Chronique d'une turque mariée de force

PARTIE 4♡

Partie 4 :

Je dors pas de la nuit, je pense a Cem, et je déprime en écoutant http://www.youtube.com/watch?v=0HQKJrgcxF4

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J'en pleure a chaud de larmes, je mets la musique en répétition sur mon mp3, le matin je me prépare, je mets la dose de fond de teint pour cacher, sa va on voit pas trop.

Je descend, et je vois mon frère Ibrahim en bas comme d'habitude, y me raccompagne a l'arrêt de bus.

Je vous ai pas parler de Mehmet, il était pas le soir quand on ma demander en mariage, il apprend par ma mère après et il est sous le choc y veut défonce mon père, mais bon il le fait pas, on n'a du respect pour cette homme quand même.

Dans le bus je vois Cem, je m'approche pas de lui et lui non plus y doit surement croire que ya des turcs dans le bus.

Je descend du bus et lui me suit, on n'arrive au café, je mets mon tablier et lui le mets aussi, y me dit :

- Sedef'im iyimisin ? *(sedef sa va ? )

- Iyiyim.((Oui)

- Hayir, iyi degilsin noldu sana? *( Non, sa va pas, quesque ta ? )

- Yok bisey.*(J'ai rien)

Et je part pour commencer a travailler, et la Cem me retient le bras,

Putain merde y voit mon bleu !

- Il est choque, y me demande qui ma fait ça, je lui sort une excuse bidon, vous allez rire :p. Je lui dit qu'on n'a fait un match de boxe avec mon frère et qui ma mit une patate, et je lui ment qu'il a un bleue aussi. Y lit croit pas trop, y me prend dans ses bras, et la je fond en larmes, y me dit noldu askim ? J'ai peur, anlat neyin var ? *(quesque ta mon amour? raconte moi)

Je lui fait écoute Cem : C'est finit, je peux plus continuer cette relation !

Y me fait : Comme ça askim ? Saka'mi ? Hic komik degil !

* (Une blague ? c'est pas drôle !)

Moi : Non saka degil, je suis pas sur de mes sentiments ( alors que je l'aime a mort).

*(Non c'est pas une blague)

Cem : Askim birakma beni, ben sensiz naparim, stp je t'aime trop. (Mon amour ne me laisse pas, je fais quoi sans toi moi)

Y veut me prendre dans ses bras.

Moi : Cem yapma.*(Cem arrete)

Je me suis mis a pleurer...

Obligé on reprend notre travail, il essaye de me parler, mais je lui répond une fois sur deux.

Enfin fini le travail, d'habitude ya personne qui vient me chercher le soir.

Je sors dehors et je vois...