Le seul

chapitre 16

Pdv Dylan

Ça faisait maintenant un mois que je n'avais pas vu ou eu les nouvelles de rosalia donc je n'avais pas le moral.

Agent : hé Dylan ça ne vas pas ? Ça fait un moment déjà que t'es pas dans ton assiette. T'es pas malade au moins ?

Moi : si je suis malade, je suis malade d'amour. Pensais je.

Agent : écoute quel qu'en soit le problème règle le vite parce que nous avons une importante pub à tourner. Le lancement de ta propre marque de parfum ne se fera pas tout seul.

Moi : oui je sais. (Et j'avais décidé de me reprendre et de ne pas laisser la négativité prendre le dessus.)
   Je me rendis dans le café qu'elle fréquentes souvent espérant la voir et une fois arrivé je la vis assise devant une fenêtre buvant son thé l'air vide, j'avançais vers elle mais ne me remarquait toujours pas alors...

Moi : est ce que je peux m'assoir ? Je vis tout de suite la surprise dans son regard, elle avala de travers.

Rosa : kof, Dy... Dylan

Moi : salut Rosa comment tu te portes ?

Rosa : je je vais bien, mais qu'est ce que tu fais là ?

Moi : je ne vais pas te mentir je suis là parce que je savais que tu serais là aussi.

Rosa : dois je comprendre que tu me suis ?

Moi : dois comprendre que tu me fuis ?

Rosa : je voudrais savoir qui t'as dit que je serai ici.

Moi : et moi j'aimerais savoir pourquoi tu me fuis ainsi.

Rosa : je... est ce qu'on pourrait en reparler plus tard, ailleurs ? Dit elle en se levant mais je lui saisi la main.

Moi : non on peut très bien le faire ici et maintenant.

Rosa : ok tu veux la vérité ? La vérité c'est que je n'ai rien à faire avec toi, depuis que tu es entré dans ma vie elle tourne au ridicule on aurait jamais dû se rencontrer, je crois que j'ai fais là pire erreur de ma vie en couchant avec toi cette nuit et je termine en disant qu'on ne devrait plus se revoir. Dit elle avant de se lever et de sortir.

    Je n'y comprenais plus rien, elle venait de me dire ce que je ne voulais surtout pas entendre mais  au fond je le savais mais je ne voulais juste pas l'assumer. Je l'ai perdu, je pensais l'avoir vraiment trouver mais il s'est avéré que non, et en plus on s'est quitté de la pire des manières que dis je on sortait même pas ensemble. Pensais je.
     j'avais envie de pleurer. Je me rendis sans traîner dans mon studio où se trouvait mon agent pour m'éloigner de ce gros faussé que j'ai creusé et que j'ai rempli d'illusions.

Agent : ah on dirait que tu es enfin revenu à la raison, alors tu es d'accord hein ?

Moi : puisque je viens de te dire oui j'accepte de partir, tant que je suis loin d'elle. Chuchotais je.

Agent : quoi tu as dis quelque chose ?

Moi : on part quand ?

Agent : quand j'aurai fini de tout régler, on va dire dans une semaine environ.

Moi : ok ça me donnera le temps de me préparer.

Pdv Rosa

Je sortais du café totalement dévaster les larmes aux yeux, qu'est ce qui m'a pris de lui dire ça. Pensais je, je n'avais plus le courage d'aller au travail je me rendis par réflexe chez Alice qui était chez elle.

Moi : Alicia... Je sais pas pourquoi je lui dites toutes ces horreurs. Avais je à peine prononcé en pleurant sur ses jambes.

Alicia : ma chérie du calme, reprend toi. En me caressant les cheveux.

Moi : je sais pas pourquoi ça me fait autant mal mais mon cœur se serrait au fur à mesure que je lui parlais.

Ali : moi je sais pourquoi, c'est parce que tu...

Moi : non Alicia tu ne m'aide pas là. En prenant un mouchoir.

Alicia : pff alors arrête de pleurer pour un amour qui n'a jamais été.

Moi : je sais mais... Je m'en veux de lui avoir dit tout ça. J'essuie mes larmes et me lève.
   Tu as raison je vais lui demander pardon oui je dois m'excuser aujourd'hui même maintenant.

Alicia : oui c'est ça, hé mais j'ai jamais dit ça moi. Criait elle mais j'étais déjà dehors, il était tard mais j'étais disposé à m'excuser et comme je savais où il habite je m'y rendis sans attendre.
     J'arrive en bas de chez lui et c'est alors que je vis ce que je n'aurai jamais voulu voir( la silhouette d'un homme et d'une femme à travers le rideau et j'épargne les détails).
      Pourquoi avais je fais le déplacement pour un homme qui n'en vallait même pas la peine, pensais je.

Moi : il est décidément comme tous les autres, à peine j'avais fini qu'il s'est trouvé une autre. Disais je en déambulant sur la voie quand j'entends des klaxons derrière moi, je me retourne et reconnu immédiatement la voiture.

Charles : je vous dépose quelque part Mlle.