Yumei, fille de Tsunade ( Naruto/ Boruto )

Chapitre 24

Je me réveilla en sursaut. Je ne savais pas du tout où j'étais.Dans une forêt, petite, grande, je n'en savais rien. Je me leva doucement, sans faire de bruit. Regarda autour de moi. Mais rien, à part des arbres. Même pas un oiseau ou un insectes. Ça a commencé à m'inquiéter, et je me concentra à fin d'entendre enfin quelque chose ou ressentir. Et après quelques minutes où rien ne se passait, je sentis une vibration d'air provenant de ma droite. Je ne vis rien, tout ce que je savais c'est que c'était gros, et que ça s'éloignait. Pas question de laisser filer cette créature, quelqu'il soit. Je couru en direction de cette chose et apparemment il c'était rendu compte que j'étais là, car il s'éloignait encore plus vite, et de plus en plus vite ! J'ai accéléré, le plus vite possible, mais sa vitesse augmentait. Je ne voulais pas le lâcher, c'était peut être ma seule chance. Alors, j'ai accéléré encore, et, je commençais à le rattraper. Sauf qu'au bout d'un certains temps, je n'avais plus aucune force, et d'un coup, je m'effondra. La créature elle ne fit pas de même, elle fila. J'étais tellement déçut, je m'en voulais terriblement. Et pendant que je m'apitoyais sur mon sort, je n'avais pas remarqué que quelque chose d'énorme était au dessus de ma tête. Je la releva. Quelle fut ma surprise quand je vis un cheval, noir, tout noir. Sauf...ses yeux. Il était grand, beaux, et fort. Je n'arriva même pas à me relever. Et je fus encore plus étonnée quand le cheval me retourna grâce à son museau sur le dos, pour me permettre de respirer plus correctement. Je n'en revenais pas. C'était la créature ? Au fond de moi, tout s'agitait, je ne sais pourquoi. Le cheval s'était allongé à côté de moi, et avait fermé les yeux. Après plusieurs minutes, je réussis à bouger mes jambes. Je me redressa, et réveilla le cheval paisible. Le regarda insistement. Il ne bouga pas. Je le regardais droit dans les yeux, fronçant les sourcils en essayant de comprendre ce qui m'arrivais. Mais je laissa tomber. Le cheval se redressa à son tour au moment où j'ai arrêté de réfléchir. Ce fut à son tour de me fixer. Je ne savais pas où me mettre. Et quand son regard s'adoucit, j'ai enfin osé respirer. Il m'aida à me lever. Tout mon corps me faisais mal, sauf que lui,commençais à partir, tout en me regardant essayer de le suivre.J'espérais qu'il m'aide, mais il ne l'a pas fait, et à chaque pas que j'arrivais enfin à faire, il avançait aussi. Sans que je ne m'en rende compte, des heures se sont écoulés où nous avons fait ça, et étrangement, plus je marchais, moins j'eus mal. J'ai compris quand j'ai commencé à marcher vite. Il s'arrêta soudainement. Je ne comprenais pas, et regarda devant lui. Il faisait nuit, nous étions arriver à une grande clairière. Plus loin encore, se trouvait une grotte. Je commençais enfin à comprendre. Le cheval me fit signe d'entrer. La grotte était lugubre, et je gelais. Je devais faire du feu.

J'ai réussi, après des minutes d'efforts sans arrêt, j'ai réussi à faire du feu. Le cheval s'approcha du feu. Très peu confiant, il hésitait. Et pour l'inciter à se réchauffer, je m'approcha, pour lui montrer qu'il ne craignait rien. Il s'approcha alors, il était comme détendu. Cela me fis rire, et je m'asseya à côté de lui.

Et tout d'un coup, il devint tout blanc, des pieds à la tête,sauf ses yeux, et étaient maintenant noirs. Je pris peur et m'écarta rapidement. Il me regarda, confu. Et je devint blanche moi aussi,limite scintillante. Et là, c'est lui qui prit peur. Je ne me souviens pas de la suite de cette soirée, à part un moment partagé chaleureux, que je referais bien tout les soirs. Le lendemain, quand je me réveilla, je vis le cheval (noir), dehors, agiter. Il sautait dans tout les sens. Je paniqua et couru voir se qui se passait. Il était en train d'essayer d'écraser un serpent noir, menaçant. Je pris un bâton et commença à l'aider. Quand surgit de la bouche du serpent non du venin, mais une sorte de grand portail dimensionnel,noir. Il commença à nous aspirer, moi et le cheval. Le serpent avait disparu. L'aspiration devenait de plus en plus forte, et je sentais que mes pieds n'arrivais plus à me retenir, le bâton lui sauta de mes mains et passa dans le portail, on ne le voyait plus. Ce qui me terrorisa encore plus. Le cheval semblait tenir lui. Mais quand même avec un peu de mal. Soudain, je sentis mes pieds s'envoler, et, d'un coup de me fonçait droit dans le portail. Le cheval hennia ( hennir : le cheval hennit, c'est le cri du cheval )

très fort. Je réussi à m'agripper à sa crinière. Je lutais de toute mes forces, mais le portail ne cessait de devenir plus fort.Mes mains commençaient à glisser, je fus prise d'une violente panique, regarda derrière moi, et dans la pénombre, j'aperçus une silhouette. Que- que faisais t-elle ici ? Je ne voulais pas comprendre et encore moins la rejoindre mais mes mains descendaient tandis que le portail s'agrandissait. Arriver à la limite, je pleurais, et le cheval se retenait de toute ses forces. Mes mains allaient lâchés mais je les suppliait de ne pas le faire. Je pûs tenir encore quelque minutes où je regardais le cheval, désemparé.Il- ne voulait pas me lâcher ? Il tenait à ce point à moi ?Son visage me redonna du courage, et, mes forces revenaient,j'arrivais à me raccrocher et à avancer vers lui. Je glissa à nouveau, mais j'étais déjà reparti. Je resterais ici, et la peur ne m'en empêcherais pas. Le portail rétrécissait au fur et à mesure que j'avançais, et le courage augmentait lui. Le portail disparu d'un coup, quand je fus tout près de l'étalon. J'étais surprise. Je regarda l'endroit où était le portail, et le serpent réapparu, mais s'enfuit avant que je ne puisse l'écraser. Pas grave, pensais je. Je regarda le cheval, il avait l'air content car ses oreilles était diriger vers le ciel. Je sauta autour de son cou.Il accepta cette accolade. Je me détacha un peu après, et enfermant les yeux, je posa mon front contre le sien. Il ferma les yeux aussi et on devint lumineux tout les deux. Nos pieds ne touchait plus du tout le sol, on s'envolait, vers le ciel, vers les nuages. Je monta sur le dos du bel étalon, tout en continuant de voler. Je ne voulais plus le quitter, plus jamais.

Note de l'auteur :

Et voilà ! Petit chapitre, mais à moi il m'a plu. Surtout parce qu'il y avait un cheval, et qui ressemble à celui que je monte UwU et vous l'aurait sûrement deviner mais je suis ophiophobique et quand je parlais du serpent, bah j'étais pas bien T--T