
NB: Dans 3 jours, rendez-vous à la salle commune pour une réunion d'informations, et ce soir à 18h.
-Astrid"
Bien. Mon article m'a conduit dans une sacrée merde.
Le journalisme n'est pas un métier sans risque de toute façon. Et ils enveront des gens pour me retrouver! L'État ne peut se passer de son meilleur journaliste, non?
Max avait déchiré avec violence son papier.
Il sortait de sa poche un briquet. Il mit le feu aux bouts de papiers qu'il avait mis en boule et jeta le tout par la fenêtre.
« Hé Mathieu, on est mort pas vrai? » dit-il, désespéré.
« - Non... Je pense qu'on s'en sortira!
- Si tu le dis! »
Je fouillait le sac à dos. Dedans j'y trouvais une montre waterproof. Je la mis à mon poignet.
Il était 17h, dans une heure nous devions aller à une "réunion".
Je fis les cents pas dans la pièce, de plus en plus inquiet. Les pleurs, les gémissements et les hurlements des autres personnes dans les autres pièces n'arrangeaient en rien mon angoisse.
Max et moi on chercha la salle de réunion peu avant 19h. Nous la trouvions fermée; des gens attendaient devant la pièce.
Je reconnaissais quelques personnes qui étaient dans le camion, les autres devenaient venir très certainement d'un autre camion.
Il y avait une fille, une jolie blonde aux yeux verts avec des cheveux bien lisse. Il y avait un homme afro-américain, ensuite un musclé, une femme à la peau bronzée, aux cheveux courts et habillée en skateuse.
Peu de temps après tout le monde arriva. J'aperçus Tony, priant pour qu'il ne nous voit pas. Il était accompagné de gens qui avaient l'air aussi féroce que lui. C'étaient des chefs de gangs, je les avaient déjà vus dans un article du Sunset News édité par un de mes plus proche amis, Mog.
Aah... Ce bon vieux Mog... Jamais personne n'a su son véritable nom, c'était un maniaque de l'anonymat.
C'était un homme incroyable, il avait une silhouette fine, aucun muscle, des cheveux blonds devenaient mielleux au soleil... Des yeux bleu turquoise si énigmatique...! Il avait des cheveux ondulés et redressés sur la tête avec un peu de gel et un brushing.
Parfois il avait des lunettes.
Son humour et son ardeur de vivre était l'une des choses géniales chez lui!
D'ailleurs... J'aurais juré le voir dans la foule...
Les portes s'ouvrent et l'on rentre dans la pièce. Quand tout le monde fut à l'intérieur, les portes se réfèremèrent alors.
La salle était basique, murs gris, fenêtres, chaises beiges et.m plancher noir.
Certains se mettaient sur les chaises, d'autres préféraient être debout.
Un haut parleur retentit.
« Bienvenue! » fit une voix féminine dans le haut parleur. « Bienvenue à nos Survival Games ! Je suis Astrid, et je vais vous renseigner.
Profitez de vos trois jours de repos, le dernier jour à 18h venez ici de nouveau. Bien...
Les règles du jeu vous seront expliqué dans trois jours. Mais avant tout voici les consignes du centre.
Pas de meurtre ni de baston avant l'heure.
Pas de tentative de fuite sinon vous serez abattus . Il y a des gardes et des caméras.
Obéir aux ordres sous peine de mort ou de violence si non respect dès ordres.
Sur ce, à dans trois jours.
Ah... Et... Bienvenue en Alaska ! »
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Survive or die
ПриключенияMathieu Liddelton, 20 ans, New Yorkais célèbre, va connaître un tournant à sa simple vie de journaliste... Il n'aurait pas dû mettre son nez là où il ne fallait pas...