Chapitre 4: Escapade au dessus du mur (PDV: T/p)

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Jean tenait fermement mon bras. Il courait trop vite pour moi, je n'avais plus de souffle. J'ignorais ce qu'il avait dans la tête.
« - Puisque tu n'as pas encore récupéré ton équipement tridimensionnel, je tenais tout de même à te montrer le haut des murs à l'aide du miens. » me dit-il.

Je ne réalisais pas le fait qu'il veuille passer du temps avec moi en dehors de l'entraînement.
Il me demanda de m'agripper contre lui et de le tenir fermement. Son cœur battait contre ma poitrine, il avait l'air tout autant essoufflé que moi. Ce moment où nos voltigions l'un contre l'autre restera à jamais gravé dans ma mémoire.

Une fois arrivés en haut du mur, nous enlevions nos vestes pour les poser à terre afin de s'asseoir dessus. Jean sorti une gourde de son sac et me donna de l'eau. C'est vrai qu'après ce sprint j'étais assoiffée. Il but ensuite à son tour dans le récipient.

On se regardait dans les yeux et aucun de nous deux n'osait parler

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On se regardait dans les yeux et aucun de nous deux n'osait parler.

Jean pris la parole: « - Tu sais

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Jean pris la parole:
« - Tu sais...
- Vous deux ! Vous étiez pas censés vous entraîner au lieu de vous la couler douce ? » c'était le caporal Livaï, il nous avait surpris sur le mur.
« - Du calme on prenait juste une pause ! » lui répondait Jean.
Je regardais les deux hommes se disputer sans qu'un son ne sorte de ma bouche.

« - Très bien si vous voulez passer du temps ensemble vous allez me faire le plaisir nettoyer tout le bâtiment demain matin, pendant que les autres profiteront de leur jour de repos ! » rétorqua le caporal.
« Laisse T/p en dehors de ça ! C'est moi qui l'ai emmenée ici, elle n'a même pas encore d'équipement tridimensionnel.
- Très bien, ce sera demain toute la journée puisque tu discute mes ordres !
- Va te faire foutre Livaï ! » répondît Jean.
Le caporal s'empressa de frapper de toutes ses forces le bras de Jean. Il cria de douleur. Puis me pris avec lui pour rentrer. Je me retournais en apercevant Livaï immobile, nous jetant des regards noirs.

 Je me retournais en apercevant Livaï immobile, nous jetant des regards noirs

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Une fois arrivés Jean m'accompagna jusqu'à ma chambre. Je ne pouvais pas le laisser dans un tel état, il avait le bras en sang. J'ai donc décidé de lui faire un bandage pour stopper l'hémorragie.

Jean me remercia en m'embrassant le front puis il partit rejoindre sa chambre

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Jean me remercia en m'embrassant le front puis il partit rejoindre sa chambre. Mon corps tout entier tremblait.
Quelle journée ! Et dire que nous allons encore partager celle de demain. J'en suis déjà angoissée...

Jean Kirstein X Reader (Lemon)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant