GOJO SATORU X LECTRICE
One-shot (1060 mots)
Avertissement: contenu à caractère explicite
Présence de gifs (7)
Inspiré de la chanson: "Tomber dans ses yeux", de la comédie musicale 1789, Les amants de la Bastille.
Publié le 28 JUIN 2021
Gojo Satoru Jujutsu Kaisen Pas de spoil One-shot à caractère explicite Présence de gifs (7) Inspiré de la chanson ci-dessus 1060 mots
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Qu'on soit clair, je ne sais pas ou alors j'ai oublié (si ça a été dis dans le manga) pourquoi Gojo garde son bandeau. Si quelqu'un s'en souvient, merci de laisser un commentaire explicatif à ma pauvre personne sans cerveau 🥲
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Tomber dans ses yeux -
1889, les amants de la Bastille
Tu faisais tout ce qui était en ton pouvoir pour rendre le bruit de tes pieds touchant le sol à chaque pas, le plus silencieux et inaudible possible. Essayant tant bien que mal de le surprendre.
Tu étais maintenant à l'entrebaillement de sa porte, il était dos à toi, face à la fenêtre de sa chambre. Toujours dans son uniforme d'exorciste, portant son fidèle bandeau cachant ses yeux que tu trouvais beaucoup trop magnifiques pour être couverts de la sorte.
Pourtant, tu savais que c'était pour son bien-être, qu'il devait les laisser couverts pour ne pas avoir de violentes migraines ou se rappeler ce que lui apporte ses yeux à chaque fois qu'il voit leur reflet.
Gojo: Tu sais que je peux sentir ta présence et que tu es incapable de me faire peur?
C'est toi qui a fini par pousser un cri et sursauter quand tu l'as entendu parler. Mais l'acte qui a réussi à t'arracher un frisson sont ses lèvres contre ton cou et ses bras fermement entourés autour de tes hanches.
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Tu étais maintenant plaquée contre son corps. Tu savais qu'il était plus rapide et discret que n'importe qui mais, tu ne l'avais pas lâché des yeux une seconde.
Gojo: Que me vaut l'honneur de ta visite, mon cher amour? T/P: Hmhm, je voulais juste te voir. Je n'en ai plus le droit? Gojo: Oh, bien-sûr que si. Tu sais que tu es toujours la bienvenue quand je suis là.
Tu souris tendrement, sentant toujours ses lèvres se déplasser le long de ton coup. Il t'entraîna finalement à l'intérieur de sa chambre, prenant soin de fermer la porte en un coup de coude.
Tu ressentais cette tension particulière qu'il y a avait souvent entre vous deux, et que vous assouvissiez quasiment à chaque fois. Il te poussait d'ailleurs petit à petit vers son lit.
T/P: Désolée mais non, pas cette fois, je suis juste venue te chercher, le vieux veut te voir.
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