СЛОМАТЬ (Casser)

chapitre 1

✏️~ |Sentiments

Aujourd'hui mon grand-père est mort. A part si c'était hier, je ne sais pas. Je dois prendre le bus pour aller à son enterrement, le bus juste en bas de chez moi, puis prendre le train et encore le bus pour arriver chez mes parents. Ils habitent loin à Florence. Ils ont décidé de garder le corps pour faire le rituel funéraire, je suis pose pour ne pas me poser de problème. Je me regarde encore une fois dans le miroir. Je suis seulement vêtu d'un ensemble noir. un costume, que j'ai pris chez le costumiers en bas de la rue prés de chez la fleuriste madame Dubois. Très gentille cette madame. Elle est vielle. Ma maman me disait souvent " avec l'âge on devient plus mature grâce à notre longue expérience de la vie vécu" Je ne comprends pas pourquoi elle dit sa mais moi je ne la trouve pas si vielle, maman. On tout cas dans mes derniers souvenir. Je me regarde encore un moment dans le miroir et prend mon sac pour sortir de chez moi. Je prends bien soin de refermer la porte derrière moi avec la clé et de la mètre dans mon bagage a main. Je descend les marches qui sépare ma maison du trottoir et me dirige vers l'arrêt de bus puis j'attends. Je regarde les gens autour de moi, ils marche vite. Pour passé de boue a bout de la rue. Je ne comprends pas ces gens et je ne les comprendrai s'en doute jamais. Je vois aux lois le bus arrivée, je prépare mon ticket le temps que celui-ci s'arrête puis monte a l'intérieur et je valide ma carte. Ils n'y a plus de place assise donc je me tiens sur l'une des nombreuses barre de soutien et attend mon arrêt la "gare principal". Ils fait chaud dans ce bus. Le bus s'arrête de temps en temps pour laissé entré et sortir des passagers. Mon arrêt venus je descend, toujours bagage en main comme tout ces personnes de passage dans ce transport en commun. Je marche en direction de cette grande bâtisse où tout type de transport sont retenus. Je marche en direction de cette étrange serpent métallique qui avance avec des Reille. Qui t' avale et te recrache quand il est arrivé à destination. Je marche et remarque le vigile qui me fait signe pour un rapide coup d'œil de mon ticket. Je m'approche et m'arrête.

Vigile : votre ticket de transport s'il-vous-plaît.

Je lui tendit celui-ci. Il regarda et fis un léger rictus avant de me dire.

Vigile : et bien, voilà un homme courageux. vous allez plutôt loin.

Je ne réponds pas et me contente de reprendre mon ticket et de monté dans le train pour ensuite prendre place sur un siège passager.
Le train roule, depuis un moment déjà. Vous vous dites peux être comment je ne peux pas être infecté a ce point de la mort de mon grand-père. Moi même je ne sais pas. Je me souviens que quand j'ai annoncé la nouvelle a mon patron, il avait afficher sur son visage pâle et ridé du mécontentement. J'ai alors dit que je serai absent que pour quelques jours seulement et que je reviendrai après. J'étais pressé de partir. Après mes dire il m'a accordé trois jours que j'ai bien sûr accepté. Je me suis comme même justifier pour la mort de mon grand-père alors que ces lui qui devrait me présente ses condoléances mais bon après tout, toute chose a une fin même la vie elle même. Depuis hier je n'ai versé aucune perle salé qui coule de nos yeux lorsque nous pleurons.
Je continue à regarder le paysage défilé sous mes yeux vide de certaines idéologie de la société. Tout bonnement mieux foutue pour regarder que pour jugé de ce qui et Bon ou mauvais comme me dit si souvent ma maman. Je ne comprends pas cette phrase non plus mais je m'en fiche. Je dors. Je me sens sens secoué, j'ouvre les yeux. Un homme brun aux yeux couleur océan se tient devant moi. Je le regarde longuement et finit par remarqué sont uniforme. Un vigile. Je me lève aussi tôt avec toute les pennes du monde a cause de ce siège mâle fait.