Chapitre 5: Un drôle de produit nettoyant (PDV: Jean, T/p)

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Lemon (-18)

(PDV: Jean Kirstein)
J'ai peu dormi parce que je cogitais trop hier soir. J'entends une voix
« - Jean, T/p t'attend.
- Qu'est-ce que tu racontes ?
- Dépêche toi de te préparer ou c'est l'autre bras que je vais t'ouvrir. »
Merde c'est Livaï, j'avais oublié que je devais nettoyer tout le bâtiment.
J'ouvre la porte de ma chambre, devant moi de tient T/p avec des produits ménagers. Elle est vraiment jolie, même le matin.

Hier soir j'ai pu réfléchir, peut-être que j'ai réellement eu un coup de foudre pour T/p qui est à la fois une inconnue et une personne avec laquelle j'ai l'impression d'avoir toujours été. Je me sens bien en sa compagnie, comme si le temps s'arrêtait ce qui me faisait oublier tous mes tracas. Je ne devrais pas trop m'attacher à elle. Dans un monde où on peut perdre des êtres chers à n'importe quel moment, il vaut mieux rester solitaire. Mais avec elle c'est différent, j'espère que la journée va bien se dérouler.

(PDV: T/p)
« - Jean tu vas bien ? T'as l'air ailleurs...
- Oui, ne t'inquiète pas ça va, commençons pour finir au plus tôt ! » me répondit-il .
Il n'avait vraiment pas lair dans son assiette, peut-être qu'il m'en voulait car j'aurais pu refuser d'escalader les murs et cela nous aurait permis d'éviter les ce ménage. Quoi qu'il en soit, c'est trop tard maintenant ! Nous posions nos vestes par terre et nous commencions le travail.

Après avoir passé toute la matinée à rigoler en nettoyant, Jean me proposa de prendre une pause déjeuner. Chacun regagna sa chambre pour se changer. J'ai remarqué que Jean était parti sans sa veste, j'ai donc décidé d'aller lui rapporter.
« - Jean tu as oublié ta... »

Il se retourna et dit:« - T'aurais pu toquer quand même !- Je

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Il se retourna et dit:
« - T'aurais pu toquer quand même !
- Je... je suis désolée !
- Attends... reste ici, je dois te parler. »

J'essayais de me concentrer sur ce qu'il avait à me dire mes mes yeux, eux, étaient attirés par autre chose. Ça fait seulement trois jours que je connais Jean et il se retrouve déjà en caleçon dans la même pièce que moi...
Il toussa pour attirer mon attention et dit:
« - Bon du coup ce que je voulais te dire...
- Moi aussi j'ai quelque chose à te dire ! » l'interrompis-je.
À ce moment précis je ne savais pas ce qui m'avait pris. J'aurais du écouter ce qu'il avait à me dire en premier.
« - Vas-y je t'en prie » dit-il
Je pris une grande inspiration et je me suis lancée.
« - Depuis ma naissance entre ces murs, j'ai toujours eu peur de mourir et ce sentiment s'est intensifié depuis que j'ai voulu rejoindre le bataillon d'exploration. Mais maintenant j'ai réussi à accepter ça, et je ne veux avoir aucun regret. Jean... je pense que je t'aime ».

Comment j'ai eu le courage de dire ça ? Tout se chamboule dans mon esprit. Peut-être que je n'aurais pas dû. Jean est comme choqué par ma révélation, il n'ose plus parler. Je décide de lui demander:
« - Du coup, t'avais quoi à me dire ? »
Jean approche son visage du mien et commence à poser ses lèvres sur les miennes.

Mon esprit abandonne totalement mon corps. Ce sentiment ne m'était jamais arrivé auparavant. Je ressens des palpitations dans tout mon être.

Jean se lève et me plaque contre le mur tout en continuant de m'embrasser. Il descend ses lèvres humides sur mon cou. Je me laisse faire, j'étais comme paralysée, c'était peut-être parce qu'il m'écrasait contre le béton. D'ailleurs il n'y avait pas que ce mur qui était solide... Je sentais contre mon entrejambe, ses battements de cœur à travers son caleçon.
Il descendit ses mains sur ma poitrine je ne pus m'empêcher de lâcher un petit soufflement d'excitation. Je n'ai jamais été aussi heureuse.

J'ai décidé de le repousser et de le plaquer contre son lit, c'était maintenant moi qui tenait les commandes.

J'ai décidé de le repousser et de le plaquer contre son lit, c'était maintenant moi qui tenait les commandes

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On s'embrassait à nouveau puis nos lèvres se séparèrent. Je descendis ma tête jusqu'à arriver au niveau de son caleçon, que je commençais à descendre.

« - Hum, hum ! » dit quelqu'un derrière la porte.

« - Bon sang ! » Jean m'ordonna de me cacher dans le placard et alla ouvrir

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« - Bon sang ! »
Jean m'ordonna de me cacher dans le placard et alla ouvrir.
« - Jean, le ménage est déjà terminé ? Et T/p tu l'as vue ? Vous avez manqué le déjeuner je vous signale » dit Livaï.
« - Non... je ne l'ai pas vue.
- C'est pour ça que t'es en caleçon ? » répondît le caporal.

Il se dirigea vers le placard... mon cœur battait, est-ce que je vais me faire renvoyer du bataillon d'exploration ?

Jean Kirstein X Reader (Lemon)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant