𝐔𝐧 𝐀𝐦𝐨𝐮𝐫 𝐄𝐭𝐞𝐫𝐧𝐞𝐥 - TOME I

Chapitre 6 : La veille de d'expédition.

Hey ! Je fais une ellipse 4 jours, histoire d'avancer dans l'histoire.
Bonne lecture !

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PDV Michaël

Comme à notre habitude, 6h30 c'est le réveille, cela fait 3 jours que je suis sorti de l'infirmerie, plus d'atèle, plus de bandage, enfin. Je remercie Hange d'être restée avec moi. Bref, je me prépare et rejoins les autres au réfectoire. Hange me fait un signe pour venir à sa table, je la rejoins et m'asseois à côté d'elle à sa gauche.
Aujourd'hui c'était la veille de l'expédition, nous avions que l'après-midi de repos, la matinée était consacrée aux entraînements et préparations.

Michaël : Salut Hange !

Hange : Coucou ! Comment tu vas ?

Michaël : Bien et toi ? Bonjour major et Caporal-Chef.

Hange : Super bien !

Major Erwin : Bonjour Michaël.

Livaï : Appelle moi Livaï.

Michaël : Pas de soucis.

Je sens quelqu'un arriver derrière moi, discrètement, du moins pensant être discret, je sens un mouvement brusque arrivant sur Hange. Je me doutais que c'était pour la frapper.
Je bloque son bras me retourne, et plaque ce soldat par terre.

Soldat : Aïe ! Tu me fais mal là !

Michaël : C'est le but écoute, fallait réfléchir aux conséquences avant d'agir abruti.

Soldat : Ouais ouais c'est bon lâche moi, avec ton œil en moins tu feras pas grand chose.

PDV Hange

Je vois Michaël attraper un bras et se levant pour plaquer un soldat. J'entends leur discussion jusqu'à ce que le soldat dit une phrase de trop.
"Avec ton œil en moins tu feras pas grand chose."
Alors là il risque de prendre cher, mais, ça me rend furieuse.

Michaël : Si tu veux que je te pète les jambes dis le.

Il est furieux, il déteste qu'on parle de son œil. Je décide de le défendre et de m'en occuper.

Hange : Laisse, retourne à ta place, je me charge de lui.

Michaël : Ok, merci.

Hange : Viens avec moi toi, et dépêche toi.

Soldat : Ok.

Je le ramène dehors, il faisait encore nuit, un froid glaciale. M'enfin, c'était un meilleur endroit pour lui faire regretter ses paroles.
Étant furieuse, je ne contrôle plus mes gestes, je le plaque contre un mur, et lui lance mon regard noir. Je m'apprête à le frapper quand d'un coup Livaï m'arrête.

Livaï : Qu'est-ce que tu veux faire la binoclarde ?

Hange : Lui faire regretter ses paroles à se voit pas ?

Livaï : Je vois, laisse moi m'en occuper, je vais le dress-

Hange : Non, j'en suis totalement capable Livaï. Laisse moi m'en occuper.