Les beaux jours semblent loin,
Loin de moi encore j'y pense,
Quand mon art avait un sens,
Je les cours après au besoin!Au besoin de ressentir ce plaisir,
De voir mes lecteur sourire,
Comme des enfants à force de me lire,
J'aimais ce petit délire!Ce délire de phantasmes alphabétiques,
Qui glissait des lèvres magnifiques,
De mes lecteurs figés et fascinés,
Par la beauté de mes rimes embrassées,Mes rimes qui suçaient leurs lèvres,
Et les salivaient d'euphories et de plaisir,
De curiosité, d'obsession et de désir,
Le Désir de me relire jusqu'à ce qu'ils crèvent.Les beaux jours sont loin,
Loin encore quand dans leurs corps,
Je pouvais sans moindre remords,
Créer des frissons de la plus belle façon.Mon art ne sait plus faire glisser un slip,
Pour faire pénétrer tout au fond,
La semence de ma vile passions,
Il est sans valeur, il est RIP!Il ne sait plus faire des caresses,
Il a perdu toutes ses bassesses,
Il a perdu tout son adresse,
L'adresse de fasciner, captiver et d'ensorceler!Les beaux jours semblent si loin!
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Mon Apologie d'éctivain
PoetryComment je m'inspire Pour toujours écrire, Ces textes que vous aimez lire? Je mets d'abord un son doux, J'écoute les paroles, Grâce à mon imagination folle, Je recompose le tout. Je dis des choses jolies, Avec un peu de folie, Pour que quand tu me l...