Il est la ( One-Shot )

Il est là

Cet hivers était plutôt rude quant on y repense, avec toute cette froideur et ces paysages blancs qui nous ramène à la triste réalité. Une vie triste, banale et dure.
J'habite en Angleterre , dans un petit village avec des grandes plaines, loin de mon pays nommée "La France".

Pour avoir les études que je voulais et non celle qu'on voulait m'imposer, l'Angleterre était mon meilleur choix en termes de destination -ayant de nombreuses écoles d'Arts- , je suis fière d'y habiter mais le froid qu'il y fait n'est pas vraiment supportable pour la frilleuse que je suis, surtout cet hiver. Vue comment le froid attaque ma peau...
Mais bon , il faut bien se donnait les moyens de réussir dans la vie donc de quoi j'me pleins?

Mon niveaux d'anglais étant largement supérieur à certaines personnes , on pourrait croire qu'elle est ma langue natale.
J'avais tout de suite dit 'oui' pour quitter la grisaille et la pollution de Paris mais aussi être le plus loin possible de mes géniteurs pour faire mes études sans contrariétés .
Ma mère voulant que je devienne avocate et mon père,  femme aux foyer d'un de ces amis étant toujours célibataire à 50 ans. Un mariage forcé.

C'était une solution impeccable de partir , m'évitant ainsi le forçage de mes parents. Bref , maintenant j'ai ma petite maison et j'y suis bien installée avec mes habitudes. Accordant du temps à ma fac et mon boulot. Malgré le faites que mon village soit un peu loin de la ville, j'étais satisfaite car j'avais ma tranquillité et puis je n'avais qu'à prendre le bus pour allez où je voulais.
Mon indépendance est la meilleur choses qui m'a était donné à ce jour  mais est ce que c'est ça la vie que je rêvé ? Vais-je réussir à ne pas craquer ?Suis-je heureuse ? Je ne sais pas...
Mon boulot me tape sur le système et les études m'épuisent
Je bosse comme pas deux pour mes études, en conséquence , je ne sors que pour le néssecaire, l'école et le boulot.

Je suis consciente que ma vie social en prend un coup mais mon avenir passe avant tout, ce qui désole certains de mes "amis". Plongeais toutes la journée dans mes bouquins est un tiquet de réussite pour moi , je veux réussir et je dois réussir.

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Ce matin , en partant bosser , j'ai appris que j'était licenciée, ce qui est horrible car c'est le seul boulot que j'avais trouvée et qui dit plus de boulot, dit plus d'argent. Comment je ferais pour payer mon loyer ? Je vais me retrouver à la rue ? Comment je vais faire ? J'ai tellement bossé pour ce boulot quitte à me priver dans ma vie personnelle...
Et maintenant , mon patron m'annonce que tout mes efforts seront réduit à néant.
Je regardée dans les yeux mon vieux employeur.

-"Pourquoi moi ?"

-"Pourquoi toi ? Bonne question ! Je ne veux plus que tu bosse ici , fin de l'histoire."

-"Mais pourquoi ?! Je n'est rien fait ! Et vous savez très bien que je suis celle qui en a le plus  besoin de ce travaille ! Je bosse plus que certains employés !"

-"Et alors ?"

-"Et alors !? C'est...c'est injuste !"

-"Oui , oui... , maintenant sort de mon bureau et prend tes affaires Agathe."

-"Pauvre con." Dis-je tout haut , en claquant la porte de son bureau le plus fort possible.

-" J'ai entendue !"

-"C'est fait exprès !"

Je me dirigeais vers mon casier et récupérée toutes mes affaires.
Essuyant mes larmes de colère d'un geste rageur, rentrer chez moi pour réviser ne me donnée vraiment pas envie ce soir, alors au moment où je pensais à qu'est ce qui pourrait me changer les idées, je reçue un appelle de ma plus proche amie.
Je décrocha.
Elle me demanda ce qui n'allez pas à l'entente de ma voix chevrotante.
Je lui raconta l'histoire et lui demanda conseille pour ne plus y penser, et comme je m'y attendais, elle m'offrit une solution efficace, me demandant si ce soir je voulais bien venir en boite avec elle et son copain, plus quelques amis a lui.
J'accepta, ce qui est une première depuis mon arrivé ici.
"Tout compte fait je peux peut-être encore sauver ma vie social..."