Dans le ciel, un vaisseau marqué de l'emblème des chercheurs était apparu. enfin, apparu...pour être arrivé si vite, je devais seulement ne pas l'avoir remarqué. Je reste sur mon programme initial, et entreprend de me reprocher d'Aléra. A part elle pour l'instant, plus rien n'a d'importance.
Son état est encore plus alarmant de près. Des câbles à moitié arraché dépasse des trous, avec une substance bleu comparables à du sang chez les androïdes qui s'écoule lentement. Les débris de verres bleu qui constituaient son œil droit sont éparpillés un peu partout. A cette vue, mon cœur manque un battement. Bon sang, pourquoi l'ais je emporté la dedans ?
Tandis que j'entreprenais de vérifier si les circuits principaux était atteint, Zane arriva enfin. Il sortait du bâtiment, où il devait probablement avoir laissé canaan et les commandants, puisque maintenant que je le remarque, ces dernier ne sont plus sur le champ de bataille.
Ce que Zane découvrit en débarquant devait tenir de la vision de cauchemard. Le champs de bataille détruit de toute part, Aléra a moitié détruite et inanimé, moi grièvement blessé. Sans compté le vaisseau chercheur qui allait se poser d'une minute à l'autre.
C'était tellement le chaos qu'il ne sembla plus savoir où donner de la tête. Il nous rejoignit, Aléra et moi, et s'accroupit à côté de l'androïde pour m'aider dans ma recherche de circuits encore intact. Aucun de nous deux ne prêtait de réelle attention au vaisseau, qui venait de se poser en déclenchant de grandes bourrasque. Nous venions d'anéantir les chercheurs, un dernier petit vaisseau était le cadet de nos soucis. Quelle erreur.
Le Sas s'ouvrit sans que j'y fasse vraiment attention, et en descendit 2 personnes que je ne pris pas le temps de regarder. Je sentais seulement une légère oppression à la poitrine qui devrait sonné comme un mauvais pressentiment, mais que je considérais comme simple effet de la douleur sur mon cerveau. J'était entrain de rassembler les élément encore intact du corp de mon androïde, tandis que Zane observais, lui, les nouveau venu, avec une expression que je ne saurais décrire. Oscillant entre la peur et la méfiance ? Dans mon dos, une voix résonna, me glaçant le sang.
- Eva.
Je la connaissait, cette voix. Je la connaissais très bien. Mais je ne voulais pas me retourner pour le vérifier. Il est l'un des leurs, un membre du groupe qui a causé l'état d'Aléra. Rien d'autre. Rien d'autre.Zane le regardais comme s'il était un criminel notoire, ce qui devait être le cas. Je pu deviner sans trop de peine qu'il savait déjà qui était le jeune homme qui venait de descendre du vaisseau. Seulement, ce que je n'avais pas prévu, c'est qu'il y aurait une deuxième personne.
- salut, petite criminelle. Fit une autre voix, l'air amusé.
Cette fois-ci, je me retourne. Non loin du vaisseau, se tenait deux silhouette à contre jour de la lumière provenant de l'intérieur du Sas de décompression. La première était sans conteste celle de law, avec son manteau mi long et son hacking émettant une légère lueur bleuté. Il se tenait prêt à l'action, hacking déjà activé. La deuxième me fu moins évidente à identifié, mais je parvint pourtant à mettre un visage sur la forme sombre se détachant dans la lumière crue des néon. Avec cette longue cape et cette fau, ça ne pouvais être que le gars que j'avais vu le jour où law m'a trahi. Kieran.
- Law. Dis-je à mon tour, transmettant tout le mépris que je possédais dans ma voix. Qu'est ce que tu fait ici ?
Celui-ci baissa les yeux, avant d'obliquer la tête vers son acolyte, qui arborait déjà ce sourire sadique qui semblais lui coller au visage. Law semblais tendu à l'extrême, les yeux droit tentant d'accrocher mon regard. Je refuse obstinément d'établir le contact visuel, préférant une réponse orale à laquelle je pourrais répondre avec toute la véhémence qui me monte à la gorge.
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The last World
FantasyEva Lost est une jeune voleuse. une voleuse très recherché dans tout l'univers. bienvenu dans le premier univers, en plein milieu de l'année 3775! notre Voleuse va vivre certaine aventure fort intéressante, dont je ne vous dirais rien ici. pour le s...