CHAPITRE IV

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           Phil me traverse: pour ce qui n'aurons pas compris ceci signifi que je n'était pas composé de matier palpable.

          Ceci n'étais donc qu'un rêve... ne pouvant y croire je procède au teste ultime anti-rève: je me boucha donc les narines (c'étais le pricessuce anti-rève: c'est cadeaux c'est gratuit) et me rendis compte que ceci ne m'empechaus pas de respirer. Je me soumi au evidance:aussi decevant que ceci pouvais etre ceci n'étais qu'un rêve.

          Repensant au parole de Phil avant de dormir, (resonement foireux dans 3) et me disant que (2) dans un reve (1) tout est possible...(0) je tentas de rembobiner le temps...

          Joignant mes mains et me concentrant, j'essaya de remonter le temps, en vain, puis encor une fois, et encor et encor, ce fus echec sur echec. voyant que ceci ne donnais rien je pris la decision d'aller dans ma chambre et de me reveiller.

          C'est avec cette idée en tête que je rebroussa chemin. Entre temps les lumière c'étais éteinte et Phil était partis, j'entras dans ma chambre et un vive douleur me saisi mon sang se mis a se deverser de ma bouche, la douleur me mis a genoux, levant les yeux vers les apareils a coté de mon lit je les vis s'affolé puis s'éteindre...

DreamerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant