Point De Vue De : Hana Hiiro
Dans la vie on connait tous des hauts et des bas et des bas et des hauts. On a tous déjà goûté au bonheur et au malheur.
On dit souvent que quand on vit un moment de bonheur le temps passe tellement vite et notre seul souhait c'est que jamais ça se termine, on ne désire absolument pas que ce moment se termine. Mais quand vient le malheur, le temps avance au ralenti, à pas d'escargot et on se demande bien si ce n'est pas le diable lui-même qui cherche à faire durer le souffrance car quand le malheur nous tombe dessus. Il ne nous lâche plus tandis que le bonheur s'éloigne peu à peu de nous. La vie est ainsi. Le bonheur fuit face au malheur alors que le malheur cherche à tout prix à dévorer toute once de joie et de bonheur.Ainsi va la vie, le malheur l'emporte quoi qu'il advienne face au bonheur. Ainsi est ma vie, la mienne. Le bonheur que j'ai connu jadis n'est plus car il a été englouti tout cru par le malheur.
Le malheur qui nous empêche de sourire, de rire, de se détendre, de se sociabiliser, d'avoir de l'espoir, d'aimer et d'être aimé.
Le malheur qui nous empêche tout simplement d'être heureux.
Face au malheur, nous ne pouvons qu'être que des personnes dépourvu d'émotion, sans aucun sentiment, sans compassion ni gentillesse, sans générosité, sans cœur et sans aucun espoir.
Face au malheur nous devons tout simplement devenir des coquilles vident d'émotion ou de sentiments sans la moindre parcelle d'humanité pour autrui.On ne peut éprouver de l'espoir quand le malheur nous a prit notre bonheur. Ma vie est ainsi car mon bonheur de jadis a été dévoré par le malheur.
FLASH BACK
J'avais à peine 7 ans quand j'ai perdu le droit de rire et de sourire, le droit d'avoir de l'espoir et d'être heureux. À peine 7 ans...
Je venais d'arriver à la grille de l'école avec mes amies. Comme d'habitude j'allais entamer la route de la maison toute seule puisque, Papa et Maman sont trop pris par le travail et ne peuvent pas venir me chercher, chose que je comprenais parfaitement.
- On ne peut pas avoir de vie confortable et bonne si on ne s'en donne pas les moyens. (me répétait toujours Papa et Maman).
Même si je ne les voyais pas souvent. À chaque qu'ils étaient avec moi, j'étais heureuse et on s'amusait bien tout les trois. C'était eux ma famille, on n'était une famille aimante et inséparable. Oui, c'était eux ma famille.
Du moins c'est que je croyais jadis, l'époque où je pouvais encore rire et sourire sans avoir à me forcer ou autre. L'époque où j'avais de l'espoir et où j'étais heureuse de tout et n'importe quoi, certe mais j'étais heureuse.
Ce jour-là, Papa et Maman étaient en face de la grille de mon école entrain de m'attendre. J'étais tellement contente de les voir alors j'ai accouru vers eux et quand ils me virent. Ils affichaient tout deux un sourire plus lumineux que tout arrivant presque jusqu'aux oreilles.
À cet instant, je pensais être là raison de leur sourire, leur joie mais je ne me doutais pas de ce qu'ils avait fait...
Papa et Maman me prirent dans leurs bras avant de me faire monter dans la voiture. Le trajet jusqu'à la maison ne dura pas plus de cinq minutes. Cinq petites minutes où nous sourions tous ensemble de joie sans que je ne sache la réelle signification des sourires de mes géniteurs.
En sortant de la voiture, je remarquai une voiture noire garé devant chez nous. Curieuse comme je suis. Je posais la question à mes parents et ces derniers se contentèrent de me sourire. On rentra à la maison et je pus apercevoir un homme. Un homme vêtu de noire de la tête au pied mais à l'apparence perfide nous firent face. Il regarda mes parents avant de me jeter un regard qui ne me plaisait pas du tout. Pas très rassurée, je me cachais derrière ma mère mais cette dernière me repoussa vers l'homme et déclara :
Ma Mère : Voici, Hana, Hana Hiiro. C'est notre fille. Comme vous pouvez le voir, elle est en parfaite santé et en plus de celà. Son apparence est avantageux, si elle grandit un peu plus, elle pourra vous être encore plus utile si vous voyez ce que je veux dire.
Sur ces paroles, l'homme afficha un sourire malsain et me jeta un regard emplit d'un désir pervers.
Il n'y avait pas de mot pour décrire la peur que je ressentais. Je ne comprenais pas ce qui se passait mais j'avais incroyablement peur de quelque chose et cette personne était en partie la cause de cette soudaine peur.
L'Homme : Bien alors, Mr et Mme Hiiro. Je vous l'achète à 65690 yen.
Moi : Q-quoi ? C-co-comment ç-ça ? (questionnais je d'une toute petite voix).
Mon Père : Très bien. Vous pouvez dès à présent l'avoir.
L'Homme : Avec Plaisir. (dit ce dernier en se dirigeant vers moi avec un sourire emplit d'un désir pervertie).
FIN DU FLASH BACK
Et c'est juste après ça que mon sort fut scellé. Les deux personnes que j'aimais le plus au monde m'avaient vendu sans la moindre hésitation à un homme aux intentions bien direct. Ils avaient condamné mon sort me privant de toute once de bonheur et de joie. Ils avaient fait de moi une simple coquille vide qui fut après le temps entraîné pour ne rien ressentir et ainsi mieux abattre ses cibles.
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Toujours Seule... ≈ Always Alone...
FantasyHana Hiiro était une fille à l'air sympathique et joyeuse, mais tout ça c'était avant. Après que celle-ci fut vendu comme un simple objet pour le simple prix de 65690 yen (= 500, 00 Euro , en France). Hana Hiiro n'a plus jamais été la même et cela o...