Indy-Rose Hargreeves, de ce que je me souviens

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...et je tombais d'un portail temporelles, comme une plume enfin, c'est un peu trop se surestimer mais vous avez compris la métaphore...J'etais à mon avis a Dallas mais...aucune idée de ce que je faisais ici, d'après mes demandes aux passants nous étions en 1960, je ne sais même pas en quelle année j'étais avant ce voyage, je ne connaissais que mon prénom et mon age, Indy-Rose Hargreeves, 20 ans. J'ai deja chercher des infos a la mairie mais rien ne me concerne, pas une trace de mon existence. Je ne vous explique pas la difficulté que j'ai eu pour trouver un emploi, finalement je suis vendeuse dans un magasin de collant. La seule chose curieuse c'est ce dessin sur mon poignet. J'habitais la maison à la droite de la boutique ou je travaillais. Ce matin nous étions un Lundi, le jour où nous avons le plus de clientes. Je me préparais devant ma coiffeuse . J'enfilais mes collants et une robe je pris soin quelles m'arrive en dessous du genou, je ne voulais pas prendre le risque de me faire virée. Je retirais mes bigoudis et fis ma coiffure habituel, puis je pris mes petits talon ,me chaussa et sortis de chez moi, le temps étais magnifique. Deux pas plus loin j'entrais dans mon lieu de travail, le carillon retentit comme tous les matin.

Collègue: Hargreeves vous voilà ! En avance comme d'habitude.

-Évidemment.

Ils étaient 7h30, les premières clientes arrivaient vers les 8h, elles prenaient souvent trois paires de collant. Je partais derrière le contoir pour rejoindre la salle du personnel et prendre mon café habituelle.

- Bonjour Jane !

Jane: Bonjour Indy-Rose ! Comment vas tu ?

-Il fais beau alors je vais bien .

Jane étais ma meilleure amie, C'etais une jeune femme mince petite et blonde avec les cheveux toujours remonté en chignon. Elle avait souvent une petite robe jaune à carreaux  moulante qui dessinait a la perfection sa taille de guêpe. Elle venait de se faire quitter mais malgrès ça elle gardait toujours son magnifique sourire .

Jane: Tu ne devineras jamais qui j'ai vu ce matin en vélo !

- Me dis pas que-

Jane: Si ! J'ai vu Alexandre !

Alexandre étais le grand monsieur sur qui Jane étais tomber amoureuse il y a une semaine, pourtant déjà persuader que c'étais son âme sœur.

- Tu devrais quand même te méfier, Hugo étais le même au début pourtant c'est la plus grosse enflure que tu n'es jamais rencontré ! Te tromper pour Téresa, quel gachi.

Téresa étais la gérante du restaurant d'enface, une garce millionnaires, qui en avait que pour sa tête, puis le premier tintement de carillon retentit, notre première cliente venais d'arriver.

Les deux derniers parapluie(2)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant