les sélections

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Durant cette demi heure j'étais restée devant la salle assise sur une pierre devant une des fenêtres qu'il y a dans les couloirs de Poudlard. J'entendais des rires provenant de la salle , sûrement dû aux Riddikulus de certains élèves , mais moi j'étais plongée dans mes pensés. Un regard livide et un visage neutre , je me demandais ce que cela pouvais bien signifiait , la seule dont j'ai peur c'est de moi même , de ce  que je suis  destinée à devenir , et selon les dires de l'épouvantard je ne pourrais rien faire pour l'arrêter .

Mais comment se fait-il que l'épouvantard de Blaise  n'était pas lui même également alors qu'il en ai aussi terrifié que moi ? Dans la salle personnes n'avait eu quelques choses daussi intense que moi , personne . Je suis donc ma seule et unique peur .

Quelques minutes plus tard les élèves sortaient de salle , Blaise et Théodore se dirigeaient vers moi avec un air inquiet sur les visage .

Je voyais bien que les Gryffondor souhaitaient  venir me voir , ils avaient  l'air aussi inquiet que Blaise et Théodore ce qui me surprit . Mais ils ne pouvaient pas venir me demandés si tout allait bien , sinon nous pouvions être démasqués  .

Quelques fois je pouvais croisée le regard de Fred , n'oublions pas que durant les sélections je devrai aller le voir pour que l'on discute de se que Draco a dit avant que l'on n'entre dans la salle . Il m'avait d'ailleurs adressé un léger sourire , que je ne lui ai pas rendu bien trop occupée à de réfléchir à tout ça .

Blaise : Céleste comment vas-tu veux tu en parler ?

Théodore : Si tu as besoin de quoique ce soit je suis la .

Moi : Oui oui ça va ce n'était rien .

Nous nous dirigions en direction du prochain cours de la matinée tout en aillant cette discussion , qui m'insupportait au plus , je détestais être vulnérable et qu'on ai  pitié de moi , aujourdhui  je l'ai été.

Une fois arrivés devant la salle ou se déroulait le cour d'Histoire de la magie nous continuions cette conversation .

Blaise : Ce n'était pas rien , tu était terrifiée au bord des larmes .

Moi : Je te dit que ça va , arrête de me  parler de ce qu'il s'est passe daccord ? Ce n'était qu'un moment de faiblesse , et je n'étais pas au bord de larmes c'est bien clair .

J'avais presque criais cela , certains élèves s'étaient retournés . Tandis que je voyais Parkinson s'approchait de moi avec son horrible sourire aux lèvres .

Pansy : Un moment de faiblesse tu veux rire , tu hurlais et tu étais terrorisée  par toi même , tu as peur de toi arrivé à ce stade faut se  posé des questions Gaunt .

Moi : Écoute moi bien je n'ai aucune envie de discutais avec toi Parkinson donc si  tu veux pas te prendre mon poing dans la figure tu ferais mieux de la fermée .

Tout le monde écoutait notre dispute, quel horrible journée .

Pansy : Mais je n'ai rien dit de mal , je me contente de dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas . D'après ce que mes parents m'ont dit j'étais persuadée que tu avais peur de ta mère .

A ces mots mon cur se mit a battre plus fort et mon poing commençait à tremblait cette remarque m'avait mis hors de moi. Avant que je ne puisse faire quoique ce soit Théodore s''était interposé entre nous pour évite toute actions de ma part.

Ginny : Dit nous Parkinson pourquoi n'irais tu pas continuais de traîner dans les jupons de Draco plutôt que d'essayer à tout pris de te prendre un poing en pleine figure .

Le fondateur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant