EP14

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Valencia raccroche et son regard change a nouveau, elle ferme la valise et rejoint son grand père dans le salon ou elle découvre Sergio. Les deux se sert dans les bras et s’échange les nouvelles. Heureux de se revoir Valencia leur fait un café. Alors qu’il discutait tout les trois Carlotta frappe a la porte et fait a cette occasion la connaissance de Montero. Amabilité oblige Carlotta garde son calme Valencia la présente a son grand père comme sa seconde mère. Le soir vers 20 heures une voiture percute de plein fouet Juan qui sortait d’un restaurant.

L’auteur de l’accident prend la fuite et la voiture responsable de l’acte sera retrouver brûlé la même nuit par le commissaire Carlos Marquez. Carlos en était sur ce n’était pas un accident la voiture avait percutés Juan exprès c’était donc une tentative de meurtres. C’est assis a la maison devant la télé que la famille Pérez apprend la nouvelle. Carlos rassure Lucinda que Juan n’était pas mort mais que son état était très grave. Francisco et toute la famille à court a l’hôpital.

Ricardo en était sur cela ne pouvait être personne d’autre que Montero qui se cachait derrière cet attaque.

Carlos : Monsieur Aragon Pérez ce que vous dite est très grave en êtes vous sur qu’est ce qui vous fait penser une telle chose ?

Ricardo : Montero fait son apparition et mes frère se font tirer dessus le jour du mariage de mon fils. Quelques mois plus tard je suis ici a l’hôpital au chevet de mon fils ? C’est lui.

Carlos : Alors j’irai le voir pour entendre sa version. Pour le moment je vous laisse. Monsieur

Le commissaire s’en va arriver à son bureau Carlos se devait de croire l’hypothèse de Ricardo. C’était suspect tout le monde savait que la famille Pérez et DelaVeGa se détestait ils étaient comme la peste et le choléra. Chaque rencontre des 2 familles finissait toujours par un bain de sang. Le lendemain matin la surprise de Carlos Marquez sera plus grand quand il découvre que Valencia était la petite fille de Montero.

Dans le salon de l’hacienda trônait des photos de famille où on pouvait voir Valencia poser fièrement au côté de son grand père. Ce n’était pas tout il y avait également des photos de Raoul son vieille amis. Il se souvient que le jour de l’accident de Juan marquait exactement les 3 ans du décès brutale du père de Valencia. Une sueur froide lui passe dans le dos.

Carlos : Est-ce que Valencia a quelque chose à avoir la dedans ? Non Valencia est une bonne fille ! Non c’est impossible ! Je l’ai vue grandir ! Non, non ! Elle est incapable d’une telle atrocités !

Carlos ne savais pas que Valencia avait complètement changé absente c’est Amélia seul qui viendra a la rencontre du commissaire de police. Ce dernier lui explique ce qui c’était passer, Amélia soupçonnait son mari et sa petite fille d’être derrière cet accident mais elle joue l’ignorante.

Amelia : C’est impossible mon mari et ma petite n’ont pas pû faire une chose pareille. Dit a Ricardo de chercher un autre coupable pour ces problèmes.

Carlos : Ok j’ai compris je vais vérifier les alibis de votre mari et si tout va bien vous n’aurez aucun soucis a vous faire.

Amelia : Merci monsieur le commissaire.

Carlos : Pardonner mon indiscrétion mais d’où connaissez vous monsieur Ramirez ?

Amelia : Raoul ? Pourquoi cette question ?

Carlos : Raoul était mon amis on s’est connu quand il travaillait à l’ancienne mine fermer.

Amelia : Je vois Raoul est mon fils

Carlos : Vous voulez dire que vous êtes parenté a Valencia ?

Amelia : Oui je suis sa grand-mère

Carlos : Vous voulez me dire que Raoul a travailler dans la mine de son propre père ?

Amelia : Oui mon fils a toujours été comme ça indépendant

Carlos : Sacré Raoul. Cela veut dire que Valencia est !

Amelia : Oui !

Carlos : Doux Jésus sainte Vierge Marie est ce que je pourrait lui parler ?

Amelia : Désolée elle est allez déposer des affaires dans son ancienne maison. Cela tombe bien j’aimerais vous demander un petit service. Vous dite être un amis de mon Raoul

Carlos : Tout ce que vous voulez madame.

Amelia : Valencia a décidé de retourner vivre sur l’île s’il vous plaît est-ce que vous pouvez garder un œil sur elle ?

Carlos : Madame croyez moi Valencia n’a pas besoin de garde du corps. Elle détient toujours son record.

Amelia : Je sais que ma petite fille est forte mais vous êtes au courant elle n’est pas connu pour avoir un tempérament calme

Carlos : C’est vrai elle a toujours été une vraie tigresse.

Amelia : Elle tiens se côté de sa mère paix à son âme. Vous l’avez dit tout a l’heure Ricardo crois que mon mari est derrière ce qui est arriver à son fils il a déjà tuer Raoul et je ne veux pas

Carlos : Ne vous inquiéter pas je vais garder Valencia a l’œil je dois bien ça a son père compter sur moi elle est comme ma fille.

Voilà Amelia enfin soulager. Ce n’était pas seulement pour protéger Valencia de Ricardo qu’elle avait fait ça. Si Montero et Valencia savent que la police les surveillent ils feront peut être moins de dégâts. Ce que Amelia ne savais pas c’était que sa petite fille c’était déguiser en médecin pour rentrer dans la chambre de Juan elle lui injecte une substance qui provoquera 6 minutes plus tard chez Juan un arrêt Cardiaque.  Heureusement que Miguel avait oublier son portable dans la chambre de son frère il court appeler au secours Juan sera sauvé de justesse. Montero s’énerve.

Montero : Maudit garçon pourquoi il est retourner dans la chambre ? À croire qu’il l’a fait exprès.

Valencia : Cela ne change rien j’ai déjà pris mes dispositions.

Montero : Comment ça ?

Valencia : J’ai payer une infirmière qui me tiendras informer de l’évolution de son état. Il ne sortira pas de cet hôpital vivant.

Valencia démarre la voiture et ils quittent tout les deux les lieux. 25 minutes plus tard Carlos arrive dans la vieille maison de Valencia. Il sonne, bien sûr il avait été informer qu’une femme déguiser en médecin avait essayer de tuer Juan Pérez. Si Valencia n’ouvre pas la porte il sera évidant pour le commissaire de police que la jeune femme serait suspecte. Mais a sa grande surprise Valencia ouvre la porte dès la deuxième sonnerie. Avec elle son grand père et Hector qui étaient assis avec une tasse de café dans leurs mains.

Valencia : Oncle Carlos entre tu arrives bien je viens de faire une bonne canne de café. Entre il fait un peu froid dehors.

La jeune femme présente le commissaire à son grand père, ils discutent un bon bout de temps tout les trois. Chez Francisco la peur monte est ce que Valencia était vraiment celle qui avait essayer de tuer Juan a l’hôpital. Il en était sur c’était impossible sa Valencia était incapable de faire une chose pareille. Bianca voit le regard des deux frères et en profite pour mettre de l’huile dans le feu.

Bianca : Je savais que cette fille était venu pour ce venger mais qu’elle aille aussi loin cet effrayant. J’espère que la police va

Ricardo : Miguel dit a ta femme de se taire le son de sa voix m’énerve donne lui un peu d’argent qu’elle sortent d’ici !

Miguel : Bianca laisse nous seul s’il te plaît monte je te rejoints tout de suite.

Bianca les laisse et monte dans la chambre seul elle dit

Bianca : Il a du culot celui là c’est lui qui a des problème et c’est lui qui joue les dur qu’elle toupet.

Valencia ( Mon Amour , Mon Péché) Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant