Chapitre 2💕

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Ce matin-ci, mon père ne m'a pas gueuler dessus pour me faire lever et n'est ni venu dans ma chambre pour mi faire sortir. Je n'avais aucune motivation de me lever et de re tomber dans cette boucle. Ma mère étant déjà partie j'étais seul chez moi. Je n'avais pas la force de me lever ni d'aller en cours. Je voulais juste dormir et être tranquille, ce qui était le cas.

Il n'y avait aucun bruit dans la maison, sa n'a jamais été aussi calme entre les disputes de mes parents, les machines qui tourne et la télé. Rien de cela ne se distinguer, rien à par le calme.

Après une bonne heure à ne rien faire dans mon lit, je me décide enfin à sortir de mon lit et aller petit déjeuner. Je pris une clope et alla dehors pour la fumée. J'ai l'air peut-être d'une intello qui et coincé du cul mais fumer est là seul chose que j'aime faire. Cette fumer qui traverse ma gorge.
Un jour ma mère m'a vu fumer elle n'a rien dis, m'a regardé avec un regard froid qui voulait dire si ton père apprend sa t'es morte. Et sa je le savais très bien. Car mon père était très sévère comparé à ma mère qui est plus tôt cool qu'en elle le veut. Mon père est du genre à s'inquiéter à chaque fois que je pars de la maison. Je n'ai même pas le droit de boire de l'alcool alors que j'ai 16 ans c'est bon, c'est pas la mort non plus. Ma mère, elle, ne me dis jamais rien peu importe ce que je fais, même quand j'ai fais ma tentative elle n'a rien dis comparée à mon père qui m'a enlevé tout rasoir, tout chose coupante à un moment j'ai même cru qui allait me couper ma viande car attention un couteau sa coupe. Bref un père sûr protecteur et une mère absente dans ma vie.

J'entendis une voiture, je suppose que c'est mon père qui a reçu un message du lycée comme quoi je ne suis pas présente. La porte s'ouvre et c'est bien lui, il a un regard énervé et déçu.
-  Manon vas t'habiller et monte dans la voiture sa vas pas pourquoi t'es pas en cours je suis pas là un matin et toi tu ne vas pas en cour. Je ne peux vraiment pas avoir confiance en toi. Allez dépêche toi !! Dit-il avec une voix sévère et forte
- j'y vais, lui dis-je soulé

Moi pensant rester la journée à la maison c'est rater pour aujourd'hui et même pour les jours qui suivent car je pense que papa ne vas pas me lâcher.

Je pars m'habiller avec les premières affaires qui viennent peu importe quels soit sale ou pas. De toute façon on me jugera de la même façon.

Je monte dans la voiture et ne parle pas du trajet malgré les nombreuses questions que me père me pose " pourquoi tu n'est pas aller ", " pourquoi tu t'est pas levé toute seul c'est pas si compliqué "
Si il s'avait à quel point c'est compliqué pour moi de me lever tout les jours pour faire les mêmes choses et en plus de sa recevoir des insultes par ci, par là.

Je descends de la voiture. Il était midi. Je n'avais pas envie d'aller manger au self, ni de manger tout court.
Une fois mon père partir, je ne rentre pas de suite dans l'établissement. J'attends que l'heure des cours commence. Je n'avais pas envie de devoir manger seul une fois de plus s'en ai trop. En plus c'est pas que la nourriture là bas est déguelase mais un peu.
Les cours commençaient enfin. Assis au fond de la classe, je n'écoutais rien contrairement à mes habitudes. Tout le monde me regardait comme si j'étais une étrangère. Les profs voyaient bien que je n'écoutais pas mais ils s'étaient payer pour nous faire cours peu importe si on les écoutes ou pas, sa ne changeait pas leur salaire.

C'était enfin la récré, je savais très bien que j'allais être encore seul alors je préfère me cacher dans les toilettes. Mais quelqu'un m'en empêcha, c'était Carla, une peste du lycée la meuf qui se croit populaire et la plus belle du monde. Je ne sait pas pourquoi elle est là à me regarder avec ces petits toutou derrière elle mais je pense le savoir bientôt

-  Manon, tu pourrais arrêter de mater mon mec en cours s'il te plaît, sinon tu vas voir, dit-elle amuser de la situation

c'était la fois de trop, je ne pouvait pas faire la victime
- je verrai quoi vasi dit moi, au juste j'ai pas mater ton mec. J'ai pas que sa a foutre de mater un pauvre mec en couple, dit-je avec une voix forte et agressive
Elle ne répond pas tout suite, elle me regardai choqué par ce que je venais de dire. Ils me connaissaient timide et intellos et pas comme ça après avoir rigolé elle me répond : «  attention madame se révolte, j'ai peur OMG. Je te préviens tu me parle comme sa encore une fois et j'appelle mon copain tu vas faire moins ta maline, grosse conne!! »Dit-elle en rigolant avec c'est amies

Je n'avais qu'une envie c'est de la frapper. Mais je préfère me calmer et lui répondre :
- vasi appel ton mec car toi t'en ai pas capable de ma tabassée comparé à ton mec qui est le plus fort du monde, dit-je ironiquement. Et appel moi encore une fois comme sa je te fous un point ok ?

Elle ne répondis pas. Elle était à la fois terrifiée et rigolante. Ces copine derrière chuchotaient des choses en me jugent du regard. Je n'avait qu'une envies c'est de la frapper.

- grosse conne, grosse conne, grosse conne. Je peux le dire encore et encore si tu veux j'ai pas peur de toi mais toi si et je sais que tu vas rien faire alors redescend un peu sale folle vas. Retourne faire ta lèche boule avec les profs. Intellos de merde!! Dit-elle en rigolant

C'était les mot de trop. Je lui mets mon poids dans sa gueule, pris par ma colère je la mis par terre et n'arrêtais pas de la frapper. Elle le méritait.

Un surveillant me pris par les bras et nous sépara. Tout le monde l'aida à se relevé et s'inquiète. J'avoue que j'y suis aller un peu fort mais elle a dépassé mes limites. « SA VA PAS DANS LE BUREAU DU PROVISEUR TOUT DE SUITE, TOUT LES DEUX!!!!!» dit le surveillant bien énervé de la situation.

Assis sur une chaise, on attendait que le proviseur avait finit d'appeler nos parents. Après quelques minutes à attendre avec l'autre qui pleurait de douleur il nous demanda d'entrer et de nous assoir. J'ai eu le droit à un long discours comme quoi la violence ne régler rien et que je serai sanctionné fortement. Bref je me suis mise dans la merde sachant que ma sanction du lycée ne serait pas pire que celle de mon père.
J'étais donc virer deux jours pour réfléchir à ce que j'ai fait et collé tout les mercredis après-midi pendant 1 mois. C'est ma mère qui est venu me chercher. Elle ne m'a rien dit comme j'en ai l'habitude mais je préfère le silence que mon père entrain de me faire la morale. Arriver à la maison, ma mère me déposa et repartit je sais pas où peut-être à son nouveau boulot. Je mont directement dans ma chambre et m'a fallait sur mon lit. Je n'étais pas fière de toi ce que j'ai fais mais elle l'a bien mérité quand même. Je redoute le moment où mon père va arriver. Je sais déjà à quoi m'attendre mais c'est toujours désagréable et pesant voir blessant de l'entendre me parler de cette façon. Ces parole restaient dans ma tête, elle avait raison je suis une grosse conne, je suis qu'une pauvre merde. Ces rires et ces jugements résonne dans ma tête. J'essaye de les faire partir en me frappant la tête contre le mur mais rien ni fait. J'entends déjà la voix sévère de mon père dans ma tête. Je vais sois être privée de téléphone sois de sortis, mais dans tout les cas sa n'arrangera pas les choses au contraire.

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A suivre 🖤
Publier le 20/04/21

La chambre d'en face Où les histoires vivent. Découvrez maintenant