Chapitre 5

59 2 0
                                    

La fin de la musique finit par se faire entendre, on se regarde tous dans le blanc des yeux et il le sourit, se sourire fut le plus charmeur que je n'est pus croiser dans ma vie. Nos tête se rapprochait à grande vitesse, mais restais quand même à une certaine distance pour éviter la douce rencontre de nos lèvres. Je finis par me détacher de ses chaleureux bras pour appeler mon frère. Une fois que je suis à l'extérieur du bâtiment je m'installe dans la nuit obscure.

-Kevin?
-Pourquoi tu m'appelles maintenant? Il est tard.
-Merci d'être partis sans moi.
-De rien, mais pourquoi.
-Je crois que j'ai craqué.
-Je te le dis, y'a un mec il te dis salue dans rue c'est bon tu t'imagines déjà avoir des enfants avec.
-Non, la c'était comme on pourrait dire, spécial.
-Vas-y raconte moi.
-On dansait et nos pas était comme lié, son odeur me chatouillait les narines. Je ne me suis jamais sentis aussi bien dans les bras d'un garçons jusqu'à se soir. Il est chaleureux, gentil, attachant et j'en passe. Je crois vraiment que j'ai eu le coup de foudre.
-Tu te rends compte qu'il est prince?
-Jure je pensait que c'était un cheval.
-Ton humour n'a pas changé. Mais se que je veux dire par la c'est qu'il y a déjà pas mal de fille à ses pieds, et c'est pas une fille comme toi qui vas attirer son regard. Après c'est mon hypothèse.
-C'est vrai tu as raison, mais je préfère continuer à y croire.
-Ne sois pas dessus quand il te brisera le cœur.
-Pas la peine tu lui auras déjà briser les os avant.
-Pas faux. Bon maintenant je peux dormir?
-Oui, j'ai plus rien à te dire idiot. A si que je vais te tuer dès que je vais rentrer.
-Pas de problème.

Et il raccroche. Je regarde quelque seconde mon écran éteint et finit par lever la tête vert l'horizon, le reflet de la lune était si beau qu'on aurait pu croire à une illusion, l'eau du port avait une douce petit couleur argenté se soir. C'était si beau. Quelqu'un me rejoins peut de temps après mon appel, je ne regarde pas qui sa peut bien être pensant que c'est Félix, mais à la vue de ses escarpins rouge je su que c'était Isabella.

-Tu l'aimes?
-Qui?
-Félix.
-Non, enfin oui c'est un ami.
-Tu mens.
-Pourquoi je te mentirais?
-Je vous ai vue danser. Et le regard que tu lui portais était le même que Edward avait en regardant Bella, et le meme que John B a sur Sarah. Sa se voit, tu es tomber sous son charme... crois moi lui aussi il y est tombé.
-Pourquoi il m'aimerait, je suis juste une fille comme les autres. Une fille qui a vue tous a fais banal... qui ne fais pas partie de famille royale ou tous simplement qui n'a rien fais d'extraordinaire.
-C'est sa qu'il aime chez toi, le faite que tu ne te caches pas devant lui. Toute ses anciennes copine de lycée et collège était fausse, elle n'était pas elle meme avec lui. Que toi tu l'es, tu ne te caches pas.
-Je ne suis toujours pas convaincu. Et comme a dis mon frère il y a tellement de jolie fille à ses pieds... des plus belle que moi.

Des bruits de pas viennent de derrière et c'est Nikolai.

-J'ai tous entendus, et crois moi il ne s'intéresse pas au physique de la personne mais à qui elle est. Tu t'intéresses à lui comme si tu ne savais rien sur lui.
-Fun facts, je ne sais rien sur lui.
-C'est se qu'il aime, le faite que tu ne t'intéresse pas à sa position au niveau du pays mais plus tôt à lui.
-Vous êtes sûr de vous?
-Mademoiselle Adeline Gauthier... je suis son frère. Donc oui je le connais et j'en suis sûr.
-Et tu oublies aussi que je suis sa cousine.

Je sourit et nous rentrons dans la salle. Je croise son doux regard bleu foncé, je m'arrête et continue d'imprimer son visage fais de fine ligne tous aussi douce que lui dans ma mémoire. Il parlait avec son cousin futur roi, mais il continuait à me regarder droit dans les yeux. Je pense qu'il n'écoutait pas vraiment se que lui disait Christian. Un serveur et me propose une coupe de champagne, je refuse poliment et part en direction de Joséphine la cousine de Nikolai.

-Tu dois sûrement être Adeline Gauthier.
-Exactement, mais...
-Félix ma parlée de toi tous à l'heure. Joséphine sa cousine.
-Enchanté.
-Tu es comme il t'a décri.
-Il ma décrit comment?
-Comme étant très polie, avec de long cheveux châtain très soigneux et un visage très fin, et aussi que tu portais à ta gorge une douce voix mélodieuse. Que t'es yeux était d'un brun si foncé que cela ressemblerais à la douce nuit obscure ou s'embrassait un couple, dans ceux la on pouvais y constater plein de petite étoile.
-Je n'ai pas les mots. Mais je ne suis pas si extraordinaire que tu peut y penser.
-Oui, je sais il m'a aussi dit que tu étais l'une des filles les plus banal qu'il aurait pu rencontrer et c'est de qu'il aimait aussi beaucoup chez toi.
-Un vrai poète Félix.
-A vrai dire il n'a jamais décrit une fille comme sa. À part les membres de sa famille.
-Et bien c'est que... je ne sais pas se que sa pourrait être.
-Le coud de foudre?
-Nikolai.
-Je suis heureux de te revoir Joséphine.
-De même.
-Je vous laisse faire vos retrouvailles en paix.

Ils me sourient tous deux et je part, mais après quelque mètre je cogne le buste de quelqu'un. Je lève la tête et aperçus ses doux yeux bleu. Je lui sourit alors qu'il me tenait encore dans ses bras.

-Tu as rencontré Joséphine.
-Oui, elle ma fait quelque confession à ton abord.
-Les qu'elle?
-Que tu es un vrai poète envers ta famille.
-Et?
-C'est tous, tes yeux aussi sont beau et tu as aussi une vois mélodieuse.
-Merci, et je crois qu'elle n'a pas dit que j'étais seulement un poète envers ma famille.
-Peut être.

Je sourit et il me lâche, une fois qu'il m'a lâcher j'entends « Can't stop the feeling » (média) passer, je commence à me déhancher et prendre ses mains pour aller danser. Je me laisse entraîner par la musique.  Je ne me dit pas au regard des autres et m'amuse. Je me mets à chanter sans m'en rendre compte et m'amuse avec Félix, il est impressionné par le son de ma voix chantante. À la fin de la musique je le regarde dans les yeux et sourit.

-Tu as une voix si belle.

Je mets mes mains sur ma bouche comme si j'avais dis une bêtise et court vert l'arrière de la salle, je sort et court comme si plus rien ne comptais, j'arrive au grillage et finit par m'asseoir sur un banc. Sa fais cinq ans que je n'ai plus chanter et il a suffit d'une soirée pour que je m'y remette. Tous les souvenirs que j'avais enfouis au plus profond de ma mémoire resurgissent et me tape en plein cœur. Je sens des mains m'enlacer. Je pleure et je ne veux pas qu'il me voit comme sa. Je ne le connais que depuis une après midi.

-Ça va?
-Non... sa fais cinq que j'ai pas chanter depuis son départ... je me sens si nul... j'ai toujours cru que j'avais besoins d'elle pour chanter...
-Qui?
-Ma meilleure amie... est morte assassinée par son père il y a cinq, je fessais des cours chant avec elle, nous étions le duo fusionnel qui ne pouvait être séparé et il a fallut que cette enflure la tue...

Pour seul réponse il ressert son étreinte. Je le prends dans mes bras, il me passe son mouchoir et j'essuie mes larmes avec.

It's youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant