- Des quoi ? L'imtérompis-je
- Des gobelins. Ne vous a-t-on jamais apris les créatures qui vivent en dehors de votre mur sacré ? En haussant un soucil.
- Non, enfin certain comtes pour enfants parlent de fées, de dragons ou d'elfes, que des truc imaginaires pour les faire rêver. Et vous, vous êtes quoi ?
- Un elfe, désoler de vous l'apprendre mais notre race n'est pas imaginaire. Et tant que nous y somme je me nomme Elessar.
- Audénise, moi c'est Audénise.
- Venez.
Elessar pris une sacoche qu'il avait dissimulé dans le feuillage, s'assura qu'il n'y avait plus personne et déscendit puis il m'aida à faire de même.
- Où allez-vous, l'interpelais-je
- Chez moi. Vous feriez mieux de me suivre si vous ne voulez pas vous faire couper la tête par un de ces charmants gobelins.
Il avait raison l'endroit n'était pas sur. C'est à contre coeur qui je suivis cette inconnus qui m'emmenais à un endroit que je ne connaissais pas le moins du monde.
Pendant le reste de la journé, nous marchâmes dans un silence religieux. J'était très inquiète pour ma soeur je n'avais pas eu le temps de la voir rejoindre ma mère de l'autre coté des portes.
Elessar nous fit marcher dans la foret la majorité du temps et il décida d'installer le campement en fin d'après midi près d'un lac.
- Je vais allez nous trouvez de quoi manger, me lança-t-il.
J'hocha la tête.
Il sortit une robe de sa sacoche et me la donna. Je leva la tête.
- Vous serez plus confortable dans cette robe, et puis la votre est en lambos.
Il partit et je regardit ma robe. Il avait raison, elle était déchirée de toute part. Et celle qu'il m'avait donné était magnifique.
J'attendis qu'Elessar soit loin puis je me déhabilla et alla me baigner dans le lac.
L'eau froide me fit un bien fou ! Je ne sais combien de temps je suis rester dedans mais quand j'en ressortis, je vis Elessar qui me tournait le dos, assit à un arbre.
j'enfila la robe qui miraculeusement m'allai parfaitement. Elle était magnifique. Elle était constituer de plusieurs voiles qui le rendais très légère.
Elessar se retourna, me fixa quelque instant avant de murmurer
- Vous etes splendide.
Son comantaire me fit rougire.
- Comment se fait-il que vous avez une robe dans votre sacoche ?
- C'est un porte bonheur. Puis-je vous posez une question ?
- oui ?
- Est-ce un effet de mode humaine de ne pas avoir les yeux de la même couleur ?
- Heu... Non pas vraiment... Aucun elfe n'a les yeux vairons ?
- Bien sur que non, ils trouverais cela bien trop laid.
- Bien trop laid ?! Vous croyez que j'ai choisis ? Et qui êtes vous pour me juger ?
- Je suis un prince, me réponda-t-il posement.
- Mille excuse Monseigneur, lui fis-je en executant une courbette des plus ironique.
Je partie me coucher sans même manger se qu'Elessar avait rapporter.
Le lendemain, je ne parlis pas de le journé et lui lançais des regards noir. Si mes yeux avaient puent tuer, Elessar serait déja mort une centaine de fois.
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coucou,
j'étais censé mettre ce chapitre quand j'aurais 5 votes ou comantaire mais j'avais troo envie de l'écrire.
Dites moi ce que vous pensé d'Elessar.
Je nevtrouvais pas de photo pour la robe d'Audénose alors je l'ai déssiné. et au final je suis assez fier de moi :-)
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le monde d'aurobé
FantasyUn mur qui assure la protecrion des hommes faces à des créatures magique qu'ils ne prennent même pas le temps de connaitrent. Lors du 1250ième anniversaire de ce mur, les porttes sont ouvertes au homme, mais ça ne se passe pas exactement comme prévu.