Mon patron
Je travaille en tant qu'assistante marketing dans une entreprise très réputée de New York. Et mon patron est un vrai tombeur.
Avec Son costume noir qui fait ressortir ses Yeux marrons, j'ai du mal à suivre la réunion. Cet homme dégage une aura de mystère. Il est si sûr de lui, il parle sans difficulté prenant son temps, en maître de ce qu'il fait.
Son regard croise le mien et il me fait un petit sourire en coin. Putain, je mouille carrément là! Faut vite que je me reprenne et que j'écoute un peu la réunion.
Je l'entends parler de son prochain projet qui, selon lui, va rapporter des millions à l'entreprise. Je l'écoute déjà plus, mes yeux sont orientés vers ses lèvres pulpeuses, mais pas trop juste ce qu'il faut. Je me demande ce qu'il pourrait faire avec...
- Mademoiselle Willer, vous êtes d'accord avec moi? Qu'en pensez vous?
Mon nom dans sa bouche est tellement sexy qu'il me faut une seconde pour me rendre compte que c'est à moi qu'il parle.
J'en perds tous mes moyens et dire que j'avais toujours un peu détesté mon père pour ce nom de famille.
- Je...je suis totalement d'accord. Je pense que c'est le chemin à prendre pour assurer l'avenir de l'entreprise et gagner des millions au passage.
Je ne peux plus soutenir ce regard.J'ai. chaud.
- Très bien. Merci à tous d'avoir participé à cette réunion, nous avons terminé.
Tout le monde se lève et prend la direction de la porte. Je n'ai pas encore ramassé mon classeur et tout le reste, ce qui me prend un peu plus de temps. Lui me regarde, debout les mains dans les poches. Je n'ose pas relever la tête, je fais aussi vite que je peux et sort de la salle.
- Retenez moi l'ascenseur, je dois d'abord passer un appel.
Je fais ce qu'il me dit et l'attend dans l'ascenseur. Il y pénètre avec sa démarche de mannequin et sa perpétuelle confiance en lui.
Et dire qu'on est que tous les deux Et dire qu'on est que tous les deux dans cette petite cage, fait monter ma température d'au moins dix degrés. Il est un peu en avant alors je peux me rincer l'œil en toute tranquillité.
Son costume laisse paraître son dos large et musclé. Son fessier semble ferme et bien rebondi. J'ai envie de les croquer. Levant la tête, mes yeux rencontrent les siens dans le miroir. Merde, il m'a vue. Quelle honte!
Il se déplace de quelques pas pour appuyer sur le bouton d'arrêt d'urgence. Mais qu'est-ce qu'il fait??? Il ne peut pas arrêter un ascenseur comme ça. Enfin...oui... il peut c'est tout de même le PDG.
Il s'approche de moi, il est près... très près. Je deviens haletante. Je n'ose pas bouger. Il se colle à moi, et je sens son érection. Ça doit être une grosse, j'ai envie de le toucher mais je me retiens. J'entre ouvre la bouche à là recherche d'un peu d'air. Je suis sûr qu'à cet instant il pouvait lire tout le désir que j'éprouvais.
Il en profite pour m'embrasser. Un de ces baisers longs et langoureux. Il laissa un instant ma bouche pour se réfugier dans mon cou. On n'avait pas de temps pour les Préliminaires. On en avait envie, tous les deux. Il s'enfonça en moi sans prévenir, avec force. Il me fit un de ces sourires à tomber lorsque je lâchai un cri.
-Encore...plus fort...plus loin
Je n'étais plus moi-même. Il me possédait. Sa queue me martelait d'une force...
- ahhhh.
Mon corps n'était plus que désir. Il me prenait dans toutes les positions possibles. J'étais conquis, j'en voulais encore et toujours plus. Il grognait, je le sentais grossir et moi aussi j'allais venir. Le buste en avant et les fesses relevés, je jouis bruyamment. Jamais je n'ai connu une aussi grande jouissance. Je savais bien que cet homme n'était pas comme les autres.
Depuis ce jour, on s'est souvent revu. Prenant parfois des rendez-vous, me convoquant dans son bureau ou le faisant tout simplement où l'envie nous prenait. Je pense bien que je vais garder mon poste pour un bon moment, pour rien au monde je ne partirais.