Il était une fois dans une région très lointaine, un pays dépourvu de vivres qui survivait dans la misère et la faim et à l'apocalypse totale. Il y habitait un marchand replet, celui ci était très poltron. Avant c'était un jeune homme pensif, ambitieux... Mais l'affreuse guerre ne le ménagea, il en revenu changé, épouvanté, vidé et terriblement acariâtre. La lueur qui brillait autrefois dans ses prunelles furent éteinte à jamais.
Il ordonnait un travail impeccable à sa famille pour essayer de vivre ou plutôt de survivre. Il avait une femme reine de la simplicité et qui se révélait être assez efficace au foyer et pour garder ses enfants.
D'ailleurs des enfants il n'en manquait pas, cette dernière avait eu trois fois des jumeaux.
"Pauvre femme" pensait le marchand des fois et le soir même l'emmenait regarder le clair de lune.Non loin de là, vivait un prince, il avait une réputation fort mauvaise auprès des villageois depuis qu'il avait participé à une action qui avait pour but d'attaquer les gens du peuple et aux guerres qui précédaient la famine, les pénuries d'eau, les maladies et infections graves. Lâchement, il les avait laissé seuls sans aucune aide pour réparer les dégâts qu'il avait causé.
Le dédain était tel qu'il ne pouvait plus entrer dans le petit bourg sans prendre ses jambes à son cou.A vrai dire les habitants n'en savaient rien Mais il était vaillant et décida un jour de se remettre en question il ne devait plus habiter dans un village si morose ...
Le Marchand de fruit était rempli de couardise, face au nobles de sa région.
Il était habitué, mais malgré cela il restait pleutre, mortifié, se remémorant le jour du massacre, "la prouesse du prince". La crainte s'empara totalement de lui, il en resta hébété à côté de ses clients. Hardiment il s'était battu pendant cette guerre atroce, il avait bravé les mille et un dangers. Ce jour là, il se leva , peureusement, pétrifiait par ces souvenir effroyables, comme chaque jour depuis la fin de cette guerre puis s'arrêta net.Dédaigneusement, au même instant à la même seconde où presque le prince se réveilla, arrogamment, pris son déjeuner , mais téméraire décida de braver l'ingratitude qu'il avait jeté au peuple et de trouver une solution pour brisé les tensions. En éclair il se leva, débarrassa la table , il devait agir rien ne devait plus tarder, jamais plus maintenant, il prit un papier quelconque et mit ses idées à l'écrit.
Progressivement pendant que vigoureusement sa main écrivit à toute vitesse , sans savoir qu'il commençait à élaborer quelque chose, un plan.
Il ratura a plusieurs fois mais il ne se dit que jamais plus jamais il n'abandonnerait. Tel Sherlock Holmes, il observe, il déduit, il trouve une solution.- Primo j'observe, dit-il, que pèse sur le village une grande tension, à cause de moi bien évidemment.
Secundo ou deuzio, il faudrait que je me mette à rude épreuve pour régler tout ça, ce que j'ai fait est impardonnable, il faut faire preuve de patience et de persévérance . Être à la fois Courtois et franche. Faire des dons à l'église, pour que les orphelins puissent obtenir de la viande être rassasié à la fin de chaque repas. Offrir à l'ivrogne qui dort un domicile, à la veuve et au bambin malade qui traîne chez elle de l'argent. Aider les commerçants, tout le monde en soi. Écrire une lettre en présenter des excuses elle sera placardée sur tous les murs de toutes les maisons du village.
Tertio. Peut-être arriverais-je à me faire pardonner. Je l'espère sincèrement.Une fois que le prince eut fini de mettre tout ça à bien, il fit une sieste. Pendant que son fidèle associé cousait un costume en y apportant quelques modifications pour que le prince soit y plus à l'aise dedans.
Pourquoi me demandez vous, ce qu'est ce costume ?
Non absolument non il n'allait pas se pavaner en mangeant des pâtisseries plus extravagantes les unes que les autres. En fait il n'allais pas du tout au bal masqué , mais ça lui avait donné une idée.
Pour se faire pardonner il allait être le Robin des Bois des temps modernes, distribuer de l'argent faire des sorties nocturnes c'est ce dont il avait toujours rêvé. En plus d'apaiser les tensions il pourrait avoir plus d'expérience même si soit disant cela ne concordait exactement avec son titre de prince, peut-être que ça lui apporterai des ennuis finalement. Il devait le faire pour les villageois. Si ça marchait il irait même plus loin, dans d'autres villes, pour guérir la famine et les pénuries.
Il serait sûrement rechercher dans le milieu de la noblesse dans les grandes villes , les affiches avec sa caricature dessinée dessus recouvriront les murs « Attention Mesdames et Messieurs des le coucher du soleil notre ami le menteur et sournois Renard pille les nobles et rode dans la ville pour distribuer à autrui, si vous le trouvez rendez-vous dans le palais de justice le plus proche, une récompense de 100000 franc vous sera donné ». Nombreux seront ceux qui le chercheront. Il y aura de l'action mais aussi des risques, mais ce sera mieux que de rester enfermé dans un palais aux senteurs de renfermé. On l'appellera... Le renard. Il sera reconnu par les pauvres et détester par les riches.Ayant fini sa sieste, il demanda « Mon ami, as-tu fini les costumes, j'espère pouvoir agir demain soir, quand le soleil sera au plus bas, je bondirai d'arbre en arbre. »
- Bien sûr Sir, quelques instants , je viens de m'apercevoir que l'une des manches c'est plus court que l'autre, d'ici une ou deux heures j'aurai fini répondit son cher associé.
Le prince alla dans la salle des armes. Là où trône ses grands tableaux de chasse.
Il affichait est une mine plutôt heureuse. Arrivé devant le buffet, il prit une épée , elle appartenait à son père : il était mort avec sa mère quand un bateau à chavirer en plein dans l'océan indien.
Elle était belle la lame coupante, il l'a pris d'un geste mal assuré, le front livide il ne savait pas ce qu'il faisait. L'épée était lourd pour ces petits bras maigrichon. mais là il se souvenu d'une chose : son frère avait un professeur d'escrime très compétent, qui lui avait appris beaucoup de choses.
Il il se demanda s'il pouvait encore l'entraîner.
Il lui envoya un télégramme, en lui demandant s'il pouvait venir dans sa demeure, pour mettre à exécution ses compétences. Il espérais qu'il exerçait encore ce métier et qu'il pourrait se libérer si par hasard c'était encore le cas . Et lors de ces expéditions il pourrait se défendre contre les officiers du roi et d'autres personnes un exemple : ses ennemis.
JOURNAL DU RENARD :
Le 18 janvier 1889
Aujourd'hui je suis en complet décalage, la raison : et bien depuis un bon mois mes sortie nocturne on pris du tournant, grâce à mon associé qui m'a fabriqué un superbe costume que j'arbore des que le soleil est au plus bas, grâce à mon professeur d'escrime avec le quel je m'entraine avec force et courage. Tant que par exemple le nuit dernière j'ai réussi a volé une énorme bourse et des colliers en qui appartenaient a une duchesse, je l'ai donné à l'église.
Je me suis fait pardonner de nuit mais pas de jour , enfin j'ai commencé mais pas encore.
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DiversosPetite nouvelles /!\ Attention vous rentrer dans où mon n'imagination et mes rêves se méles pour former de splendides ( et un peu zarbies) histoires. Je ne doute pas un instant que tu vas me trouver bizzare alors ne te pose pas de questions et ouv...