le refrin ;

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Mon coeur roule en crue,s'éboule;

   Il s'affole pour son défunt aimé,

   C'était donc lâ mon destin,

   Je devais etre veuve,avant mon heur.

Frère,a toi je ne renonce pas,

  Meme unie â un autre homme,

  Tu envoûteras mes nuit,

  Jamais je n'aimerai,comme je tai aimé;

  Nous fûmes tatoués par la meme infortune.

l'amour d'une veuveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant