Les empreintes du Condor

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Sancho, Pedro et Mendoza, qui attendaient dehors, furent surpris de voir Ambrosius. Mendoza dégaina son épée, prêt à se battre. Laguerra descendit et sorti elle aussi son épée. Zares était prêt à attaquer quand soudain, des flèches venant d'arc se plantèrent dans la combinaison d'Ambrosius. Il essaya de les enlever avec peine. Elles bloquaient les articulations de l'exo squelette. Mendoza profita de l'occasion pour voir ce qui n'allait pas chez le Condor. Il découvrit qu'une patte du Condor avait une énorme branche d'arbre coincée dedans. Il le cria aux enfants, et ordonna à ses deux marins de l'aider à l'enlever. Laguerra protégeaient leurs arrières. Mais Zares ne tarda pas à réussir à enlever les flèches coincées. Il s'avança sur Laguerra et la prit par le cou en le soulevant
- Mendoza... Regarde, si vous ne me livrez pas le Condor, Laguerra en paiera de sa vie...
mais Laguerra qui était très maligne savait les points faibles de Zares. Elle donna un coup de pied environ à l'endroit où le vrai bras d'Ambrosius était. Il eut mal sur le coup et lâcha Laguerra. Elle tomba par terre et poussa Zares dans le lac. Elle jeta une grosse pierre sur lui pour l'assommer quelques instants. Les enfants se tenaient prêts à décoller mais Mendoza et les deux autres n'arrivaient pas à enlever la branche.
- Il faut les aider ! Dit Tao
- Non! Mendoza sait ce qu'il fait Tao ! Il nous a dit de nous tenir prêt à décoller alors on reste la. Moi aussi j'ai peur pour eux mais j'ai confiance en Mendoza. Repondit Esteban
Zares ne tarda pas à reprendre ses esprits.
D'un saut, il se dirigea vers Laguerra pour la pousser à son tour dans le lac, et à aider Mendoza et les deux autres à enlever la branche. En 2 secondes, la branche était enlevée grâce à la force de l'homme. Il poussa les deux marins par terre et balança Mendoza contre un arbre. Les enfants ne virent pas la scène se produisent car elle se passait sous le Condor, et eux étaient dedans. Zares monta par le bec échelle et arriva dans la cabine. Les enfants furent surpris de voir leur ennemi ici
- Esteban ! Cria Zia en se « cachant » derrière lui.
- Vous ! Je vous déteste espèce de nain psychopathe ! hurla Tao les larmes aux yeux.
- Fais le décoller Esteban. TOUT DE SUITE, ordonna Ambrosius.
- Jamais ! Repondit Esteban
Ambrosius soupira puis descendit de la nef. Il prit Mendoza par le cou
- Tu je veux toujours pas décoller ? Demanda t'il à Esteban en serrant de plus en plus le cou du naviguateur
Esteban, contrarié, n'eut pas le choix que de décoller. Zares noya dans l'eau ses 4 ennemis et monta dans le condor.
- Bien, bien, bien, dit-il
Esteban, rusé, n'alla pas à l'entrée du visage mais au contraire bien loin. Ils arrivèrent au Bouclier fumant.
- Qu'est-ce que tu fais ?? Reviens immédiatement au village, cria t-il à Esteban
- Détrompez vous, vous n'avez pas encore gagner !
Il fit des voltiges dans les airs jusqu'à ce qu'Ambrosius prit Zia par le bras. Il ouvrit grave à un bouton la vitre et menaça Esteban
- Ramene moi au village, ou ton amie passe par dessus bord.
Zia regarda Esteban avec pitié et savait que Zares était prêt à mettre sa menaça à exécution. Il reprit la route de Puna à contre cœur. Arrivés au dessus du temple, Ambrosius cria
- Descends par le toit du temple !
Esteban obéit
- Vous n'êtes qu'un traître, dit Tao
- S'il vous plaît, relâchez les villageois, ils n'ont rien demandé, supplia Zia
-Tutututut, repondit Ambrosius
Esteban se posa sur le toit du temple et il remarqua qu'il y avait les traces des pieds du Condor. Voilà pourquoi Ambrosius voulait qu'ils se posent sur le toit. Il fit atterrir le Condor dans les traces de pieds qui correspondaient à celles du Condor. 
- Enfin... fit Ambrosius
Les enfants descendirent avec lui pour regarder ce qui allait se passer. A la grande surprise des enfants, le Condor s'enfonça dans le sol. Cela déclencha un mécanisme et le condor s'enfonça de plus en plus dans le plafond du temple. Esteban et ses deux amis étaient bouché bée
- Qu'est-ce que vous allez faire de NOTRE Condor ? Et qu'est-ce qu'il se cache là dedans ?! Demande Tao
- Ah, Vous êtes là vous ? S'étonna Ambrosius. Il lança une potion endormante sur les enfants et ils s'évanouirent d'un coup.
En se réveillant, les enfants étaient ligotés, avec Sancho Pedro et Laguerra. Mendoza était étalé au sol, une flaque de sang autour de lui. Esteban voulut bouger mais les cordes étaient trop serrées.
- MENDOZA ! Cria Laguerra, que lui ont t'il fait ?!
- Laguerra, est ce qu'il respire ?! demanda Zia, il faut que j'arrive à me détacher, j'ai quelques plantes médicinales dans ma poche je pourrai peut être le soigner.
Sancho et Pedro ne tardèrent pas à se réveiller
- Oh non, Mendozaaaa, s'écria  Pedro
- Il est vi-vi-vant ?? Demanda Sancho
- On n'en sait rien, ont est ligotés de partout, se plaignit Tao
- Ca y est ! J'ai réussi à me libérer grâce à mon poignard ! S'exclama Esteban
Il détacha ses amis et se rua sur Mendoza
Il posa ses deux doigts sur son coup. Il ne sentit rien. Zia écouta son cœur, mais il ne battait presque plus. Les pulsations étaient irrégulières.
- Il faut que je trouve des plantes qui sont dans le village ! Je n'ai pas ce qu'il faut sur moi ! Faites un garrot à l'endroit où le sang coule ! Je me dépêche. Elle sortit de la pièce où ils étaient enfermés par la fenêtre à l'aide de Sancho et Pedro. Elle voulut cueillir des plantes quand soudain... 

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