Chapitre 3 : La rencontre

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PDV FLORA :

Les bruits métallique, les cries, les insultes...
Le chaos régnait ici malgré les surveillants.
Je parie que la plupart sont corrompus... Au final, je ne sais pas entre les prisonniers ou les surveillants qui sont les pires.

- Salut Flora. Sa fais un bout de temp que je ne t'avais pas vu.
- Andréa, salut. Sa fais plaisir de voir une femme ici.
- *rigole* tu m'étonne, je me suis dis qu'un peux de soutiens ne te ferais pas de mal.
- C'est gentil, merci.
- Je te mènes vers les personnes qui viennent d'être transférer ?
- Oui, si tu veux.

Andrea est la responsable de l'aile ouest de la prison El diablo. Et vu que c'est une femme, elle a eu quelques difficultés à s'adapter. Elle m'aide beaucoup, ne serait-ce que pour que ses collègues masculins me laisse tranquille.

- Vous pensez aller où comme ça les filles ?

Nous nous retournons avec Andréa vers la voix masculine qui venait de nous parler. Lisandro, chef adjoint de la prison se tenait là, dans l'air supérieur. Ce type est une vraie ordure. En plus de sa, il m'en veux depuis que j'ai décliner ces proposition de sortie. Il est tout ce que je déteste chez un homme : trop sûr de lui, arrogant, malpoli, narcissique et qui profite de sa position pour écrasé les autres ...

- J'escorte Flora vers les cellules des prisonniers transférer.
- Je ne crois pas non.
- Pardon ? Dis-je ahuri.
- Tu m'a bien entendu ma belle. C'est prisonniers là viennent juste d'arriver. Vous les verrez la prochaine fois.
- Écoute Lisandro... Commençais-je
- C'est Mr Alvarez... Coupa t'il avec un grand sourire.

Il peux toujours courir pour que je l'appelle comme cela alors qu'il ne me respecte pas.

- On n'a pas le temp avec tes connerie la. On doit bosser alors laisse nous passée. Dis Andréa.
- J'ai dis non. Je suis le chef adjoint, vous devez m'obéir.

Ça y est, il ma gonflé.

- Écoute Lisandro, c'est bien tu fais ton boulot. Mais ça m'étonnerait, que le maire apprécie grandement que tu me gène dans mon boulot. Tu vois qui c'est le maire ? C'est ton supérieur.Alors, laisse moi faire mon boulot sinon je peux t'assurer que je te fais virer.

Lisandro sait très bien que j'en suis capable.
Le sourire aux lèvres, il lève les mains en signe de capitulation.

- Ok ok, j'aime ton petit côté rebelle.

Pff, quel con...

Passer la grille, Andréa me conduis aux cellules des nouveaux prisonniers.
Les détenues s'enchaînent : des bleues, égratignures, tension... Des petites choses qui peuvent paraître banales mais ces prisonniers sont déjà salement amoché alors qu'ils viennent à peine d'arriver.

Comment vais-je les retrouvez dans une semaine ? Pensais-je. Certains seront probablement gravement blessé voir mort.

- C'est la dernière cellule, annonça Andréa.

Je regardais derrière les barreaux. Un homme, grand, cheveux bouclés. Il avait l'air mal en point.

- Bonjour, je suis médecin. Vous êtes blessé ?

Pas de réponse.

- Il est américain, lança un prisonnier. Il ne parle pas notre langue. Par contre, moi je veux bien que tu...
- Sa suffit ! le calma Andréa

Je répéta donc la même chose en américain.
Le jeune homme, leva alors difficilement sont regard vers nous.

- Oui, j'ai ma main qui ...

Il n'avais plus de force... Le pauvre.

- J'arrive, le rassurais-je. Andréa, tu peux ouvrir s'il te plaît ?
- Tu n'est pas sensé entrée dans les cellules.
- Tu voit bien qu'il n'est pas en état de marcher.
- Ok, je suis juste à coter si tu as besoin.
- Merci.

C'est là que je t'ai rencontré Où les histoires vivent. Découvrez maintenant