Il fait froid, très froid. Mes mains sont gelée, j'aimerais que tu sois là pour les réchauffer comme tu le faisais si bien chaque matin quand on se rendait au lycée. Ta présence était la seul chose dont j'avais besoin. Tes lèvres étaient mon seul médicament et tu me disais que ce n'était rien...
Des mots , tu ne demandais que ça. Mais la froideur de l'hiver les avait bloqués. Tu m'en voulais par mon silence , tu voulais écouter l'eurythmie de mes mots. Mais ma polarité, ma stabilité tourmentée m'en empêcher. En pensant à toi tous les mots se mélangé , Et en ta présence ; tout s'effaçait, se perdaient et jamais elle ne se retrouvées. Ton amour était mon ivresse, toi ma faiblesse. J'aurais tellement voulu t'aimais comme tu le souhaitais. Hors ,tu n'étais pas adon de ce que je pouvais t'offrir ,c'était compréhensible , je ne pouvais pas t'offrir quelque chose de rare , ni de précieux.
Seulement un amour banal à ennuyer.
Ce soir-là , où la nappe dorée des crépuscules s'était posée sur la ville , on était prêt l'un de l'autre. La hauteur sur laquelle on s'était retrouvé nous offrait une vue sur la moitié de la capitale de l'Est qu'est Tokyo. Si ma concentration était braquée sur toi , je voulais lire ,ce que cet air étourdi, tu tenais ce soir-là. Je ne voulais pas que tu sois une énigme pour moi malgré le fait que je l'étais pour toi. Je voulais survoler les fins fond de tes pensées sans pour autant que tu ne saches quoi que ce soit sur moi , c'était ce que j'espérais. Tu étais un roman agréable à feuilleter et j'étais un manuel de maths : casse-tête dont la lassitude du lecteur était très vite présente... ouais , je donnais la migraine. Alors que toi , plus on lisait, plus on aurait aimé en découvrir.
Bokuto-San voulais me protéger de toi, mais sans m'en rendre compte j'étais déjà tombé dans tes bras. Je le remercie d'avoir pris soin de moi à sa manière ,peu délicate ,quand ces derniers mois, je me sentais pathétique face à toi. Une peluche hibou peut finalement me faire sourire...
On devrait en arrêter là. Tu vas sûrement me dire que je n'ai rien fais et c'est exactement ça que je me reproche. Prend soin de toi.
Elle ;
Je savais depuis le début que c'était lui... Épargne-moi tes excuses Akaashi. Je demandai des mots pour me rassurer , mais très vite j'ai compris que c'était lui qui avait la place que je voulais dans ton cœur... Alors je voulais la lui prendre , faire en sorte que tu m'appartiens... Mais c'était à peine si je t'intéressais. Je t'aime , à sens unique , sous n'importe quelles facettes. Et juste parce que je t'aime je t'oublierai : tu seras un inconnu avec qui j'ai eu des souvenirs, je parlerais de toi au passé et nos moments ensemble deviendront lointain.
Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.
