Chacune de mes batailles,
Je les gagne
Grâce aux autres
Qui s'efforcent
De me pousser
Toujours vers le haut,
Toujours plus haut
Alors que moi je regarde
Je regarde
A la fois le sol
Et les nuages.
Cet entre deux me tue
Passer d'un bas plus bas que terre
A un haut aussi puissant que blessant.
Et toujours, cette voix me dis
Qu'ils pourraient ne plus me pousser
M'abandonner et me laisser
Simplement sombrer.
Ressentir ce qu'ils ressentent,
Ne plus exister
Que par les autres
Fait que plus rien ne m'affecte.
Mon regard n'est plus le même
Ce regard d'enfant me manque
Chaque mot m'a fait un peu plus mourir.
Et mon envie de mourir me fait sentir bien plus vivante qu'eux.
Sachant la chance d'une seule minute
Avec eux,
La chance de pouvoir de nouveau sourire
Tout en ayant l'habitude de souffrir.
Cette chance c'est ma vie, ils sont une chance envoyer du ciel que j'observe.
La chance de ma vie, est presque finie
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Tape du pied...
PoetryPersonne les lira donc voici les notes de mon téléphone, évidemment je garde pour moi mes listes de courses mais voici mes poèmes :
