[Chapitre 18] Cours et survis - Partie 1

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[[ Bonjouuuur ! J'ai l'impression que ça fait un mois que je n'ai rien posté... ... ... Ah bah effectivement, ça fait bien plus d'un mois... Désolée mais entre les voyages, les révisions et tout, ça ne me laisse pas vraiment le temps d'écrire mais voilà une nouvelle partie très tres très looogue qui j'espère vous plaira et vous fera oublier ce léger retard... ^^
En tout cas je vous invite à laisser pleins de commentaires parce que c'est ce qui allimente mon envie d'écrire donc voilà !
Sur ce, BONNE LECTURE !

WhiteMelancholy ~ ]]

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Tout le monde veut survivre mais cela est impossible, seuls quelques uns peuvent y arriver.

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Ce matin je me suis couché à dix heures et je me suis directement endormi jusqu'à dix-neuf heures. J'ouvre doucement les yeux et aperçois un visage au dessus du mien... Je cligne plusieurs fois des yeux et vois que c'est Aaron qui me dévisage.

- Ça fait combien de temps que vous êtes là à me regar-

J'ai à peine fini ma phrase que ses lèvres fondent sur les miennes et commencent alors une danse endiablée qui me réveille parfaitement.

Il s'allonge sur sur moi et écarte mes jambes pour se positionner entre elles. Il laisse mes lèvres pour venir butiner dans mon cou et me mordiller l'oreille. Je gémis quand il me susurre doucement à l'oreille d'une voix rauque :

- J'ai extrêmement faim alors je vais te manger tout entier...

Puis il descend lentement le long de mon corps pour arriver jusqu'à mon boxer ne cachant rien de mon état d'excitation. Il me retire le seul bout de tissu que je porte, laissant apparaître mon membre dressé.
Il se lèche sensuellement les lèvres avant de commencer à me lécher dans toute ma longueur.

Assitôt des frissons de plaisir m'envahissent, électrifiant chaque parcelle de mon corps. Je ne sens rien d'autre à part sa bouche autour de moi et ses yeux qui m'observent attentivement. À cet instant, tout le monde aurait pu entrer et défiler que je m'en serais rendu compte de rien.

Je sens sa langue descendre plus bas et j'ouvre ma bouche dans un cri silencieux quand sa langue caresse mon anus.

- Non... Arrê-Arrêtez...

- Tu as l'air d'aimer ça pourtant. Et puis tu oublies que je te fais tout ce que je veux pendant quatre heures...

Après m'avoir dit ça, il se lève et disparaît dans le dressing. Heu... Il va où la comme ça ?

Quand il revient, il a une housse de protection pour les vêtements et un bandeau de soie rouge entre les mains. Je le questionne du regard.

- Aujourd'hui tout le monde est en mission donc nous ne sommes que tous les deux alors si on faisait un peu de ménage ?

Quoi ? Du ménage ? Il est sérieux là ou bien... ? Non je dis ça parce qu'il se trouve que deux minute plus tôt il était entrain de me chauffer et là il me parle de nettoyer de la poussière. C'est une blague ?

Il approche lentement de moi et me noue le ruban autour des yeux. Je ne vois donc plus rien et n'entends que le zip de la fermeture de la housse et un froissement de vêtements.

Je ne proteste pas quand il commence à m'habiller. Un bras puis lautre, des chaussettes hautes qui m'arrivent jusqu'aux genoux, des gants, un collier ras-du-cou, un ruban dans les cheveux, il glisse quelque à l'intérieur de moi. Quelque chose qui se met à vibrer tout doucement... Il attache ensuite une sorte de sangle autour de mon membre toujours tendu puis il me met un slip et des chaussures. C'est tout ? Je sens de l'air circuler sur mes jambes...
Puis sans que je m'y attende, je me retrouve dans ses bras, porté comme une princesse. Dans cette position, le plug anal tape directement dans ma prostate. Je tremble dans ses bras. Et comme je suis privé de ma vue, tous mes autres sens sont encore plus fort, notamment l'ouïe - j'entends ses pas raisonner dans les couloirs - et l'odorat - son odeur de vanille qui submerge mon nez.

Dirty Boys [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant