PARTIE : 1

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Je m'appelle Laila Antoinette Ndiaye.j'ai vingt un ans.je suis étudiante en licence trois en transport logistique dans une grande école de la place.j'ai obtenue une bourse à la mairie de mon quartier,ce qui fait que mes parents payent la moitié de mes frais d'écoles mais n'empêche mon père ne cesse de se plaindre chaque mois.

J'avoue que je le comprend très bien car c'est pas du tout facile de son côté .il est coursier.
Il s'assoit  devant chez nous en espérant trouver quelqu'un qui soit intéressé par un appartement ou par une chambre à louer parfois il arrive que ces journées soient rentables mais il y'a des jours où il revient à la maison bredouille sans un sou en poche.

Il fut un temps où tout aller bien quand,il travaillait pour ce Ministre le papa de la famille Mbaye.
Maman m'a racontée qu'au temps papa était son chauffeur.ils vivaient bien et ils ne manquaient de rien mais après ce qui ai arrivé.mon père a été renvoyer et devenu fauché.

J'étais trop petite pour me souvenir de certaines choses.je devais avoir sept ans ou huit ans en plus de cela  ils m'ont jamais rien expliquer mais ce qui es sûre.je garde à coeur la souffrance de mes parents et la mort de ma grande soeur que j'arriverai jamais à oublier.

Ma soeur s'appellait Salimata Ndiaye,elle était l'aînée de mes parents.elle est partie à ces dix huitième tiges sur la pointe des pieds,laissant un grand vide dans nos cœurs.
Elle était plus âgée que moi de onze ans car maman était malade pendant très longtemps après sa naissance,elle avait subis plusieurs fausses couches.elle a du partir au village pour se soigner c'est pourquoi,elle nous a eu tardivement moi et mes frères.elle n'a cessée de nous protéger contre cette famille Mbaye.Mes deux frères et moi.
Samsdine est mon cadet il a dix sept ans et l'autre le plus petit c'est ciré.il a quatorze ans.
Ma mère éteignait la télé ou changeait de fréquence à la radio quand les infos de cette famille passait .elle déteste ces gens!

Elle souffre en silence de la mort de ma soeur,elle est rongée.elle parle peu.
Elle s'active à son petit commerce de friperie pour noyer son chagrin.ce qui fait que je suis plus proche de mon père avec qui je rigole et discute de tout.il est comme mon meilleur ami.
Je lui questionne parfois sur cette famille mais il n'avance pas trop sur la discussion.
Ce qui es sûr cette famille n'est pas impuni dans la mort de ma soeur.
Au fond de moi quand je suis seule mes larmes coulent et j'ai le coeur qui saigne.
Je sens le PARFUM DE LA VENGEANCE

LE PARFUM DE LA VENGEANCEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant