Bien le bonjour ! Il y a quelques temps sur Instagram et facebook j'avais demandé des mots pour écrire une nouvelle fiction ! Je trouve que pour l'instant je m'en sort pas mal, même si j'ai quelques petites choses à améliorer. En tout cas, bonne lecture !~
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Il faisait sombre, froid.
J'étais dans une sorte de cachot, enfermée apparement. Je pouvais apercevoir pour seule lumière une ampoule qui clignotait sans arrêt.
Les murs étaient blancs, avec quelques écritures et, je pense, traces de sang.
Je ne pouvais pas bouger. Ni mes bras, ni mes jambes. J'étais attachée.
Ça me faisait mal. J'avais beau crier au secours, hurler de toutes mes forces, rien. Rien ne se passait. Personne ne m'entendais.
J'avais l'impression d'être seule. Peut-être étais-ce parce que je l'étais.
J'entendais des autres personnes, comme moi je pense, qui criaient, en espérant que quelqu'un les sauve.
Cet endroit est cruel. Il y a une porte métallique devant moi, avec une petite ouverture à la hauteur de ma tête. Je ne pouvais pas me déplacer pour aller voir.
Soudain, j'entendis des pas dehors.
Le sol semblait aussi être métallique.
Ses pas résonnaient. Je l'entend, il s'approche de moi.
Il a un pas assez lourd. J'étais hâtée qu'il vienne dans ma cellule. J'avais des tas de questions à lui poser.
Il est a la porte. Je ne l'entend plus marcher. J'ai mal au ventre, et je commence à avoir faim.
« -Tout va bien ? Me demandât l'homme.
-Où je suis ? Pourquoi je suis là ?
-T'es à l'hôpital psychiatrique.
-L-l'hôpital psychiatrique ?!
-Ouais. C'est là qu'on met les fous dans ton genre.
-Mais de quoi vous parlez ?!
-Fais pas genre. »
Il s'en alla, sans rien dire de plus.
Je fixais la porte. L'hôpital psychiatrique ? Qu'est-ce que je peux faire ici ? Je me souviens de rien...
Et puis merde. Pour l'instant je dois juste essayer de sortir d'ici.