chapitre I: Le premier jour

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<<Allez! Allez ! plus vite que sa,s'il vous plaît, a ce rythme je finirais par être en retard. En plus c'est mon tout premier jour>>s'exclama Andrea au chauffeur de taxi avec un air plaintif,dépasser,tout en faisant des petits gestes de rictus.

-Ne vous inquiétez pas mademoiselle, sa ne sera plus long, voulu la rassurer  le taxi-man 

A cet instant, Andrea ce retrouvait embarquer dans un problème de circulation sur la voie principale de la révolution et que l'on pouvait entendre les clacsons des voitures pour démontrer le lassement de leurs conducteurs vis à vis de la situation, sa faisait déjà près d'une heure et demi qu'ils étaient planter là. L'effet de savoir qu'elle avait d'énormes chance d'arrivée en retard dans son nouveau établissement,et cela pour son tout premier jours, la mettait hors d'elle. L'angoisse et l'inquiétude avaient pris possession de ce corps qui aurait rêver mieux un autre scénario que celui-ci,surtout pour ces debuts scolaires.<<quelle malchance !!>> ce disait-elle, c'est ce qu'elle avais ce jour-là, de la malchance.

Elle étais là, assise au passager arrière,tapotant sans retenue le poignet de la portière gauche de la voiture pour essayer de distraire son stress,qui compte a lui avait du mal a la cédée, cela s'empirait au fur et à mesure qu'une minute s'écoulait. Ses yeux marrontés laissaient clairement prévoir l'empathie qu'elle émettait vis à vis de la situation qu'elle était contrainte de vivre,élégante dans sa tenue scolaire,chemise bleu ciel plus un pantalon bleu foncé a la mode congolaise,allait de paire avec son corps qui mettait merveillesement  sa corpulence physique en valeur,c'est cheveux tombantes a la couleur caramélisé étaient boucler en twists.

<< veillez donc me laissé là je vous prie!>>. dit-elle soudainement,<<je vais continuer a pieds>> poursuit-elle,cette réaction étonna le conducteur, et ne savais plus quoi dire pour retenir la jeune écolière,il l'a voyait descendre du véhicule sans dire le moindre mot.
Le soleil miroiter de la matinée mélanger avec le vent frais qui occupaient toute l'atmosphère venaient délicatement caressé le visage de la jeune fille qui venait a peine de s'y exposée,cela l'avait donner l'air d'être irrésistible.

- Mais !..Mais mademoiselle attendez!! S'écria le chauffeur en essayons de la dissuader qu'elle étais entrain de commettre une bêtises en voulons continuer a pieds mais, s'était sans compter sur la volonté de la jeune fille à vouloir relevé ce défi. Elle avait pris sa décision et rien ne pouvais plus la faire changer d'avis,même pas le chauffeur. Es- ce une bonne idée de sa part ? D'autant plus son école ce trouve à environ trois heures de marche, ne serait-elle toujours pas en retard malgré les efforts qu'elle s'apprêtaient a fournirent? Le chauffeur l'avait pourtant prévenue de cela,mais hélas,ce fait ne l'avait point décourager, cela avait même été une source de motivation pour elle....elle pris un petit instant pour préparer son marathon en mettant a dos fermement son sac,jeta un petit soupir de soulagement pendant que le chauffeur ne la lâchait pas des yeux.

Ainsi, Andrea exécuta son marathon le long de la route de la révolution laissons derrière elle une ambiance d'un goût amer entre  chauffeurs,les insultes pleuvaient de toutes part mais cela n'apporta aucune solution,ils étaient toujours là,staguiné au même endroit,<<pardons>> elle courait tout en prenons soin d'éviter les véhicules qui ce dressaient devant elle,tout le monde des alentours n'avaient que les yeux river sur elle et la sensation de le savoir l'a mettait un peu mal a l'aise mais s'en foutait un petit peu,la seule chose qui l'a faisait tant remonté le morale c'est cette espoir qu'elle pouvait encore avoir, elle y croyais fermement,c'est de pouvoir rattraper le temps qu'elle avait perdu dans cette embouteillage.
Au bout d'une heure et demi de course ,elle pouvait enfin apercevoir son nouveau établissement en petit image,cela la rendait très heureuse, mais sa joie n'était que de courte durée quand elle ce rendit soudainement compte par la silhouette d'un homme,il s'avère être celui du surveillant, pensa-elle,qui s'apprêtait a refermer le portail de l'établissement,<<merde>> fit-elle brusquement tout en continuons à courir de fois plus qu'elle en avait déjà faite, les deux mains tenant fermement les extrémités de son sac a dos qui compte a lui ne cessait point de s'agiter.

Spectre D'amoursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant