Bad Lust JENLISA | Traduction |

Chapitre 9 - I've got you [M]

JENNIE POV

Sainte Mère Teresa ! C'était vraiment en train de se passer. Après trois semaines de préparation d'un plan, j'avais enfin réussi. Mais j'avais attendu bien trop longtemps pour me vider l'esprit et me concentrer sur cette déesse qui me touchait, me massait et m'attrapait sauvagement les fesses comme j'avais toujours imaginé qu'elle me le ferait. Ses grognements ont envoyé une décharge électrique à mon corps à ma chatte qui a laissé un précum qui mouillait légèrement ma culotte.

Elle me rendait folle !

Nos lèvres ne se sont jamais détachées plus de cinq secondes. Nous voulions tous les deux explorer le corps de l'autre, mais nous étions aussi trop addictifs pour nous goûter lorsque nos langues s'entrelaçaient et se battaient pour dominer. C'était un baiser intense et passionné, sans aucun doute.

" Ugh professeur... continuons dans ma chambre... " bégayai-je. Ce n'était pas facile de parler quand elle m'embrassait dans le cou, me mordait et sucer ma peau sensible, provoquant une sensation agréable.

"Pas si vite, mademoiselle Kim. Laissez-moi vous taquiner un moment... c'est ma revanche pour ce que vous faites depuis notre premier cours", stricte et sévère, elle n'avait toujours pas mis de côté son rôle d'enseignante et j'ai adoré . Comme je portais un short, mon cul était déjà à moitié exposé parce que j'avais pris soin de prendre le short le plus court de ma garde-robe. Cela lui a permis de le remonter de bas en haut, exposant mon cul. La partie entre mes jambes sursautaient, stimulant mon sexe puisque le short avait aussi remonté ma culotte et était poussé entre les fentes de ma chatte.

"Aaah putain.." Je n'avais pas d'autres mots que de jurer tellement que le sentiment était fou. De plus, je n'avais pas eu de relations sexuelles depuis siècles, j'étais donc plus sensible même au moindre contact.

"Vous abandonnez déja, Kim ? Tu n'as pas encore vu la surprise, j'espère que tu pourras tenir le coup", a-t-elle chuchoté à mon oreille. Son souffle chaud s'attardait sur mon visage.

"Jamais," ai-je vite réagi cette fois. Si elle pensait qu'une fille comme moi se laisserait facilement intimider, elle n'avait pas encore tout vu. Mais j'étais honnêtement intrigué par ce qu'elle me réservait plus tard.

"Tu es tellement imbue de toi mais ça ne durera pas longtemps," une lueur terrifiante passa dans ses yeux que j'eus des frissons, mais assez étrangement, cela m'a rendu encore plus excité.

"Essayez-moi ", je la défiais clairement, ce qui l'a probablement déstabilisée pendant une seconde. J'ai enlevé mon sweat-shirt en le jetant sur ma tête, en l'envoyant quelque part dans la maison. Mon corps était en feu même s'il faisait un peu froid dans la pièce. Ma respiration est devenue irrégulière et ma poitrine se soulevait et s'abaissait rapidement. Mais je n'étais pas le seul affecté - ce qui était un bon signe - Miss Manoban a d'abord donné de doux baisers sur ma poitrine, laissant probablement d'énormes suçons alors qu'elle parcourait la vallée de mes seins. Mon dos s'est cambré, lui disant que j'en voulais plus.

"Tu te rends compte que mettre un air innocent ne te va pas. Regarde-toi, être méchante convient mieux a ta lingerie," elle secoua la tête en faisant une fausse déception. En essayant de soulager la bonne douleur que ressentait ma chatte, je n'arrêtais pas de me frotter contre elle, plusieurs fois je m'étais arrêté parce que j'avais réalisé que quelque chose poussait sous son pantalon. Pensant d'abord que c'était la forme de l'entrejambe de son pantalon, j'ai très vite exclu cette option car elle grossissait et durci.

Ne me dis pas qu'elle portait un gode-ceinture high-tech.

"Et tu te rends compte que prétendre être le bon professeur ne te convient pas," dis-je en passant un doigt le long de sa mâchoire serrée. Ma langue lécha sa lèvre inférieure avant de la forcer à ouvrir la bouche emprisonnant sa langue. J'ai lentement sucé la faire souffrir mais je n'étais pas sûr si c'était elle qui était puni ou moi. J'étais énervé qu'elle puisse encore garder son calme alors que les autres m'auraient déjà pris par derrière.