Ch8: Bon retour en enfer

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J'entendis par la suite des bruits de pas se rapprochant. Cela ne tarda pas à me faire prendre une décision. J'entrai et verrouillai la porte de la cabine...
Cette sensation qui parcourut mon corps à ce moment là était difficile à décrire. Mais je pouvais presqu' entendre ces toilettes me chuchoter Bon retour en enfer.

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Je ne faisais aucun mouvement, j'essayais de réaliser la situation dans laquelle je me trouvais. Qui était cette fille? Soudain, les paroles de la femme de toute à l'heure me revinrent en tête. Serait-ce sa fille? J'étais tellement gêné que je ne pouvais pas la regarder dans les yeux, je me tournai puis trébuchais sur l'un des cartons.

- Est-ce que ça va? Me demanda t-elle.

-O....Oui ne t'en fais pas. J...Je dois... Je dois y aller. Dis-je en essayant de partir tant bien que mal. Après plusieurs trébuchements .

Une fois sorti j'essayai encore de réaliser ce qui venait de se passer. Si bien que j'étais perdu littéralement dans mes pensées...

...

J'ai pas beaucoup dormi cette nuit là d'ailleurs.

...

07h44

Le lendemain, je ne pouvais plus me regarder en face, mais enfin, quel genre de mec sain d'esprit détale devant une fille alors qu'il vient à peine de ma rencontrer ? Non mais.

Une fois ma toilette effectuée, je m'empressai d'aller frapper à la porte des voisin avant d'aller à l'école. Il fallait que je m'excuse.
À ma surprise, c'est Carol qui ouvrit la porte.

-Tiens le p'tit garçon d'hier soir. Salut! Dit-elle.

-Bonjour, excusez moi de vous déranger de si bon matin mais, est ce que Erika est là, j'aimerais lui parler.

- Oh désolée, elle est sortie de bonne heure ce matin.

-Ah d'accord.

-Aurais tu un message à lui transmettre ? Demanda t-elle.

Je ne pouvais quand même pas lui dire que je m' excusais d'avoir détalée devant sa fille comme un lapin.

-Oh...n...non c'est très gentil, vous lui direz juste que je la salue...

-C'est tout, tu es sûr ? Insista t-elle?

-Oui...Oui très sûr... À plus. Bégayais-je

09H45

j'essayais de ne pas trop y penser mais rien à faire, jusqu'à ce que le coups de crayon de Georges me sorte de mes pensées, on était en plein cours de maths. Et vu la tête du prof, il a sûrement dû m'appeler plusieurs fois pendant que je rêvassais.

- Ça va, vous êtes de nouveau sur terre monsieur Klose? Demande t-il.

- Euh oui, désolé je... Répondis-je.

-Vous pensiez peut être à la magnifique créature que vous aviez vu récemment ? Demanda t-il ironiquement.

(Exactement)

- Non, en fait, je ne me sens pas très bien. Mentis-je.

-Dans ce cas, qu'est ce que vous attendez, filez à l'infirmerie ! Et que ça saute.

Highschool Closet: Ce qu'elles pensent tout bas [ Pause ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant