La Valise Chatouilleuse

817 8 2
                                    

Par un bel après-midi d'été, je marche tranquillement le long des trottoirs. Le vent souffle sur et sous ma robe courte qui s'arrête en haut de mes cuisses alors que mes talons haut font claquer leurs surfaces sur les pavés en un son sec et répétitif, tandis que le son de ma valise énorme fais un bruit de vrombissement quand ses quatre roulettes glissent sur la pierre.
En effet, cette valise est assez grosse, un peu carrée. Assez pour faire passer un homme... comme toi !

Tu es enfermé dans cette valise solide et pourtant très confortable. Il va s'en dire, tu es nu comme un vers. Tu es en position assise, les jambes relever et les pieds en l'air face à la surface avant de la valise, ainsi que tes bras tirés en l'air, attachés à la surface arrière. Tu es très à l'étroit, impossible de faire un mouvement, mais cela ne t'empêche pas de bien respirer.
La valise troid tiroirs, deux son réservé pour tes pieds, qui eux sont tendus face au tiroir, tes talons plaquer au fond de celui ci et tes orteils étiré en arrière grâce au plafond, en fait, tes plantes sont étirées à leurs maximum et leur offre une parfaite exposition.
Et il n'y a plus qu'un seul tiroirs, celui réservé pour tes couilles. Elles ont été tirées et coincées dans un petit trou au fond du tiroir, si on regarde au fond de celui-ci, on peut apercevoir une jolie petite forme lisse et ronde.
Pour ce qui est de ta bite, je t'ai attaché un petit cadeau vibrant juste sous ton gland ultra sensible, j'ai hâte de m'en servir !
J'ai aussi installer un vibrateur dans ton cul pour encore plus de plaisir, peut être plus pour Mon plaisir, je ne sais pas, je verrai bien ce que tu diras... Oh non, suis-je bête, je t'ai bâillonner bien fermement à l'aide d'un de mes bas usager, et surtout, la valise et équipée d'une couche d'insonorisant dans sa doublure, et oui, j'ai prit toute les précautions pour qu'on passe tout les deux un bon moment.
Le dernier petit détails, c'est que la valise contient un micro qui est relié à mes écouteurs que je porte actuellement pour entendre ma victime "prendre du plaisir".

En ce qui me concerne, je commence a sentir l'impatience monter, alors je sors l'une des petites télécommandes de mon sacs à main et appui sur un des boutons.

Tu sent une vibration dans ton cul. Ça te fait sursauter et tu gigote un peu sous la sensation.

La valise ne bouge pas d'un poil. Je souris d'un air satisfait et continue ma route jusqu'au parc ou je veux m'arrêter pour "jouer un peu".
Pendant le trajet, je joue un peu avec la télécommande que j'ai dans les mains.
Le vibrateur dans ton cul monte en puissance, parfois redescend, il change de fréquence, des fois donne des à coups, et parfois il vibre tellement que tu gémis, mais ne t'inquiète pas, personne ne t'entend à part moi bien sûr, et j'adore ça !

J'aperçois l'entrée du parc ou beaucoup de monde se prélasse sur l'herbe douce et dense, des enfants jouent au foot et les oiseaux chantent sous un ciel radieux et si bleu.
Je repére un banc assez tranquille, j'installe la valise en face et met les freins sur chaque roue et m'assoie enfin.
J'ouvre alors un tiroir qui laisse apparaître dans l'obscurité une plante de pied bien tendue et chatouilleuse.
Je fais glisser mes doigt le long de ses longues semelles et rabats mes long ongles aiguisés pour ratisser le long de ta plante. Je sens le pieds qui sursaute et qui essaie de s'échapper, mais tu ne peux rien faire pour éviter cette torture.
Moi, je t'entend devenir fou à l'intérieur de la valise, tes hurlements de rire derrière ton bâillon puant et baveux m'excite beaucoup, donc je continue encore plus intensément.
Je monte en tension le vibrateur dans ton cul qui est maintenant au maximum de sa puissance et des couinements se mélangent maintenant à ton rire hystérique.
J'ouvre je deuxième tiroir et te chatouille les pieds avec mes deux mains à la foi. De loin on a l'impression que je cherche des affaires perdus dans les tiroirs de ma valise. À t'entendre, j'ai l'impression que tu va exploser, alors je prends plaisir à allumer le vibro sous ton gland, et j'arrête le chatouillement. J'entends des gémissements profond alors que le vibromasseure te titille le bout.
Je regarde autour de moi et aperçois une glace fondue par terre, une tonne de fourmis s'y affaire, alors je laisse glisser un doigt dans la mixture encore un peu froide et collante pour récupérer le plus de ces petits insectes. Je laisse une trace sur tes deux plantes et sur tout tes orteils tiré en arrière et elle n'ont aucun mal à passer entre.
Dans mes écouteurs, je t'entends explosé dans un rire étouffer et maniac, qui aurait cru que ça marcherait autant ? J'avoue que j'adore l'idée, alors je rajoute encore plus de fourmis sur tes plante et je referme les deux tiroirs.
La valise ne bouge toujours pas mais on peut percevoir tes hurlements comme des petites vibration.

Tu sent un air doux te carresser les couilles lissé et exposé alors que je récupère le bâton de glace grouillant de fourmis et jete à l'intérieur du tiroir et le referme sans hésiter.

Les fourmis qui courent partout sur tes couille et tes pieds te rendent complètement dingue alors que tu es à deux doigt de craquer.
Une jeune femme s'approche du banc et me demande d'un ton perdue où se trouve le musée de la ville, elle me tend un plan que je réceptionne et que j'étalle sur la valise.
Tes hurlements commence à faire s'interroger la femme et elle me regarde d'un air suspicieux.
"J'ai oublié mon téléphone à l'intérieur et c'est tellement la pagaille que je ne peut pas le ressortir avant d'être arriver chez moi, c'est certainement quelqu'un qui cherche à me joindre" dit-je en lui expliquant du'un ton convaincant, elle me sourit en acquiesçant et je lui pointe du doigt l'emplacement du musée sur sa carte, puis elle repart.

Je doit dire que je l'ai échapper belle, mais pour ça je vais devoir te punir.
Je quitte mes escarpins rouge et mes bas de mes beau pieds endoloris et j'enfile des sandales que j'avais dans mon sac.
J'ouvre la trappe par laquelle j'ai accès au reste de ton corps, je prends un de mes escarpins et te l'attache au visage à l'aide d'un bas, te plongeant le nez à l'intérieur de la chaussure et prends mon deuxième escarpins que je j'enfile sur ta bite dur comme la pierre, ton gland touchant la position habituelle de mes orteils.
La nouvelle vague d'odeur te fait encore plus pleurer les yeux, alors qu'à chaque fois que tu respire, tu sent la puanteur de mes pieds ayant marchés des heures.

Je referme vite la valise et me saisi des télécommande, je monte tout les vibrateur en puissance max et attend le résultats, les écouteurs dans les oreilles, appréciant chacune de tes réactions.

Après quelques secondes, j'entends un hurlements de jouissance et de rire mêlé. Tu vien d'exploser ta charge dans mon escarpin et tu continue de rire hystériquement alors que les vibrateurs et les fourmis continuent de faire leurs boulot sans s'arrêter une seul seconde.

Je me lève et prend la valise en direction des toilettes publiques, je vais chez les femmes et tire la valise dans les toilettes, je sort et te ferme a l'intérieur avec le loquet.
Maintenant tu as tout le temps de t'amuser, j'espère pour toi que quelqu'un te trouvera, mais je n'espère pas trop quand même...

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Dec 06, 2021 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

La valise chatouilleuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant