Chapitre 1 : Une nouvelle mission

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Salut la compagnie :)

Bienvenue sur cette song fic. C'est la première que j'en fait une, alors soyez indulgents ! Pour ce qui est de l'histoire, comme elle est très fortement inspirée de la chanson One Shot des B. A. P., il risque d'y avoir des ressemblances, très probablement avec d'autres fics et je m'en excuses d'avance. Je ferais quand même en sorte que cette fic ne fasse pas trop.... Déjà vu... (alors, pardonnez-moi si ça part facilement en steak...) Présence des B. A.. P. (logiquement...) et des Block B (+ d'autres gens de groupes de k pop) qui ne m'appartiennent pas... Yaoi. Couples surprises. Excusez certains abus de languages.

Bonne lecture ;)

PS : cette fic se déroule sous le PDV de Youngjae

Ne pas avoir vraiment d'existence. Travailler de jour comme de nuit. Savoir avoir plus de chances que n'importe qui de mourir. Être continuellement face au danger. Et pourtant continuer encore. Son nouveau travail ? Infiltrer un petit gang qui, malgré le nombre peu important de ses membres, dominait une zone trop large pour que les Forces Spéciales de Corée du Sud ne s'en soucie pas. D'autant plus que ce groupe, appelé étrangement B. A. P. (je sais, je suis très très originale....), ne cessait de rivaliser avec un autre gang tout aussi important qu'eux, si ce n'est plus, les Block B. Ces deux puissances s'opposaient souvent dans des combats de rue dangereux pour la population, ce qui avait fini par prendre forme sous une requête d'intervention des Forces Spéciales. Dont je fait partie... Et m'étant à plusieurs reprises démarqués lors de missions d'infiltration parfaitement réussies, j'avais été, sans trop de surprise, désigné pour me charger d'infiltrer le gang des B. A. P.. Sans grande surprise non plus, mon chef de mission, un certain dénommé Baekho, s'inquiéta pour moi et pour mon jeune âge, me prévenant sans cesse du niveau de dangerosité de cette mission, s'appliquant à m'expliquer que si j'y renonçais dès maintenant (avant qu'il ne soit trop tard), il le comprendrait très bien. Sauf qu'il y a une chose qu'il ne sait pas. C'est que je n'ai pas le choix. Je levais des yeux profondément las vers lui et laissais un profond soupir d'exaspération s'échapper de mes lèvres. Je redressais fièrement la tête avant de déclarer d'un ton glacial et déterminé :


« Je n'ai pas besoin que vous me le rappeliez, chef. Et j'ai déjà pris ma décision. Elle ne changera pas. »


Baekho planta ses yeux noirs dans les miens et me dévisagea longuement, évaluant sans doute ma force psychique avant de me jeter dans la gueule du loup. J'affrontais posément et calmement son regard scrutateur, et cela sembla le satisfaire puisqu'il finit par hocher la tête d'un air satisfait.


« Je vous laisses carte blanche. Menez cette mission comme vous l'entendez, mais, surtout, réussissez-là. »


Des ordres brefs, clairs. J'étais désormais libre d'agir à ma guise pour piéger les membres si terrifiant (d'après les autres... moi, je n'avais pas vraiment d'avis sur la question) de ce gang...



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Je partais du Q.J. aussi rapidement et discrètement que je m'y étais rendu. J'avais toujours préféré travaillé en solo, en toute liberté de mes mouvements, sans la contrainte de devoir écouter les plaintes d'un quelconque coéquipier dont je ne me souviendrais, de toute manière, jamais le prénom, et qui ne cesserait de dire que mes plans étaient beaucoup trop dangereux... Pourtant, je m'en sortais toujours vivant et entier, même si jamais complètement indemne. Et je m'en moquais, puisque mettre ma vie en danger était, de toute façon, mon métier maintenant. Et puis, être confronté à la mort très souvent me faisait gagner pas mal d'avantages, alors... Je m'en moquais un peu, tant que je pouvais voir ma sœur et ma mère en sûreté et en bonne santé. Je dirigeais mes pas tranquillement vers ma chambre d'hôtel. Là, je changeais mon costard pour des vêtements beaucoup plus simples et d'un style beaucoup moins... classe dans le sens de la haute société. En même temps, je n'allais certainement pas réussir à récolter des informations discrètement pour trouver les B. A. P. et les intégrer avec mes vêtements officielles, ou mes costards que j'aimais bien mettre pour les réunions comme celle-ci au travail. Ça rendait toujours bien. Et ça me permettait d'avoir beaucoup plus facilement la confiance de mes collègues. Moi, manipulateur ? Mais pas du tout, voyons... ! Après avoir rassembler un tas de vêtements appropriés à ma mission dans un sac de sport, je passais un rapide coup de fil à l'une de mes vieilles connaissances (qui ignorait mon métier, mais qui s'en moquait tant qu'elle était payée grassement...), réputée dans tous les milieux tels que trafics de drogue, marché noir, gang... Et de façon assez surprenante, en logement également. Évidement, les studios qu'il louait à ses clients étaient toujours miteux, dans des bâtiments théoriquement désaffectés, donc toujours en très mauvais état. Mais mieux valait paraître pauvre et malfamé pour s'intégrer dans ce genre de milieu alors... L'état des lieux m'indifférait maintenant. La première fois, je dois avouer que j'avais eu du mal... Surtout avec la puanteur qui régnait là-bas continuellement. Mais c'était maintenant la troisième fois que je recourais à cette méthode alors j'avais eu le temps de m'adapter psychologiquement à la situation. Et puis, après deux missions d'infiltration, je dois dire que j'avais l'impression d'avoir déjà tout vu en matière d'horreur humaine... Donc ce n'était certainement pas cette petite épreuve de rien du tout par rapport à ce qui m'attendait qui allait me démotiver ou me faire renoncer. Et puis, comme je l'ai déjà dit, je n'avais pas le choix. J'obtenais assez rapidement l'accord du propriétaire pour un de ses studios, dans la zone contrôlée par les B. A. P., mais suffisamment à l'écart pour rester discret sans pour autant paraître suspect. L'appart était situé aussi assez loin de la principale zone de confrontation entre B. A. P. et Block B, c'est-à-dire, à la frontière est de leurs territoires.

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