Les anecdotes narrées

Anecdote narrée une : À la forge d'un jeune homme.

Bonjour.
Ce qui va suivre risque d'être très intéressant pour toutes personnes qui sont d'une quelconque manières que ce soit , similaires à moi. Sachez que si vous vous identifiez un tant soit peu à mon récit , vous pourrez sûrement alors réfléchir sur votre propre situation actuelle ou d'éventuels soucis avenirs et tracas passés relativement lointains. Je n'aspire qu'à celà et à un peu me lâcher moi-même. L'introduction faites je peux y aller.

La mise en contexte , à cette période je sortais du collège , un millieu que je jugeais hostile à ma personne ce de différentes manières j'étais entouré de personnes que je n'arrivais pas à comprendre , d'autres desquels je ne saisissais pas la nature et encore d'autre qui me degoutaient au plus haut point. J'étais un jeune homme en marge de tout ce qui pouvait s'assembler en groupes de "potes" j'avais du mal avec mes congénères humains.

Que les motivait-ils ? Que cherchaient-ils ? Pourquoi rient-ils ensembles ? Qu'est ce qu'ils ont de plus pour pouvoir avoir ce lien qui les unis entre eux ? Ces questions me frustraient d'une façon que l'on ne pouvait réellement concevoir. Je me demandais parfois aussi ce que j'avais en plus ou en moins si c'était moi ou eux le problème. Ce qu'il fallait que je fasse pour y remédier , j'étais en proie et ce à tout instant , à des machinations et tourmentes quotidiennes qui rongait mon esprit et ma pensée d'idées noires.

Je vivais mal très mal mon rapport à mes camarades de classe. Je m'évadais en lisant et en écrivant en jouant au jeux vidéos ou en écoutant de la musique dans laquelle en général je me retrouvais un peu. Ils n'avaient pour la plupart ces autres humains pas l'intelligence et la raffinerie que je me trouvais à cette période , je ne les trouvais pas non plus inférieurs à moi. Mais en tout point «différent» et j'en souffrais perpétuellement.

J'ai réussis à me sortir de ça , de ces poids que je me trainais a chaque inspiration que je prenais. De cette solitude perpétuelle que je vivais. Et je vais vous raconter comment.