Bradley

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        Je la vois dans mon rêve, elle accapare toutes mes pensées depuis deux semaines. Elle est tellement belle, que je ne pourrais jamais me lasser de la regarder. J’entends un bruit, j'entrouvre les yeux et je la vois entrer. Je referme vite les yeux. Que fait-elle là? Quelle heure est-il? Elle pose quelque chose au sol, je l’entends sortir un papier, surement de son sac. Elle écrit dessus, elle le pose. Elle se lève, me caresse la joue, je lui attrape alors la main. J'aimerais voir son si beau visage. Elle retire sa main deux minutes plus tard. Je bouge, je fronce les sourcils, je veux sa main à nouveau, je la veux. Elle me caresse le bras, à son contact je me détends aussi tôt. Je l’entends attraper son sac, et je sens qu'elle part, j’entends la porte se fermée. J'ouvre à nouveau les yeux, un mot est posé à côté de moi. Je le lis: "Voilà tes affaires Bradley, j'espère que tu te rétabliras vite. Bon courage, Laura." Je souris, à la fois amusé et à la fois heureux. Voilà bien longtemps que je n'avais pas souris sincèrement. Je me lève, je sens que je vais beaucoup mieux. Je prends mon sac, remercie l'infirmière et part. La sonnerie retentit, je commence à monter les escaliers, je suis en 413. Je m'ai du temps à monter les escaliers, mais enfin j'arrive devant la porte. Je toque et j'entre. J'explique à la professeur, Madame Kate, l'objet de mon retard. Mon regard ne cesse de la fixer, elle m'attire, Laura. Je m'assoie à côté d'elle, je sors mes affaires et ma main rafle la sienne. Je la regarde, son regard brille comme jamais, je souris, je lui attrape la main, je la serre tendrement. Enfin je la lâche à contre cœur, je dois me concentrer sur le cours. Je n'y arrive pas, alors je la regarde, son regard se tourne vers moi. Vite, je détourne le mien, je sens mon visage me brulé, elle rigole gentiment, je commence alors à rigolé avec elle. La professeur nous regarde et nous demande le silence. Sa présence m'apaise, elle me calme et j'apprécie particulièrement cela. Les deux heures de Français passe très vite. La sonnerie retentit, je ramasse mes affaires, elle fait de même. On sort de la salle de cour, soudain une image de cette nuit apparait dans mon esprit, je m'arrête. Je la regarde et lui dit que je dois partir un instant. Elle accepte sans problème, je m'éloigne d'elle. J'ouvre une porte et j'arrive dans le bureau de la psychologue me regarde bizarrement.

"Bradley, que fait tu là?

- Mes flashs recommencent. S'il te plait aide-moi.

- Bradley, sa fait deux semaines que ça c'est produit, alors il faut que tu te calme...

- ARRETE!!!!!!! Tu sais très bien que ce n’est pas possible et le pire de tout c'est que je me rapproche d'elle. Je suis attiré par elle.

- Tu es amoureux d'elle....

- Arrête, Claudia. Tu es ma cousine et tu sais ce qui se passe et ce qui c'est produit, alors arrête.

- Bradley, je ne me moque pas de toi. Tu es tombé amoureux d'elle.

- Claudia, l'amour ne m'intéresse pas, je dois d'abord régler mes problèmes.

- Bon écoute, Bradley, prend ces médicaments, calme toi. Il te fera te calmer et arrêterons les flashs back pendant un moment. Au faite, tu aurais pu me parler de ton malaise de ce matin.

- Ce n'était rien. A tu vu père?

- Oui je l'ai vu. Il ne veut toujours pas que tu rentre. Je ne sais pas ce que tu lui as fait mais il est vraiment en colère.

- Je ne sais pas non plus. Bon écoute, je dois aller manger, je te laisse."


Je pars, je me dirige vers la cantine. J'entrevois Laura qui mange seule mais je ne veux pas lui parler, je mange vite et je pars en sport. Je me présente lors de l'appel et je la vois, elle s'approche de moi. Je ne peux pas la laissé s'attacher à moi, alors je m'éloigne. Le professeur, Monsieur Cardian, nous réunit tous, aujourd'hui on va faire handball. Les équipes se forment, je pris pour ne pas tombé avec elle. Les équipes sont finis, le premier match commence, elle joue contre les bleu. Moi je suis vert et elle, elle est rouge, le match est rude mais elle ne court pas beaucoup. Le match se termine, c'est à moi de joué contre les bleu. Je cours à une vitesse hallucinante, j'ai l'impression de voler. Je marque un, deux, trois et quatre but et enfin le coup de sifflet retentit. Le match que je craignais arrive enfin. Je la vois me regarder, mais je me refuse à tourné mon regard vers elle. Le match commence, je cours avec le ballon, elle arrive et me le prends avec un sourire amusé sur les lèvres, face à mon regard étonné. Elle tire au but et marque, je n’arrive pas à y croire. Personne jusqu’à maintenant n’a réussit à me prendre le ballon, et encore moins à marquer. Cela se reproduit trois fois et le match se termine. Elle m’attrape par le bras.

« Alors ?

-          Alors quoi ?

-          Comment à tu trouvé ce match ?

-          Très instructif sur ta personnalité.

-          Et qu’à tu appris sur elle ?

-          Que tu cache qui tu es vraiment et que tu dois t’éloigné au plus vite de moi.

-          Et pourquoi je m’éloignerais ? Tu ne m’a rien fait personnellement.

-          Si j’étais toi je n’en serais pas si sure.

-          Bradley, que veux-tu dire par là ? Elle commence à ce reculé.

-          Laura, je ne peux rien te dire, tu me haïrais.

-          Ecoute Bradley, soit tu me le dit, soit je m’en vais et tu ne me verras que de loin.

-          Laura…  Je l’attrape par le bras.

-          Non Bradley, tu me le diras je te le jure. »

Elle se retourne et commence à partir, je veux la retenir mais elle se débat et pars. Le cours continue, plus que 2 heures et ensuite 1 heure de SVT et je pourrais m’isolé chez moi tranquillement. Les matchs s’enchaine et Laura ne me laisse aucune chance, n’y a moi n’y à mes camarades de classe d’ailleurs. C’est comme si presque toute la douleur qu’elle a pu ressentir jusqu’ici elle la ressorte maintenant. Elle a l’air inépuisable et nous on as l’air impuissant devant ses actions. La sonnerie de fin de cours sonne, on se dirige vers les vestiaires, on prend une douche car on sent vraiment la transpiration. Je sors de la douche, Laura est là, elle avance comme si elle ne m’avait pas vu. Une fille se dirige vers elle, elles discutent puis se saluent. Laur se dirige vers le bâtiment et elle monte au premier étage pour le cours de SVT. Le professeur la demande, pendant 10 minutes la porte reste fermée. Enfin la porte s’ouvre et le professeur nous demande d’entré.

Amour mortelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant