Dreamer

CHAPITRE I

          La pluie battais a la fenetre de ma chambre d'hopital ce son etait assé agréable en y repanssant, il me bersais et plus le temps passais plus mes paupière était lourde. Mais rapidement on tocas à ma porte. Mais avant que je puisse répondre un grand infirmier entras c'étais Phil'
enfin je l'appelais Phil par ce que je connais pas son vrais nom, car sa voix bourue est casiment inodible...
a son regard vide je me disais qu'il pensais a quelque chose de particulier mais pas aux soins qu'il devais m'aporter...

          C'est alors que je me souvint, le medecin ne m'avais donné que 10 joures encor à vivre et ce, samedis dernier. On étais dimanche et une semaine était donc passé, si on compte le samedi et le dimanche il me reste plus qu'une journée a vivre... J'avais tout fais pour oublier cette ultimatum mais... c'étais plus fort que moi la douleur étais partout... seul le son de la pluis arrivais presque a me le fair oublier. Presque.

          Phil' m'aprochas et retirais le tuyaux qui étais dans mon nez et en plaça un nouveau. Cette senation étrange d'avoir quelquechose entre les deux yeux je m'y était habitué en 8 ans mais le fais d'être nouris a la petite cuillère ça non. Enfin... après que Phil'
m'ais essuyer la bouche je put reposer ma tête sur mon oreiller. C'est alors qu'il me posa une question plutôt troublante...

  -Si tu pouvait avoir un super pouvoir... tu voudrais avoir quoi?

Je le regarde intrigué...

-Euh... c'est quoi cette question...

Il detourne le regard...

-Non... rien.

Et sur ces mots il part.

          Même deux heure plus tard je n'arrive pas a trouver le someil, la douleur me torture le dos et la question de Phil' me torture le cervaux... bien decidé je cherche au plus profond de moi un réponse et au fruit de longue minutes de debat interne je resoud ce probleme.

          C'est, sûr si j'avais un pouvoir surhumain je voudrais pouvoir remonter le temps... tout en gardant les souvenir de mes "vie"precedante.

          Et le sourire aux lèvre je m'endormi pour ne plus jamais me reveiller. Ma vie. Mon calvaire. Ma réalité de blessé s'arretta sur ce dernier someil, a l'âge de 16 ans.

          Et mon rêve commença.