Il fait froid, mon corps frêle est collé au sol imbibé d'eau de pluie. Mes poignées ont mal, mon regard est troublé par chaques gouttes qui tombent violemment sur mon être démuni.. J'essaie de me lever plusieurs fois. Je tombe plusieurs fois. Jusqu'à enfin me lever définitivement.
Maintenant que j'ai une meilleure vu sur ce qui m'entoure je me rends compte que je suis au millieu d'une route entourée de gigantesques buildings. Personne aux alentours. Juste, moi.J'avance d'un pas et constata mon short sale et mouillé, ma veste à moitié déchiré. Et,... Je n'ai plus de chaussures ?
Je me retourne et les cherche du regard mais rien. Je laisse tomber mes brèves recherches et continue mon chemin,...
Je titube et mon genou gauche me fait mal, il y a une plaie ouverte qui laisse mon sang sortir à chaque nouveau pas. C'est un supplice. Mais mon envie de me protéger de cette averse est plus forte.
J'ai repéré un bâtiment ouvert, c'est probablement un hôtel. La porte claque et des feuilles en sortent. Ont croirait à une apocalypse et que tout le monde auraient disparu.
Une sensation de stress parcoure mon
Coeur jusqu'à mon ventre, je ne comprends pas pourquoi je suis là, je ne me souviens pas de ce qui c'est passé avant.Le ciel gronde, j'ai repris mes esprits, et me dépêche de reprendre mon chemin.
Je marche de plus en plus vite, je ne veux plus entendre le bruit terrifiant du ciel.J'arrive enfin devant l'hôtel, je rentre dans le bâtiment. Tout est sens dessus dessous, les magasines sont éventrés sur le sol, les restes de pots de fleurs sont maintenant de simples débris, certains cadres sont bancales et d'autres gisent au sol.
Se frayer un passage est presque mission impossible, des centaines de petits bouts de verres recouvrent le sol. J'essaie t'en bien que mal de les éviter mais certains arrivent quand même à rentrer dans ma peau et me font ressentir une sensation encore plus désagréable que de marcher à pied nu sur une route délabré.Je parviens enfin à atteindre l'escalier sans trop de dégâts. Je monte doucement en essayant de calmer la douleur de mets pieds.
Je continue mon ascension, en ignorant les multiples étages se présentant sur mon chemin, de simples bureaux rangés en ligne et des espaces vides étaient futiles à visiter.
Une fois arrivé au dernière étage je calme ma respiration, et ouvre la porte en face de moi.
Elle menait sur le toit du bâtiment.
J'avance prudemment, une sensation de liberté s'engouffre dans mon âme, la pluie s'était calmée, juste de fines gouttelettes perlent du ciel maintenant presque complètement dégagé.Ma direction pointa au bout du toit, une barrière me retiens d'avancer mais elle ne m'empêchait pas d'admirer ce paysage improbable.
Aucun humain à l'horizon, aucun mouvement, aucune forme de vie pouvant me rassurer. Juste moi et le produit de l'Homme.
VOUS LISEZ
Ecrits
RandomBien le bonjour, ici vous trouverez tous mes écrits, je vous incite à me donner vos avis étant donné que je fais ceci pour m'améliorer dans l'écriture.