On se reverra... (Stucky) - Partie 1

Correspondance (1943)

Bonjour à toustes, 😃

Je suis désolée pour le retard de publication mais je n'avais pas de wifi hier ^^

Aujourd'hui, je vous retrouve pour un chapitre épistolaire qui me tient particulièrement à coeur (c'est en partie pour pouvoir l'écrire que cette histoire s'est tant développée par rapport à mon idée de base). J'espère qu'il vous plaira et je me réjouis d'avoir vos retours dessus 💛

Ce chapitre se déroule toujours durant "Captain America: The First Avenger", vous trouverez à nouveau en bas de page un résumé des événements-clés pertinents du film.

Bonne lecture ! ✉️

(Note 1 : Pour les lettres, les passages en gras sont les passages censurés.)

(Note 2 : Les missives apparaitront dans l'ordre chronologique pour Steve. Vu les délais de livraison des lettres, deux "fils de discussion" vont se dégager. Pour faciliter votre lecture, j'identifierai chaque "fil de discussion" par un émoji différent (placé près de la date). J'espère que la lecture restera aisée et agréable 😉)

EDIT (29 septembre 2021) : Suite à ma relecture complète de cette histoire, je me suis rendue compte que je m'étais un peu beaucoup trompée dans les délais entre l'envoi et la réception des lettres. Pour réparer cette erreur, j'ai dû ajouter de nouvelles lettres à ce chapitre. Ca n'a pas grand impact sur l'intrigue mais je tenais quand même à vous le signaler.

TWs spécifiques à ce chapitre : mentions de la guerre

Spoilers : le film "Captain America: The First Avenger" du MCU, "Le magicien d'Oz"

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Juin 1943 – Octobre 1943

Le projet Renaissance étant top-secret, leur courrier était censuré – plus que de coutume s'entend – ce qui obligeait Steve à être particulièrement attentif lorsqu'il écrivait à Bucky s'il voulait que ses lettres passent le contrôle. Il aurait aimé pouvoir tout lui raconter, le rassurer, lui partager ses doutes, ... mais cela était banni par l'armée. Dès sa première lettre, il avait tenté d'être aussi honnête que possible avec son compagnon. De toute façon, l'obligation de renseigner son adresse et son grade militaire en tant qu'expéditeur l'aurait bien vite trahi s'il lui avait pris la fantaisie de mentir.

✉️

🌳 Camp Lehigh, Samedi 19 juin 1943

Buck,

J'espère que tu vas bien. Tu dois sûrement être arrivé à destination maintenant. Cela fait bizarre, de songer que je t'écris ces mots depuis notre pays et que, dans quelques jours, tu les liras quelque part en Europe. Ils promettent que les V-mails arrivent en 6 jours auprès de nos soldats, au lieu des 30 jours que prennent nos lettres, j'espère que c'est vrai. Si je dois compter mes mots, j'espère que c'est pour leur permettre de te rejoindre plus tôt. (1)

Tu as sûrement dû faire une attaque en voyant les informations sous mon nom mais je te promets que je vais bien. Je n'ai pas beaucoup de place pour tout t'expliquer mais je te promets de t'en dire plus dans mon prochain courrier. Je vais bien, Buck.