CHAPITRE I

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-non papa arrête. S'il te plaît ne fait pas ça. Une gifle digne d'un coup de points s'appliquait sur la joie de cette enfant de dix ans.
-je ne suis pas ton père. Maintenant laisse toi faire sinon je te tue.

Il l'a coucha de force sur ce lit crasseux, fit monté sa jolie petite robe rouge. À dix ans seulement, elle connue la douleur d'un viol.  Les larmes sur son visage n'était pas prêt à prendre fin. Elle ne savait pas ce qui se passait, tout ce qu'elle savait c'était qu'elle allait mal à cause de des coups qu'il lui donnait mais aussi parce qu'elle voyait du sang lui coulé le long de ses frêles petites jambes.
Elle pleurait le ciel, sa mère morte trop tôt, son beau - père qui la maltraitait. Cela fût sa première fois. Mais aussi le début d'un calvaire peu mérité et sans fin. Douze ans, assise dans la salle de classe  comme toujours sans personne à ses côtés, elle eu un malaise décisif pour sa vie future.
-allo!M.Sama c'est l'infirmerie. Je vous appel parce que votre fille à fait un malaise.
Ce jour là son père se dépêcha d'accourir ,il était réputé pour être l'exemple même parfait car sa fille était travailleuse, assidue et bien élevé. Personne ne pouvait se douter qu'il était le diable même ; une fois à la maison, il là fit coucher dans sa chambre et pour la première fois, il s'occupa d'elle comme un père devrait le faire. Petit déjeuner, déjeuner et dîner elle avait même droit à la télé toute la nuit. Il s'occupa d'elle ainsi durant une semaine mais quelque chose tracassait la jeune fille ; les boissons bizarre que lui ordonnait son père de boire toute les nuits.
-papa ,j'aime pas cette boisson ,elle est amert. Lui dit elle. Avant de boire quand même.
-ne t'inquiète pas, c'est pour que tu n'ais plus de malaise et comme ça fait longtemps que t'as pas eu tes menstruations c'est normal que tu ai mal. Dit il gentiment.

La jeune fille était naïve, elle ne pouvait pas s'imaginer un seul instant qu'elle était entrain d'avorter. Elle buvait les paroles de son père comme ceux du bon dieu. Elle avait perdu sa mère à l'âge de cinq ans donc, il ne lui restait que son beau - père. Après une semaine, elle commença à convulser et entra dans un coma suite aux compliquation de l'avortement. Ce qui lui causa des problèmes au niveau de l'utérus. Les médecins craignent qu'elle ne puisse peut être plus jamais  avoir un enfant. Après son coma, son beau - père ne là touchait plus sexuelement ; il se refugea plus tôt dans alcool avec qui il commença à la battre, lui disant qu'elle était responsable de la mort de sa femme et aussi qu'elle n'était pas une bonne fille car elle n'arrivais à remplacer sa mère . Quinze ans,  elle tomba amoureuse d'un jeune de son école ayant deux ans de plus qu'elle:

- s'il te plaît, arrête. Cria t elle coup après coup.
-papa.. je..te jure que je ne le referais plus. Pleurait elle en vînt. Il l'avait enchaîné et frappé jusqu'au sang ce jour là. Elle s'était promis ne plus jamais avoir de petit copain;trois jours après, elle rompu avec le jeune homme sans lui donner de véritables explication. Ainsi donc,un soir, revenant de son école , elle vit dans sa maison un jeune homme vêtue étrangement et dont son  visage  ne présageait rien de bien.

-okay M. Sama. Elle paiera votre dêtte en travaillant pour moi pendant ces trois mois. Dit l'inconnu à son père d'un ton froid.
- s'il  vous plaît Monsieur attendez encore un peu. Je peux vous rembourse. Supplia son père à genoux la voix tremblante,mais l'inconnu déclina son offre. Il se retourna et vit la petite apeurer ne comprenant pas ce qui ce passait.

-j'ai déjà pris ma décision. Retorqua  il avec amertume en sortant de leur maison sans lui lancer un regard.
-Monsieur. Elle est trop jeune... commença son père qui marchait derrière  lui agenouillé.
-saïd amenez là.

Le fameux saïd se saisit de la jeune fille qui se mit à crier à l'aide. Elle implora son père de ne pas la laisser partir, elle avait peur, elle ne connaissait rien à part ce que lui avait raconter son père. À seize ans ,elle  fit arracher des mains de son bourreau mais à quel prix.
La nuit fût longue pour elle assise dans une fourgonnette noire à vitre fumé ayant à ses côtés deux hommes d'âge avancer vêtu tel des corbeau  et ninspirant que la peur.
Cela fessait une heure que le véhicule roulait. Elle avait pleuré jusqu'à épuisement mais accorda quand même à morphe une nuit ainsi elle tomba dans ses bras .

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