ROUGE COMME LE SANG! NOIR COMME LA MORT

chap 3: le vrai du faux.

Je me réveilla en sursaut, qu'elle côchemard ! Non ce n'étais pas un,je suis bien là couché sur ce lit délabré,attaché de partout avec des chaines,. J'attend la porte s'ouvrit.
Je me met a trembler et si c'était le fameux Brad,il est venue finir ce qu'il a commencé,il vas abusé de moi,tout sauf sa, ma première fois ne peut être par un viol.
_ehh ehh du calme ce n'est que moi(dit-il une entrée.)
_je le reconnais par sa voie,c'est je crois issaac.( Je me calme un peu)
_Isaac: attend, je vais desserré tes liens comme sa tu pourras bouger,aller au toilette et autre,je vais aussi enlever ton bandeau (dit il en le faisant)
Moi: j'ouvre les yeux mais aussitôt je les refermes,j'ai peur si je voie son visage il va me tuer.
Isaac: tu peux ouvrir tes yeux ma belle.
Moi: (je secoue la tête) non non
Isaac: comment sa? Allez n'est pas peur
Moi: toujours le même geste. Non je ne veux pas.
Isaac: n'est pas peur je ne te ferais aucun mal,promit je ne blaisse pas les filles.
Moi: (j'ouvre un puis le 2eme). La pièce est encore plus petite que ce que je ne pensais,la lumière est tapissé,les murs sont salles,le lit dans lequel je me trouve ressemble plus a un nid de rad et de microbe qu'à autre chose,j'ai des chaines partout sur moi,il y'a au coin de la pièce une table d'infortune plus une chaise en bois de chêne. Je distingue face a moi une porte sa doit donner a la salle de bain,la porte de la chambre se trouve sur le côté. Tout a l'air vieux issus de plus d'un siècle.
Après ma brève contemplation je reviens a Issaac et je le regarde avec prudence. Il est assis sur une chaise prêt de moi,trop prêt même je doit dire,par instinct je me recule encore plus afin de mettre la distance entre nous.Il ne fait rien. Je peux a peine le voir dans cette lumière,mais je crois distinguer des mèches qui lui tombe devant le visage. Il a un petit sourire lorsque je lève mes yeux apeuré vers lui. Un sourire qui se veut rassurant,mais qui ne m'aide pas le moins du monde a me sentir l'aise,j'ai toujours aussi peur,je ne sais pas ce qu'ils me veulent dont vaux mieux être prudent.
_Issaac: T'as sûrement faim. Je t'es apportée de quoi faire ta toilette et quelques vêtements de rechange,attend je vais retirer t'es chaînes,mais te laisser une sur le pieds.
Il le dit en les enlevants,en laissant celle du cou et de la cheville,mais je pouvais déjà allez et venir dans la pièce.
_Issaac: Désoler si je les enlèves toute on auras tout les deux des ennuis. Bien ! tu peux faire ta toilette,te changer et puis prendre ton p'tit dej. Personne ne viendras t'importuner.
_moi:( je le regardais toujours,sans mot dire)
_issaac: bon! (dit il en se levant,ce qui me fit un peu sursotté et reculé , prête au pire.) Non non, t'inquiète je te ferais rien. N'es pas peur ma belle.
_moi:(je le regardais toujours avec m'éffiance prête à me batre au cas où,bien que j' étais épuisé, affamé et n'avais même plus la force bouger.)
_issaac: bien! je doit te laisser, je doit aller chercher ton p'tit dej. À toute. (Il allat vers la porte et l'ouvrit, afin il sortis,je puis respirer,car depuis tout ce temps j'avais arrêter de le faire sans m'en rendre conte.