Isn't Being A Wicked Woman Much Better? (novel)

Prologue

Deborah Seymour.

Elle est la fille du Duc Seymour, le puissant dirigeant du continent, et est célèbre pour avoir commis toutes sortes d'atrocités.

Lorsque Deborah, qui porte le titre de femme maléfique, est apparue à la fête, un silence calme a suivi dans la salle qui était autrefois remplie d'une atmosphère animée.

'Mais qu'est-ce que c'est que ce maquillage ?'

'C'est pire que ce qui était décrit dans la rumeur.'

La princesse Deborah était l'incarnation complète d'une sorcière qui n'apparaissait que dans les romans et n'était que vaguement imaginée parmi les citoyens.

Des yeux vifs, un maquillage des yeux duveteux, des lèvres rouges pulpeuses, une peau pâle, et les toujours sombres cheveux violets sans aucun accessoire pour les décorer.

Si les sorcières existaient, elles lui auraient ressemblé exactement.

Les autres dames qui ont participé à la fête portaient des robes aux tons pastel surmontées de corsets pour correspondre à la saison actuelle, le printemps.

Cependant, Deborah est apparue dans une robe au design peu conventionnel.

Ne sachant par où commencer tant la princesse avait l'air désordonnée, certaines dames ont couvert leurs visages raides avec leurs éventails et ont laissé échapper un court soupir.

Mais, la tenue que portait la princesse lui allait trop bien.

Comme les femmes à la beauté impressionnante, elle avait un regard qui pouvait posséder les gens, la faisant ressembler davantage à une sorcière.

C'est alors qu'elle s'est dressée devant le Baron Marco en sortant son éventail.

Hmph- !

Puis, elle a giflé sa joue droite en utilisant une force immense.

Bientôt, le son glacial du visage giflé résonna dans la salle.

En raison de la force qu'elle a utilisée, le baron est tombé à plat sur le sol.

"Hah....."

"Oh mon dieu."

Les dames au cœur faible ont titubé après avoir assisté à ce spectacle choquant.

Le visage du Baron Marco, qui a été battu avec un éventail sorti de nulle part, était taché de perplexité.

Il fut bientôt confronté à l'humiliation.

"P-Princesse Deborah. Pourquoi avez-vous fait ça tout d'un coup ?"

"Ma main a glissé."

Elle répondit avec un visage sans expression, et bientôt, leva à nouveau les bras et gifla la joue gauche de l'homme, comme s'il était une simple mouche.

"Cette fois, je me suis foulé le poignet."

Son ton indifférent a secoué la moustache de bouc de l'homme.

"P-Pourquoi faites-vous cela, Princesse Deborah ?"

Elle a approché ses lèvres de la question de l'homme.

"Je vous ai dit que ma main a glissé toute seule. Et, au fait, votre visage est plein d'huile. Essuyez-le bien."

Deborah a sorti son mouchoir et l'a jeté au baron, et sans pitié, elle s'est retournée et s'est éloignée.

Un silence à couper le souffle a suivi.
'Oh mon Dieu.'

'Qui a bien pu inviter cette femme effrayante à la fête ?'