comme une malédiction
La jeune Edna était rentrée dans la chambre. Les mains tremblantes. Elle ne tenait pratiquement plus sur ses jambes, imaginant tout ce que la personne allait lui faire.La tenue qu'elle devait mettre, si elle pouvait appelé ça une "tenue". Etait un ensemble de sous vêtements tres peu habillé, rouge avec beaucoup de dentelle.
Elle n'avait jamais pratiqué quoi que ce soit avec un homme, et imaginer perdre sa virginité d'une telle manière était horrible.
Elle ne pouvait pas fuir, ils la retrouverait forcément. Et fuir dans un pays que tu ne connais pas n'est pas chose aisé.
Alors, elle subirait en silence, et se laisserait mourir. Elle se maudissait de penser comme ça, et d'abandonner aussi lâchement sa mere et Molly. Mais que pouvait elle faire de plus ?À part prier ?Perdue dans ces pensées, Edna n'entendît pas la porte s'ouvrir et se fermer. Sur un homme, présentant une barbe de trois jours et un ventre semblable à celui d'une femme enceinte.
Edna se tournait et retenait un vomi qui menaçait de sortir à tout moment.
Alors que l'homme se mettait sur elle, les mains baladeuse et la langue dans son cou.
Edna craquait et pleurait en silence.L'homme avait finit son affaire et commençait à se rhabiller. La jeune femme était presque inconsciente, les yeux baignants dans les larmes.
C'était une douleurs horrible qu'elle ressentît à ce moment-là. Plus psychologique que physique.
Et s'en était trop pour elle, le vomi qu'elle retenait depuis le début n'attendait que de sortir. Elle courait alors au toilettes et vomissait ses tripes, en pleurant.
Elle se sentait encore plus sale désormaisAprès que l'homme soit partit, elle partit se réfugier dans la douche. Frottant son corps de plus en plus fort, avec espoir de ne plus jamais sentir les mains de l'affreux sur elle.
Son corps était rouge, brûlé sur quelques endroits où elle avait frotté.En sortant, l'homme qui était venu la chercher l'attendait. Avec un grand sourire.
« Tu as deux nouveaux clients ce soir. Gab t'as adoré et il t'a venté auprès de tout le monde ! J'espère pour toi que tu seras prête.»
Oh non.